Courrier adressé aux résidents de l’îlot 812 (Arakawa-ku et Taito-ku, Tokyo)

Pour information à la communauté française du Japon, nous signalons une initiative des responsables de l’îlot 812 (Arakawa-ku et Taito-ku, Tokyo) visant à faire le point de la situation des résidents de l’îlot et à leur donner quelques informations.
Ce courriel a été envoyé à tous les résidents possédant une adresse électronique.
Copie de la lettre envoyée :
Bonjour,
Vous résidez dans l’îlot 812 regroupant les arrondissements d’Arakawa et Taito, dans le cadre du système d’îlotage organisé par l’Ambassade de France. Ce courriel vous est envoyé par vos responsables d’îlot.
Le comité de sécurité de l’Ambassade de France va se réunir le 29 mai. En préalable à cette réunion et afin de transmettre vos éventuelles demandes, nous avons pensé qu’il serait utile de vous demander de nous signaler toute question ou problème sur l’organisation de la sécurité dans votre quartier qui pourrait vous préoccuper.
Tout en espérant que nous n’aurons pas à connaître de séisme de grande intensité, nous en profitons pour vous rappeler nos coordonnées (mises à jour) que nous vous demandons de bien vouloir noter. (voir au bas de ce courriel)
Nous nous permettons également de vous rappeler brièvement quelques points importants sous forme de questions :
1. Avez-vous vérifié le point de rassemblement et la zone de refuge assignés à votre lieu de résidence ainsi que le chemin pour vous y rendre ?
2. Avez-vous contacté votre association de quartier pour vous faire connaître ?
3. Avez-vous préparé un sac d’urgence ?

Nous vous invitons cordialement à répondre à la question (1.) dès que vous le pourrez  en utilisant le mini-formulaire au bas de ce courriel. Ces données nous permettront en effet de mieux rassembler l’information en cas de séisme et ainsi mieux assurer notre rôle de relais entre l’Ambassade de France et les résidents de l’îlot.
Le site de l’ambassade vous fournira des renseignements complémentaires. Voir notamment :
https://www.ambafrance-jp.org/rubrique.php3?id_rubrique=16
https://www.ambafrance-jp.org/article.php3?id_article=383

Îlotièrement vôtre,

Christian Bouthier, chef d’îlot    Arlette Rabiller, suppléante     Yvette Claudon-Fukuda, suppléante
(ces données sont publiées sur le site de l’ambassade de France au Japon)
Coordonnées : (confidentielles mais fournies dans le courriel)

— réponse facultative mais souhaitée à retourner svp à : (adresse de courriel)  —
Nom et prénom : ………………….
Noms et prénoms des membres de ma famille : ………………….
Mon point de rassemblement : ………………….
Ma zone de refuge : ………………….

———— NB ————–
Votre adresse électronique reste confidentielle est n’est utilisée que dans le strict cadre du système d’îlotage de l’Ambassade de France. Si vous ne souhaitez pas recevoir de courriel de notre part, merci de nous le signaler pour que nous retirions votre adresse de cette liste.
Au cas où vous ne pourriez pas recevoir les caractères accentués (mojibake), merci également de bien vouloir nous le signaler.

Symposium sur l’Enlèvement International de l’Enfant au Japon (compte rendu)

NDLR : Ce compte rendu en anglais et en japonais de la conférence de presse conjointe du 21 mai vient d’être publié sur le site de l’ambassade de France. Bravo à l’Ambassadeur et à son équipe qui ont pris ce problème à bras le corps et semblent animés d’une détermination sans faille pour faire évoluer rapidement la situation.
Symposium on international child abduction at the U.S. Embassy in Japan Tokyo, May 21, 2009
Preliminary remarks of Mr Christophe Penot at the press conference
For France too the issue of child abduction is a major concern and could become a political problem between France and Japan if no progress is made in the existing cases. This problem gets increasing coverage in the French press, and there is also a rising awareness among the French public of its dramatic implications.
* As a matter of principle, we do not consider acceptable that a parent (usually the father) should be totally deprived of his right of visiting his child. We believe that both parents have a specific role in the education of the child and that excluding one of them intentionally is putting the child’s education at risk. This is also a very serious humanitarian issue for the parent who is deprived of its right to see its child.
* France is taking an active part in the efforts made by the US, Canada and other EU countries to urge Japan to join the 1980 Hague Convention, which is today the best multilateral legal framework to solve these long-lasting and painful problems.
* We are very encouraged by the fact that more and more people in Japan have shown a real concern for the problem of international child abduction. We also believe that the increasing number of marriages between Japanese and foreign nationals will further intensify the problem on both sides. It would therefore be also in Japan’s interest to find practical solutions to deal with these cases, and we are willing to fully cooperate with the Japanese authorities to this end.

