Synergies pour la communauté francophone (article de Jipango)

Nous reproduisons ici l’article de Jipango qui présente le webmestre de ce site.
BCG, gestionnaire du portail france-japon.net
Ce site informatif est un carrefour incontournable pour les Français au Japon.

« Je suis venu au Japon parce que j’étais attiré par les arts martiaux, puis cela s’est transformé en un attrait pour la culture et la langue.
C’est en 1999 que j’ai lancé seul ce portail car il n’existait que très peu de sites francophones.
Je souhaite permettre aux francophones de mieux s’intégrer au Japon en leur fournissant des informations pratiques. 750 articles portent sur des sujets variés comme les divorces dans les couples franco-japonais, prendre un bain high-tech, déménager au Japon… Le forum thématique comporte 24 rubriques : accueil au Japon, société japonaise, gastronomie… avec 10 600 membres et une rubrique FAQ. En tant que webmestre, j’anime et coordonne mon équipe composée de modérateurs, de rédacteurs et de techniciens. Ce sont tous des bénévoles français recrutés localement.
En 2009, je souhaite présenter des acteurs clés de la communauté francophone à travers la diffusion d’interviews vidéo. La plus récente est celle de l’écrivain Alain Walter qui a traduit Oku no Hosomichi (L’étroit chemin du fond), œuvre très célèbre du poète Basho.
Mon objectif : donner une vision d’ensemble de la présence francophone au Japon et créer de nouvelles synergies !
Erratum : le titre du livre d’Alain Walter est « L’Étroit Chemin du fond ». (et non « les 3 chemins du fond »)

Le dernier numéro de Jipango est paru ! (No 21, printemps 2009)

Dans ce numéro de Jipango, des interviews de Français travaillant au Japon, dont votre webmestre préféré, celui de france-japon.net, évidemment!
« Plus de 8500 Français habitent au Japon. Dans ce dossier, des Français qui y pratiquent différents types d´activités, du voyage à la création de sites web ou à l´enseignement, en passant par la restauration, racontent leur évolution et la tendance actuelle. »
Pour télécharger le numéro en pdf, c’est par ici.

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Petite section bilingue français/japonais au Lycée franco-japonais de Tokyo

Un article publié récemment sur le site de l’ambassade de France au Japon.
Scolariser son enfant en petite section bilingue français/japonais au lycée franco-japonais de Tokyo à partir de septembre 2009 ?
Une classe bilingue français /japonais pourrait ouvrir en Petite Section de maternelle à la rentrée de septembre 2009. Cette classe bilingue pourrait être la première année de scolarisation de votre enfant au lycée franco-japonais de Tokyo. Cette ouverture était à l’origine envisagée pour la rentrée 2011.
Objectifs de l’enseignement bilingue :
L’objectif de l’enseignement bilingue est d’amener les élèves à acquérir l’ensemble des compétences notées dans les programmes de l’école primaire, en plus de celles qui sont liées à l’emploi au quotidien d’une seconde langue.
Il s’agit d’enseigner en japonais, mais aussi de conduire des activités d’enseignement en français en s’appuyant sur l’activité réelle de l’élève, de manière à lui apprendre cette langue de façon naturelle et directe selon des procédures comparables à celle de l’apprentissage de sa langue maternelle.
L’enfant acquiert la maîtrise de la seconde langue sans pour autant affaiblir la première. Cet enseignement le prépare aussi à l’apprentissage ultérieur d’autres langues. Nous vous rappelons brièvement que dans ce type de classe les horaires sont partagés à 50/50 entre les deux langues : 13 heures en français et 13 heures en japonais dans le respect des programmes de l’Education Nationale Française.
Les élèves suivront les programmes de l’école maternelle française dont les grandes lignes sont précisées ci-dessous :
Pour les tout-petits, il s’agit de découvrir le monde de l’école, de se socialiser (découverte des autres, du fonctionnement d’un système extérieur à la famille). Il n’y a pas d’horaires obligatoires à l’école maternelle, mais quelques grands domaines incontournables sont définis par les programmes :
* S’approprier le langage
* Découvrir l’écrit
* Devenir élève
* Agir et s’exprimer avec son corps
* Découvrir le monde
* Percevoir, sentir, imaginer, créer
Votre enfant, né en 2006, pourrait entrer en petite section bilingue français-japonais à la rentrée de septembre 2009. Si vous êtes intéressés, nous vous invitons à envoyer avant le 30 mai un courriel à l’adresse électronique suivante : PSbilinguejaponais@lfjt.or.jp
En fonction du nombre de réponses positives, les instances de l’établissement– le Conseil d’école et le Conseil d’établissement – pourront donner un avis favorable à cette ouverture. Vous serez alors contactés individuellement début juin par le secrétariat primaire pour finaliser, en ligne sur le site de l’établissement, la préinscription de votre enfant.

