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Gratuité des frais de scolarité : un article du Canard Enchaîné
Note du webmestre : Nous publions cet article non pas parce que nous sommes d’accord avec son contenu mais afin de susciter des réactions des Français résidant au Japon. Sont en effet énoncées un certain nombre de contre-vérités. Nous vous suggérons de lire les commentaires et de consulter cet article de blog de Jérôme Segal, un Français résidant en Autriche.
Un article du Canard Enchaîné du mercredi 13 août 2008 – copyright Le Canard Enchaîné
Le ruineux cadeau de Sarko aux expatriés
Pendant que le gouvernement ratiboise les effectifs des profs, Sarko veut imposer une réforme géniale. Il a décidé d’offrir ax expatirés la gratuité des écoles et lycées français de l’étranger. Un cadeau sympa, non? Sauf qu’il va surtout profiter aux plus aisés, et que l’addition, pour l’État, s’annonce carabinée.
Ces écoles très cotées – des stars comme Madonna font des pieds et des mains pour y caser leurs gamins – étaient jusqu’à présent payantes. Certains lycées sont des établissements publics, d’autres, privés sous contrat. En tout, 160 000 élèves y sont scolarisés, dont 80 000 Français. Sous la tutelle du Quai d’Orsay, chaque établissement fixe assez librement ses tarifs et ça atteint des sommets : 5500 euros l’année à Tokyo, 6500 à Londres, 15 000 à New York et 17 000 euros – le record – à San Francisco. Au diable l’avarice ! Pour les expatriés modestes, un système de bourses plutôt généreux est déjà en place. À New York, par exemple, il faut gagner moins de 65 000 euros par an – pas vraiment le smic – pour décrocher 4500 euros d’aide. Environ un quart des élèves français bénéficient d’une bourse. Mais pour Sarko, ce n’était pas assez.
My expat is rich
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Le Japon s’inquiète de l’augmentation du travail précaire
Copyright Le Monde / Source : https://www.lemonde.fr/
Inquiètes de la multiplication des travailleurs pauvres, les autorités japonaises incitent les 47 préfectures du pays à augmenter le salaire minimum. Le 6 août, une commission gouvernementale a demandé une hausse de 15 yens (0,08 euro), variable selon les préfectures et actuellement à 687 yens (4,07 euros) de l’heure. Pour la deuxième année consécutive, la recommandation dépasse les 10 yens (0,06 euro).
Ces années de stagnation ont provoqué plusieurs problèmes. Dans douze préfectures, dont Tokyo, les employés au salaire minimum touchent moins que les bénéficiaires d’aides sociales.
Pour les entreprises confrontées à la crise, le recours à des employés peu payés a constitué un avantage, qui s’est ajouté à une législation du travail de plus en plus souple. Mais une partie grandissante de la population vit dans des conditions de plus en plus difficiles, ce qui se traduit par des frustrations et des actes de violence.
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Tee-shirt « con d’étranger » en vente au Japon !
Un tee-shirt exposé dans une boutique de la galerie marchande Teramachi-Kyogoku, à Kyoto, porte, comme « nouveau design » l’inscription « baka gaijin » (con d’étranger).
Qu’en pensez-vous? Venez en discuter sur le forum ICI !
Attention les vélos ! Fourrière !
Si vous avez laissé votre vélo près d’une gare ou dans un endroit interdit au stationnement, vous risquez de recevoir un avertissement d’enlèvement par la fourrière. Ils sont bien gentils de vous avertir de la date et la plage horaire, ça vous laisse un peu de temps pour vous exécuter. Si vous abandonnez votre vélo, vous devrez payer une amende pour aller le récupérer.
Nouveau regard sur les photos d’Hiroshima
Copyright journal Le Monde
LE MONDE | 02.08.08 | 14h30 • Mis à jour le 02.08.08 | 14h30
Par sa brutalité, la photographie risque de « dramatiser » la réalité. Mais ce témoignage visuel informe aussi l’historien. Pour traiter du statut historiographique de l’image, Michael Lucken, spécialiste de l’histoire de l’art japonais à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), a choisi comme matériau les images des bombardements atomiques sur Hiroshima et Nagasaki en août 1945, arrière-plan incontournable à l’histoire moderne du Japon. Dans son livre 1945-Hiroshima, les images sources (éd. Hermann), paru en juillet, il en répertorie une centaine à partir desquelles s’est construite la mémoire nationale. Il retrace la vie de leurs auteurs, les circonstances dans lesquelles elles ont été prises et analyse la manière dont elles ont été réinvesties par la culture, passant d’une fonction informative au registre du symbolique. La plupart des photographies prises juste après les bombardements ont disparu. Et la tentation est grande de retrouver le maillon manquant de l’histoire d’Hiroshima. C’est le piège dans lequel est tombé Le Monde le 10 mai, en se fiant – trop rapidement – à la Hoover Institution, fondation américaine réputée sérieuse, qui affirmait détenir « des photos de la dévastation et des corps des victimes après le bombardement atomique d’Hiroshima ». Au moment où Le Monde était en vente, le Musée du mémorial d’Hiroshima infirmait l’authenticité de ces images : elles avaient été prises à la suite du grand séisme du Kanto (région de Tokyo) de 1923…
Voir l’article complet ICI sur le site du journal Le Monde
Au Japon, la garde partagée est un combat
Copyright journal LE MONDE
Voir l’article complet ICI
Mise à jour du 2 août : La traduction en japonais de cet article est disponible ICI.