Version en japonais
日本にハーグ条約加盟を求め、4カ国で共同記者会見
カナダ、フランス、英国、米国の4カ国は5月21日、在日米国大使館で「1980年国際的な子の奪取の民事面に関するハーグ条約」に関して、記者会見を行い、共同声明を発表しました。
(JPEG)
在日フランス大使館のクリストフ・プノ公使(左から3人目) © 在日米国大使館
その中で、4カ国は日本に対して、同条約に加盟すること、さらに子どもと引き離された親が子どもと接触を保ち、子どもを訪問することができるようにするための措置を実施することを求めました。
会見には、ジェームス・ズムワルト駐日米国臨時代理大使、ミッシェル・ボンド米国国務次官補代理、クリストフ・プノ在日フランス大使館公使、ドナルド・ボビアッシュ在日カナダ大使館公使、デーヴィッド・フィットン駐日英国大使館公使、マウラ・ハーティー児童失踪・児童虐待国際センター政策部長の6名が参加しました。
在日フランス大使館のクリストフ・プノ公使の発言
「国際的な子の奪取の問題は、フランスにとって重要案件であり、既存の懸案事項において進展がなければ、日本とフランスの間で政治問題化しかねません。フランスのマスコミもこの問題を取り上げる機会が増えていますし、フランス国民の間でも問題の深刻さに対する意識が高まっています。
私たちは原則として、片方の親(一般的に父親)が子どもと面会する権利を全面的に奪われることは受け入れられません。父親と母親は子どもの教育において、それぞれ固有の役割を演じていますし、故意に片方の親を排除することは、子どもの教育を危険な状態にさらすことになります。これは子どもと会う権利を奪われた親にとって、極めて深刻な人道上の問題でもあります。
フランスは米国、カナダ、他のヨーロッパ連合(EU)加盟国とともに、日本に対して、1980年の(国際的な子の奪取の民事面に関する)ハーグ条約に調印するように積極的に働きかけを進めています。同条約は今日において、この長年の耐えがたい問題を解決するために最良の多国間の法的枠組みです。
私たちは、日本でも国際的な子の奪取の問題に対して関心を見せる人が増えている事実に大いに力づけられています。私たちは、日本人と外国人との国際結婚数の増加に伴い、今後この問題が双方で深刻化するだろうとみています。それゆえに、これらの懸案事項に対する実際的な解決を見出すことは、日本の利益でもありますし、私たちはその目的のために、日本当局に対して全面的に協力することを惜しみません」
国際的な親による子の奪取に関するシンポジウム後に、カナダ、フランス、英国、米国が発表した共同声明、2009年5月21日、東京(在日米国大使館ホームページ)

Enlèvement international d’enfants : Communiqué de presse conjoint des Ambassades du Canada, de France, du Royaume-Uni et des Etats-Unis d’Amérique