Les magasins de l’Archipel renforcent encore la qualité du service offert aux clients

Un article de Philippe Pons paru récemment (8/4/2009) dans le journal Le Monde.
Extraits
: Aux trois principales entrées du prestigieux grand magasin Takashimaya, dans le quartier de Nihonbashi, au coeur de Tokyo, des « concierges » – tel est leur nom – guident la clientèle vers les rayons et leur donnent des renseignements sur le quartier, ses magasins ou les restaurants, comme le font les portiers des hôtels. « Nous devons pouvoir répondre à à peu près tout et faire sentir au client qu’il est chez lui », indique Masanori Shikita, trente ans de maison, dans un excellent anglais.
La qualité du service japonais à la clientèle, loin d’être entamée par la crise, est au contraire renforcée. « Les clients se déterminent en fonction du prix, mais aussi du service. Le secteur manufacturier est victime de mises à pied, mais non celui des services, qui compte pour les deux tiers du PIB, estime Kiyoshi Nozawa, directeur adjoint du Centre de productivité pour le développement socio-économique. Le service, dont dépend la fidélité du client, est plus que jamais un facteur de concurrence. »
« Le service fait partie de la culture des grands magasins japonais et en particulier de Takashimaya », note Kazuto Taniguchi, directeur du magasin « amiral » de Nihonbashi. Sur 50 000 m2, un millier de vendeurs et vendeuses, empressés et aimables accueillent chaque jour 35 000 visiteurs.

Voir l’article intégral sur le site du journal Le Monde.

Note de la rédaction : La qualité du service en général était déjà bien supérieure à ce qu’elle est en France. Le fossé va encore se creuser!

Assemblée Générale ordinaire 2009 de la représentation Japon de l’UFE

Cette Assemblée Générale sera suivie d’une conférence intitulée « La répression des infractions au Japon : ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil » annoncée dans un précédent article.
Les membres de la Représentation du Japon de l’UFE (« UFE Japon ») sont conviés à participer à son Assemblée Générale ordinaire 2009 (« AG ordinaire »).
Date et heure :
Lundi 20 avril 2009, à partir de 17h45.
Lieu :
Institut franco-japonais de Tokyo, 15 Ichigaya, Funagawara-cho, Shinjuku-ku , Tokyo 162 8415 – Japon (voir le plan d’accès dans notre précédent article).
Agenda
– 17h45 Accueil
Adhésions non-réglées à ce jour des personnes souhaitant devenir membres.
– 18h00 Ouverture de scéance
Mot d’accueil par le Président.
– 18h05 Rapport moral
Approbation du rapport moral
– 18h15 Rapport Financier
Quitus du rapport financier
– 18h25 Proposition de modification des statuts de l’UFE Japon
– 18h30 Présentation des candidats au nouveau Conseil d’administration
Proposition du montant de cotisations pour 2009
– 18h35 Questions et réponses.
– 18h45 Vote sur la modification des statuts, le montant des cotisations et la composition du Conseil.
– 18h50 Clôture de la scéance
– 19h00 Table-ronde : « La répression des infractions au Japon : ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil ».

La répression des infractions au Japon : cycle de conférences de l’UFE Japon

Ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil.
Cette conférence organisée par l’Union des Francais de l’Étranger (UFE Japon) https://ufe.jp aura lieu à l’Institut franco-japonais de Tokyo (voir le plan d’accès)
Cette conférence sera ouverte par notre Ambassadeur, M. Philippe Faure.

Date : Lundi 20 avril 2009
Heure : de 19h00 a 20h30
Lieu : Espace Images de l’IFJT

Intervenants :
– L’Attaché de Sécurité Intérieure de l’Ambassade de France
– Un représentant de l’Agence Nationale de la Police Japonaise (NPA)
– Le Consul de France à Tokyo
– Un avocat japonais
Les thèmes suivants seront abordés au cours de cette table-ronde :
– La loi au Japon, ce qu’on doit savoir pour y vivre harmonieusement ;
– Les différences sensibles avec la France et celles susceptibles d’être sources de conflit ;
– Les rapports avec la justice au Japon ;
– Ce qu’il faut savoir et connaître si un membre de la famille doit rendre des comptes à la justice ;
– Illustrations des risques et leçons à en tirer pour la communauté française : vol, consommation ou détention de stupéfiants, conduite en état d’ivresse, infractions routières, etc.