« Il y a deux ans, alors que j’étais au travail, mon épouse a quitté la maison avec notre fils de 1 an et 9 mois. La dernière fois que j’ai vu mon enfant, c’était en janvier, pendant une heure. » Comme ce Japonais désireux de conserver l’anonymat, quelque 166 000 parents, japonais ou étrangers, sont chaque année privés du droit de voir leur(s) enfant(s) après une séparation. En cause : une justice qui fonctionne encore sur des principes d’organisation familiale hérités de l’ère Meiji (1868-1912), qui ne reconnaît ni le droit de visite ni le partage de l’autorité parentale et ne considère pas l’enlèvement d’enfant par l’un des parents comme un crime.
« Dans la situation juridique actuelle du Japon, le parent le plus prompt à emmener les enfants avec lui en obtient la garde », explique, dans un document sur le droit parental au Japon, Richard Delrieu, professeur à l’université Kyoto-Sangyo, lui-même privé de son enfant et président de l’association SOS Parents Japan. « Le kidnapping est toléré par le tribunal, ajoute-t-il. Après six mois de résidence des enfants à leur nouveau domicile, le parent kidnappeur prend un avantage juridique sur l’autre parent, déterminant pour l’attribution de la garde. »
La pratique est si ancrée qu’elle dépasse parfois le cadre du couple. « Ma femme a succombé à un cancer il y a deux ans, se souvient Paul Wong, un Américain. Depuis, ma fille vit chez mes ex-beaux-parents. Quand j’ai essayé de la récupérer, ils m’ont attaqué en justice. » Le tribunal s’est prononcé en faveur des beaux-parents, et M. Wong s’est vu privé de son droit parental.
Ces privations concernent parfois des mères. Masako Aeko ne sait pas où habitent son ex-mari et son fils de 13 ans, rentrés au Japon après un divorce – assorti d’une garde partagée – réglé devant la justice au Canada, où la famille résidait.
Mais dans 80 % des cas, c’est le père qui perd tout contact avec son ou ses enfants. Une situation vécue par Steven Christie, un Américain séparé – mais non divorcé – de sa femme japonaise et qui n’a pas vu son fils depuis trois ans hors des tribunaux. « J’ai pu passer une heure avec lui dans une salle du tribunal des affaires familiales de Tokyo, sous vidéosurveillance, raconte-t-il. Je n’avais pas le droit de poser de questions. Si je l’avais fait, mon fils avait pour instruction de ne pas répondre et l’entretien aurait été interrompu. »
Ces situations, où sont contredits les devoirs élémentaires du mariage (vie commune et assistance mutuelle) et où l’abandon de domicile avec un enfant n’est pas considéré comme un enlèvement, témoignent du vide juridique existant au Japon. « Le problème est que la loi sur la famille est conçue pour respecter l’autonomie du foyer, explique l’avocat et professeur de droit Takao Tanase. Le droit n’interfère pas dans les affaires du foyer. »
La question de la garde doit faire l’objet de négociations entre les deux époux. Si un accord est impossible, le tribunal devient l’ultime recours. Mais il fonde ses décisions sur le principe – inscrit, lui, dans le droit japonais – d’un seul parent détenteur de l’autorité parentale en cas de divorce.
Ce principe est un héritage de l’ère Meiji. « Après 1868, la nouvelle forme légale de la famille a renforcé son aspect patriarcal », écrivait, en 1984, Kenji Tokitsu dans les Cahiers internationaux de sociologie. Elle a été remplacée en 1945 par une « structure égalitaire » restée « en décalage avec la pratique ». Dans ce contexte, l’accent est toujours mis sur la « continuité et le maintien de la famille ». En cas de divorce, l’un des parents sort de la famille, de la « maison » – « uchi », en japonais – et crée, de fait, un deuxième « uchi », sans rapport avec son ancienne maison.