21 Mai 2009 – Tokyo, Japon
Quand un parent enlève son enfant avec l’intention de priver l’autre parent de tout contact avec lui, c’est pour eux tous une véritable tragédie. Le Canada, la France, le Royaume Uni et les Etats-Unis adhèrent tous quatre à la Convention de La Haye sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants (ci-après désignée « la Convention »), laquelle a précisément pour finalité d’épargner aux enfants une telle tragédie.
La Convention cherche à protéger l’enfant des effets nocifs de son déplacement illicite ou de sa rétention au delà des frontières. A cet effet, la Convention comporte des dispositions pour assurer son retour immédiat dans l’Etat où se trouve son domicile habituel et où un tribunal compétent peut prendre une décision quant à sa garde. Elle garantit également pour les deux parents le droit d’accès à l’enfant. A ce stade, plus de 80 Etats ont adhéré à la Convention.
Le Japon est le seul Etat du G7 qui n’a pas adhéré à la Convention. Le parent « oublié » d’un enfant qui a été enlevé vers le Japon, ou en dehors du Japon, a peu de chance de le voir revenir et rencontre les plus grandes difficultés à se faire reconnaître un droit de visite ou à exercer envers lui ses devoirs et ses droits parentaux.
En raison du grand nombre de nos ressortissants nationaux que touche l’enlèvement parental au Japon, les représentants de nos ambassades se sont retrouvés aujourd’hui à ce symposium au Centre culturel américain pour débattre de nos mêmes préoccupations, en présence d’un public très divers, confronté ou sensibilisé à ce problème.
Nous partageons avec le Japon, un pays allié et un partenaire important, de nombreuses valeurs communes. Ceci rend particulièrement déconcertante notre incapacité à trouver des solutions réalistes dans la plupart des cas d’enlèvement parental au Japon.
Nous considérons l’épanouissement des enfants qui ont été victimes d’un enlèvement international comme une haute priorité et nous croyons que nos enfants doivent grandir en conservant des liens avec leurs deux parents. Nous invitons par conséquent le Japon à adhérer à la Convention. Dans l’intervalle, nous le pressons de prendre les mesures nécessaires pour permettre aux parents qui ont été séparés de leur enfant de maintenir un lien avec lui et de le voir régulièrement. Nous désirons vivement que notre dialogue avec le Japon sur cette importante question progresse grâce à son adhésion à la Convention.

(Communiqué à la Conférence de presse conjointe, Ambassade des États-Unis à Tokyo, 21 mai 2009)

Source : https://afe-asie-nord.org/?p=628

Enlèvement International de l’Enfant au Japon : Conférence de presse conjointe

C’est un drame pour tout le monde lorsqu’un parent emmène avec lui son enfant et nie à l’autre le droit de visite.
Le Japon est le seul pays membre du G7 a ne pas avoir ratifié la Convention sur les Aspects Civils de l’Enlèvement International de l’Enfant de la Hague. Le nombre de cas d’enlèvements suivis par les gouvernements des Etats-Unis, de la France, du Canada et de la Grande Bretagne y est également le plus élevé parmi les pays d’Asie orientale.
Les ambassades de France, des Etats-Unis, du Canada et de Grande Bretagne organisent conjointement une conférence de presse sur le sujet le 20 mai (NDLR : en fait le 21 mai) à l’Ambassade des Etats-Unis.
Source : Ambassade de France, article publié le 20 mai à 00h38 sur le site de l’Ambassade avec mention erronée de la date!

NDLR : Pour être plus précis,  le Japon et la Russie sont les seul pays membres du G8 à ne pas avoir ratifié la Convention sur les Aspects Civils de l’Enlèvement International de l’Enfant de la Haye.
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’on n’a pas senti une grande volonté de communiquer sur ce sujet de la part de l’ambassade, au moins sur son site. Aurait-on peut de faire de la peine au Japon? Pourtant, des gens comme Ishihara, le gouverneur de Tokyo, ne se sont pas gênés par le passé pour insulter la langue française et ridiculiser par là-même la France… Avec une attitude aussi frileuse, pour ne pas dire veule, vis à vis de avec notre « grand ami », la France sera-telle gagnante sur le long terme? Pas sûr!

Réunion d’information : « Travailler au Japon », le 4 juin 2009

Lu sur le site de l’Ambassade de France au Japon :
Vous êtes Français, vous résidez au Japon, et vous cherchez à intégrer le marché du travail local pour une première expérience professionnelle ou pour poursuivre votre carrière dans ce pays ?
Le Comité Consulaire Pour l’Emploi et la Formation Professionnelle organise une réunion d’information pour vous aider à comprendre les caractéristiques du marché du travail japonais et vous donner des pistes pour décrocher un emploi.
Date : Jeudi 4 juin 2009
Heure : 16h30
Lieu : CCIFJ (plan d’accès)
Parmi les thèmes abordés :
* Présentation du marché japonais
* La recherche d’emploi
* Le CV
* Les entretiens
Cette réunion se cloturera par un cocktail à 19h00 pour permettre aux intervenants et participants d’échanger plus librement.
Attention ! Le nombre de places est limité.
Pour vous inscrire : envoyer un mail avec votre nom, prénom, coordonnées et votre CV à : emploi@ccifj.or.jp

Pandémie grippale : tout ce qu’il faut savoir

pandemie-grippale.jpgCe site du gouvernement français vous informe sur la pandémie grippale : www.pandemie-grippale.gouv.fr
Résumé :
Grippe et pandémie, ce qu’il faut savoir
Historique de la grippe et perspectives; Définitions; Transmission; Les premiers symptômes de la grippe pandémique; etc.
Règles d’hygiène essentielles
Mouchage, éternuements, crachat, toux; Lavage des mains; Nettoyage des objets; Traitement des déchets et ordures; Eviter les contacts physiques; Le port de masques
La vie quotidienne en cas de pandémie
Chez soi, A l’extérieur, Au travail, etc.