Nous vous remercions de nous faire parvenir vos questions au préalable. Nous consacrerons un temps suffisant pour les traiter en proposant un échange entre nos intervenants et la salle.
Programme
19h00 à 20h30 Table-ronde à l’Espace Images de l’Institut franco-japonais de Tokyo
20h45 à 22h30 Dîner (optionnel)
Inscription à la table-ronde (lire la suite de l’article, svp)
Continuer la lecture de La répression des infractions au Japon : cycle de conférences de l’UFE Japon

Alain Walter raconte Bashô en podcast…

Si vous avez apprécié l’interview d’Alain Walter et que vous voulez en savoir encore plus sur Bashô, alors je vous recommande ce podcast publié sur le site de la Librairie Mollat de Bordeaux (une vraie librairie absolument géniale et la 2e plus grande de France, soit dit en passant!).
Le podcast peut-être écouté en ligne et téléchargé. Dépêchez-vous car il ne sera disponible que jusqu’à fin avril.

Accédez directement au podcast ici :
https://www.mollat.com/podcasts/index.aspx?page=18#rdv_2137

Après l’avoir longtemps occulté, le Japon découvre le phénomène de pauvreté

Un article du journal LE MONDE écrit par Philippe Pons, Article paru dans l’édition du 07.04.09.
Extrait : Selon Makoto Yuasa, « la protection sociale au Japon a été entamée sur trois plans : réduction des prestations étatiques, allégement des charges des firmes, extension du travail précaire ». « Le néolibéralisme a eu raison du modèle nippon de l’emploi et le marché du travail a été entraîné vers le bas, juge-t-il. C’est la « société toboggan » : vous commencez à descendre, passant d’un emploi dans une société importante à un poste dans une PME, puis à un autre et ainsi de suite. Vous finissez par franchir le seuil de la pauvreté. Il est pratiquement impossible de remonter. La société japonaise établit une corrélation entre travail et identité sociale. Si l’on perd son travail, on perd ses droits. Les démunis, prisonniers de cette perception, ont tendance à se percevoir comme des vaincus, responsables de leur sort. »
Lire l’article ici.

Entretien avec Alain Walter, traducteur de « Oku no hosomichi » de Bashô

Voici aujourd’hui un entretien avec Alain Walter qui vient de publier une traduction de Oku no hosomichi, l’Étroit Chemin du fond, le célèbre journal poétique écrit par Bashô au cours de ses voyages à travers le Japon. Cette vidéo sera bientôt suivie d’une deuxième ainsi que d’un compte rendu de lecture. Alain Walter nous fait part de sa passion et du cheminement de sa pensée qui l’ont amené à plusieurs reprises au Japon et à la poésie japonaise. Nul doute qu’après avoir visionné cette vidéo vous aurez envie de découvrir Bashô, considéré comme le plus grand maître de haiku de tous les temps.

Interview d’Alain Walter, traducteur de « Oku no hosomichi » (1) from France-Japon.net on Vimeo.
La traduction d’Alain Walter est accompagnée d’un important appareil de notes et commentaires, indispensable pour saisir les allusions historiques et littéraires, les citations déguisées, les références culturelles, et qui permettra aux débutants en langue et littérature japonaises de mieux apprécier ces poésies. De plus, le texte original est présenté en regard de la traduction, favorisant ainsi la découverte dans le texte pour les amateurs plus aguerris en japonais.
Matsuo Bashô (1644-1694) est resté un des poètes les plus chers au cœur des Japonais qui tous peuvent réciter au moins un de ses tercets ou hokku (que l’on appellera haiku par la suite). Ce fils et frère de samouraï quitta très tôt le service des armes pour se consacrer à l’étude des littératures classiques du Japon et de la Chine et à la pratique du haikai, poésie enchaînée collective très populaire en son temps. Bien vite, il fit entendre une tonalité, un style, un esprit spécifiques, et créa son école appelée le shômon. Bashô, tout en conservant les sujets réalistes, le langage quotidien et l’humour du haikai, y tranfuse l’exigence esthétique et la sensibilité de la poésie classique (waka, renga). Sa manière se caractérise notamment par son attention aux petites choses de la vie et à la profondeur qu’elles recèlent.
Le poète consacra les dix dernières années de sa vie à voyager à travers le Japon pour donner des leçons, établir des cercles de disciples, mais aussi pour renouveler son inspiration et poursuivre sans concession la vérité du monde. Le voyage devint dès lors un pèlerinage et une ascèse mystique. De ces pérégrinations, Bashô tira plusieurs journaux poétiques dont le plus célèbre est L’Etroit Chemin du fond où il consigne et met en œuvre l’essentiel d’un périple à pied de cinq mois dans le nord du Japon, de temples en sanctuaires, de sites géographiques en lieux marqués par les tragédies de l’histoire, à travers un paysage sauvage, montagneux ou marin. Voyage au fin fond du pays, voyage au fond des choses et des êtres, vers le fond de la parole : quête à la fois physique et langagière du Sens et de la Réalité ultime.