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Le festival de Kagurazaka (Tokyo 2008)
Il fait très chaud à Tokyo! Mais cela n’a pas empêché pas les danseurs de faire leur démonstration endiablée de « awa odori » (阿波踊り) dans le quartier de Kagurazaka hier soir.
Ceux qui ont manqué le spectacle pourront se rattraper ce soir, samedi 26 juillet, entre 19 et 21h.
Voir l’album
Chers Internautes et fidèles de France-Japon.net…
Chers Internautes et fidèles de France-Japon.net,
Votre site préféré a fait l’objet d’attaques répétées depuis l’an dernier par une personne envoyant des affirmations erronées à des milliers de gens, dont de nombreux journalistes et élus. Ce faisant, elle cherche à faire accroire qu’elle est certaine de détenir la vérité.
Que reproche-t-elle à France-Japon.net?
Elle l’accuse d’être un « outil propagandiste de la petite franc-maçonnerie tokyoïte ».
Lorsque nous avons informé cette personne de ses erreurs, elle nous a répondu qu' »il est de notoriété publique que les francs-maçons s’autorisent sans aucun scrupule à mentir au sujet de leur adhésion à la Grande Fraternité ». (sic!)
Ainsi l’auteur de ces mots a-t-il choisi de tourner en rond et de s’enfermer dans un système délirant (correspondant à son état mental?), en nous accusant indirectement d’être franc-maçon ET de mentir (et bien sûr sans apporter la moindre preuve de ce qu’il avance). Quelle facilité de toujours critiquer et répéter la même chose!
Pourquoi répondre à de telles affirmations sans fondement?
Tout simplement parce qu’il nous semble qu’elles peuvent semer le doute dans l’esprit de certaines personnes mal informées et aussi parce que ces attaques répétées nuisent à l’image de notre site.
J’affirme donc ici solennellement que je n’appartiens à aucune loge maçonnique, ni d’ailleurs à aucun syndicat ni parti politique. J’ai beaucoup de respect pour les valeurs qu’ils défendent mais france-japon.net n’est pas « franc-maçon.net » et souhaite être utile à la communauté franco-japonaise en toute indépendance.
J’en profite pour remercier au passage toutes les personnes qui soutiennent notre action depuis le début (il y a déjà dix ans!) et qui continuent régulièrement, à nous manifester leur chaleureux soutien.
Christian Bouthier
webmestre de france-japon.net
Rédaction de brèves en partenariat avec l’ambassade de France
L’association Sciencescope propose la rédaction de brèves en partenariat avec l’Ambassade de France.
Voir l’article complet sur le site de Sciencescope
Procédure pour soumettre une brève
1. Le SST est divisé en trois secteurs ; le rédacteur devra tout d’abord contacter l’interlocuteur correspondant au secteur de sa brève :
* STIC : sciences et technologies de l’information et des communications (informatique, télécommunications, robotique, électronique, mathématiques, 3D, transactions électroniques sécurisées (le paiement électronique / technologies au service des transactions financières, les technologies sans contact (NFC), l’interoprabilité, la sécurisation des changes (cryptages), l’identification (biomtérie), la dématrialisation)). mèl : adjoint.stic@ambafrance-jp.org
* ING : Sciences de l’ingénieur, énergie, environnement (matériaux, physique, chimie, nanotechnologies, énergie, transports, mécanique, optique aéronautique, génie civil…). mèl adjoint.ing@ambafrance-jp.org
* SDV : Sciences de la Vie (biologie, biotechnologies, médecine, pharmacie, agriculture). mèl : adjoint.sdv@ambafrance-jp.org
2. Le collaborateur du SST juge si le thème propos est approprié à la rédaction d’une brève (ceci pour éviter une rédaction inutile), et conseille éventuellement sur le contenu.
3. Une fois le thème validé par le SST, le rédacteur écrit une brève en respectant les critères définis par le SST.
4. La brève est relue par les membres du SST et pourra être modifiée si besoin est, avec l’accord du rédacteur.
5. Une fois validée par tous, la brève sera publie dans le BE suivant. Il est important de réagir très vite, les brèves sont des nouvelles qui doivent être fraîches. L’ensemble peut se faire en une journée.
Rôle de Sciencescope
La brève sera rémunérée à hauteur de 4 000 ¥ via l’Association. Sciencescope ne pouvant rémunérer que les adhérents, les 1 000 ou 2 000 ¥ d’adhésion à l’association (en fonction du statut) seront retenus sur le paiement de la première brève pour les autres.