Les Français de l’Etranger non invités au scrutin européen

Lu sur le blog du Conseiller à l’AFE, Francis Nizet :
Les Français de l’Étranger non invités au scrutin européen : des articles de presse du Sénateur Garriaud-Maylam.
Le sénateur Joëlle Garriaud-Maylam analyse dans plusieurs articles de presse la place des Français de l’Étranger aux élections européennes. Des initiatives parlementaires menées par plusieurs sénateurs comme les sénateurs Del Picchia et Cointat appellent à réintroduire la possibilité pour les Français de l’Étranger d’exprimer leur voix lors de ce scrutin. Ils éliront par contre le même jour la moitié de leurs représentants à l’Assemblée des Français de l’Étranger.
Lire les articles de presse (pdf) : https://nizet-afe.typepad.fr/electionseuropeennes.pdf

« L’esprit du Budô », une exposition à la Maison de la Culture du Japon à Paris

L’exposition a lieu actuellement à la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) et jusqu’au 5/07/09. Diverses manifestations culturelles sont organisées dans le cadre de l’exposition, dont une conférence présentant un parallèle sur le statut du guerrier et la place de la guerre en France et au Japon (principalement au Moyen Age, mais en évoquant aussi les époques moderne et contemporaine) :
« Chevaliers et Samouraïs. Regards croisés sur les rapports entre guerre et société en France et au Japon »
Conférence le vendredi 29 mai 2009, de 16h30 à 19h00, MCJP.
Toutes les infos et précisions sur le site de la MCJP : https://www.mcjp.asso.fr/cadrgen.html

Compte rendu de la conférence table‐ronde « La répression des infractions au Japon »

L’UFE Japon a publié un bref compte-rendu de la table‐ronde intitulée « La répression des infractions au Japon » sur son site : https://www.ufe.jp/evenements.html#Repression.
Cette table‐ronde avec débat a réuni plus d’une centaine de personnes à l’Institut Franco-Japonais de Tokyo le 20 avril 2009.
L’Ambassadeur de France au Japon, M. Philippe Faure a, en introduction, fait référence aux récents évènements qui ont touché certains des élèves du lycée. Il a rappelé l’importance pour la communauté française de comprendre que les règles et le système judicaire pouvaient être différents dans notre pays d’accueil et qu’il était essentiel de connaitre les risques auxquels nous exposaient des actes répréhensibles. Plusieurs compatriotes ont, en effet, été par le passé arrêtés pour des délits comme le vol, la consommation de stupéfiants ou l’attentat à la pudeur.
La commissaire divisionnaire Nathalie Auvray, Attachée de sécurité intérieure à l’Ambassade de France, a présenté des statistiques qui mettent en évidence un plus faible niveau de criminalité au Japon par rapport à la France. Elle a ensuite souligné les principales différences dans la loi japonaise avec la loi française en ce qui concerne le code de la route (notamment la tolérance zéro pour l’alcoolémie), la fin de validité d’un visa ou d’un titre de résidence, la consommation d’alcool (interdite pour les moins de 20 ans) et la consommation de tout type de stupéfiants, strictement interdite à tout âge et lourdement réprimée en cas d’infraction (au Japon, cette consommation constitue un délit et entraine des sanctions pénales).
Le commissaire principal Takeshi Wakata, adjoint au directeur du département derelations internationales de l’Agence Nationale de la Police a présenté les structures et le rôle de la police au Japon et les priorités actuelles de l’ANP. Il a rappelé qu’il fallait composer le 110 en cas d’urgence, et que des interprètes de français étaient disponibles en journée et des interprètes d’anglais jour et nuit. Il a également évoqué dans sa présentation certains délits et les sanctions auxquels ils exposent, notamment les vols de vélo et la conduite en état d’ivresse. Il nous a mis en garde contre les risques de vol à l’arraché et les cambriolages et a indiqué les précautions à prendre.
Me Ayano Kanezuka, avocate aux barreaux de Paris et Tokyo, ainsi que M. Mahrez Abassi, magistrat, sous‐directeur de la Protection des droits des personnes au sein de la Direction des Français à l’Etranger et de l’Administration Consulaire ont parcouru les règles régissant la garde à vue et la détention provisoire, le problème de la traduction pour les étrangers, les droits de la défense et le cas spécifique des mineurs. Leurs exposés parallèles ont ainsi mis en lumière les principales différences entre les systèmes judicaires japonais et français et notamment la période de garde à vue laquelle, au Japon, peut aller jusqu’à 23 jours contre 72 heures maximum en France. Ils ont également souligné que le prévenu ne pouvait bénéficier de la présence d’un avocat pendant cette période alors qu’en France l’avocat pouvait assister son client au‐delà de la 10e heure de garde à vue. M. Abassi a souligné la notion de la personnalisation de la peine en France, le juge intégrant dans son jugement la personnalité du prévenu.
Enfin, notre consul, M. Philippe Martin, a brièvement exposé l’action mais aussi les limites de l’intervention consulaire en matière d’arrestation ou de détention et il a rappelé la nécessité de le contacter immédiatement en cas d’arrestation d’un ressortissant français.
La fin de l’exposé a donné suite à un dialogue entre M. Abassi et le Dr Aldo Naouri, présent dans la salle, sur l’analyse du passage à l’acte de délit pour un mineur.
Les questions envoyées par email par les participants ont ensuite été évoquées, notamment sur les heures de sortie des mineurs non accompagnés d’adulte, le tapage nocturne, la sécurité routière, la présomption d’innocence et la responsabilité des personnes à handicap mental. La salle a ensuite eu la possibilité de poser directement d’autres questions à chacun des intervenants.
(D’après le site de l’UFE)