Références des livres :
Présentation de BASHÔ, Oku no hoso-michi/ L’Etroit Chemin du fond, texte bilingue, Introduction, traduction, notes et commentaires par Alain WALTER, William Blake & Co. Edit. , 2007, 267 pages
ISBN : 978-2-84103-163-4 / EAN: 9782841031634
Prix : 30 €
Alain Walter est professeur de littérature comparée et enseigne la littérature japonaise classique à l’Université Michel-de-Montaigne-Bordeaux III. Il est auteur de plusieurs livres et essais sur le Japon et la littérature japonaise, notamment Érotique du Japon classique , éd. Gallimard et L’Extrême chemin, éd. Picquier.
Nous avions présenté l’Extrême Chemin peu après sa parution en 2003 ICI.
Pour lire le résumé du livre, cliquez sur « lire la suite ».
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Présence française dans le Japon de l’ouest, communication de l’Ambassadeur

Note de la rédaction : Nous diffusons un message de l’Ambassadeur initialement publié sur le site de l’Ambassade de France au Japon.
Aujourd’hui, notre réseau diplomatique et consulaire évolue : dans tous les pays nous cherchons à remplir nos missions de manière plus efficace, afin de mieux promouvoir, à un moindre coût pour le contribuable, les intérêts et l’influence de la France à l’étranger. Cette situation nous a conduits au Japon à réexaminer l’ensemble de notre dispositif : Ambassade, Consulat général, établissements culturels.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la reconfiguration de notre Consulat général à Osaka et Kobe. Je me suis fixé, depuis le départ, trois objectifs : mieux utiliser les moyens dont nous disposons ; garantir à nos compatriotes du Japon de l’Ouest un niveau de service au moins équivalent à celui qu’ils connaissent aujourd’hui ; donner une plus grande visibilité à l’activité de notre Consulat général. Je souhaiterais ici vous présenter les grandes lignes de cette réforme.
L’idée est d’installer notre Consulat général à l’Institut franco-japonais du Kansai, à Kyoto (15 mn de Shinkansen depuis Osaka). Outre une évidente économie de loyer, ce transfert permettra au Consul général de disposer d’un lieu privilégié, pour recevoir la communauté française et la mettre en contact avec les Japonais. Les personnalités de passage – dont j’ai observé qu’elles étaient très nombreuses à Kyoto – devraient également en bénéficier. Notre Consul général pourra ainsi mieux exercer les principales missions qui lui sont confiées aujourd’hui : être l’interlocuteur de la communauté française, appuyer nos intérêts économiques, accroître le rayonnement et l’influence de la France dans toute la circonscription.
Venons en maintenant au sujet qui préoccupe le plus nos compatriotes, celui des services consulaires. J’ai été particulièrement attentif sur ce point et je souhaite donc l’évoquer dans le détail :
* Les actes consulaires pour lesquels la présentation du demandeur n’est pas requise (vérification de traduction ou transcription d’actes d’Etat civil par exemple) seront traités à Tokyo. Un agent sera transféré d’Osaka vers la section consulaire de l’Ambassade à cette fin, et il sera entièrement dédié au suivi de l’administration des Français de la circonscription du Japon de l’Ouest.
* Pour les actes qui nécessitent la comparution du demandeur (cartes d’identité, passeports, certificats de vie par exemple), une permanence consulaire sera assurée avec une périodicité mensuelle à Osaka et à Kyoto par la section consulaire de l’Ambassade.
* Le Consul général continuera à réunir et à animer à Kyoto les commissions essentielles pour la vie de la communauté française : commission des bourses scolaires, CCPAS, commission administrative électorale, comité de sécurité. Nos compatriotes pourront continuer à voter à Osaka lors des élections dans leur circonscription.
* Enfin, notre consul général demeure naturellement l’interlocuteur privilégié de la communauté française du Japon de l’Ouest. Cela est d’autant plus vrai pour les situations d’urgence. Il conservera parmi ses priorités la préparation de la communauté française aux situations de crise.

J’ai la conviction que cette réforme, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2010, rendra notre dispositif plus efficace, y compris pour le service aux Français, et qu’elle nous permettra de maintenir dans tout le Japon de l’Ouest – jusqu’à Okinawa – une présence forte et active. Je l’ai déjà présentée à vos deux conseillers de l’Assemblée des Français de l’étranger résidant au Japon et je me rendrai moi-même dans les prochaines semaines à Osaka et à Kyoto pour l’expliquer plus en détail à la communauté française. D’ici là, notre consul général, M. Alain Nahoum, est à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.