Le goût de Tokyo, de Michaël Ferrier

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En une centaine de pages et en quelque trente textes d’auteurs divers, ce petit bouquin nous donne à savourer les multiples goûts qui composent cette ville tentaculaire.
Écrivains, journalistes, voyageurs, cinéastes, architectes et spécialistes du Japon sont ici réunis par Michaël Ferrier pour décrire par touches successives et indépendantes les unes des autres, la mégalopole japonaise : l’image même de son développement.
À la lecture de chaque nouveau texte, accompagné d’une petite introduction et parfois d’un commentaire, l’on s’aperçoit que l’exploration de Tôkyô semble n’avoir jamais pu se concevoir dans le calme et la quiétude, qu’elle entraîne le visiteur dans le rythme effréné de la croissance culturelle, technique ou encore commerciale de la ville. Espace de liberté infinie ou prison dorée, quelle que soit l’idée reçue que cette ville véhicule, on constate, en tout cas, que personne n’y est indifférent. D’ailleurs, comment pourrait-on rester de marbre lorsque l’on découvre, bien dissimulés derrière le bouillonnement sonore, visuel et spirituel, les revers que la société a infligés à la capitale d’une des plus grandes puissances mondiales.
(éditions https://www.mercuredefrance.fr)

Le japonais, troisième langue enseignée au Mirail Université

Les effectifs ont augmenté de 60% en 5 ans.
Tous les linguistes en conviennent : « le japonais, c’est pas facile, une écriture compliquée, une logique de langue qui n’a aucun rapport avec la nôtre… ». Pourtant, et malgré tous ces handicaps, les étudiants se pressent pour l’apprendre.
À tel point que désormais, avec ses 400 inscrits, le japonais est devenu la troisième langue enseignée à l’université du Mirail.
Article à lire sur https://www.ladepeche.fr/.