Cas de méningite au Lycée Franco-Japonais de Tokyo

Source : https://www.ambafrance-jp.org/article.php3?id_article=3487
Fonctionnement de la cellule de veille
Au cours de la semaine dernière, plusieurs enfants de l’école primaire de Fujimi ont présenté des symptômes de méningite et huit d’entre eux ainsi qu’une mère d’élève ont dû être hospitalisés. Quatre nouveaux cas de consultation à l’hôpital viennent d’être signalés ce matin mais il est encore trop tôt pour dire s’il s’agit d’une méningite.
Aujourd’hui mardi 28 avril à la mi-journée, sur les neuf cas avérés :
* quatre cas de méningite virale ont été détectés. Les patients se portent bien, deux ayant déjà quitté l’hôpital ;
* sur trois cas de méningite bactérienne suspectée, Deux viennent de s’avérer finalement d’origine virale ;
* pour deux autres patients, les résultats des analyses sont attendus pour demain.
Dés que le premier cas a été avéré, le Lycée Franco-Japonais a informé la communauté scolaire avant de mettre en place vendredi une cellule de veille. Dirigée par M. Laurent Signoles, secrétaire général du lycée, elle est en relation constante avec le Consulat et le Service culturel de l’Ambassade ainsi qu’avec des médecins et les responsables des associations de parents d’élèves.
Cette cellule est joignable à tout moment par courriel électronique Secgen1@lfjt.or.jp ou par téléphone au 090-1536-1384 (24/24). Par ailleurs vous pouvez joindre le standard du Lycée Franco-Japonais du lundi au vendredi de 9 heures à 17 heures ; l’équipe de permanence a été renforcée en cette période de vacances. Des communiqués sont diffusés régulièrement auprès de l’ensemble des parents.
Les cas de méningite qui touchent actuellement les élèves du lycée demandent une vigilance particulière vis-à-vis de tout symptôme pouvant évoquer cette maladie à savoir : fièvre et/ou maux de tête et/ou vomissements et/ou troubles de la conscience.
Au moindre doute, il est fortement conseillé de vous diriger vers un hôpital et de préférence vers TOKYO WOMEN MEDICAL UNIVERSITY HOSPITAL : Tokyo Shi-ika Daigaku Byoin Dr. Eto ( tél : 03-3353-8111 -standard- ). Cet hôpital reste ouvert jour en nuit pendant la Golden Week.
Mardi 28 avril 2009 -12 heures-