Enlèvement international d’enfants : une nouvelle démarche

Source : site web de l’Ambassade de France au Japon.
A la suite du symposium du 21 mai dernier, les quatre missions diplomatiques les plus concernées par le nombre de différends parentaux au Japon – Canada, Etats-Unis, France, Grande Bretagne – ont effectué une nouvelle démarche conjointe le 23 juillet auprès du ministère de la Justice.
Cette démarche a été l’occasion de rappeler la très forte préoccupation des quatre Etats concernés vis-à-vis des enlèvements internationaux d’enfants au Japon, en augmentation constante depuis plusieurs années, et des dommages psychologiques considérables que cette situation provoque chez les enfants et les parents qui la subissent.
La démarche a eu également pour objet de marquer une nouvelle fois tout l’intérêt que représenterait l’adhésion du Japon à la Convention de La Haye de 1980 sur les aspects civils de l’enlèvement. Cet instrument juridique international constitue en effet à nos yeux la meilleure solution face à l’amplification du phénomène dans ce pays, liée au nombre croissant d’unions binationales entre Japonais et étrangers.
Enfin les quatre ambassades ont invité les autorités judiciaires japonaises à se doter de moyens permettant aux parents étrangers, séparés de fait de leur enfant, de maintenir avec lui des contacts réguliers et de pouvoir exercer un droit de visite considéré comme naturel et légitime.

A qui le fonds de recherche de 270 milliards de yens sera-t-il destiné ?

Source : bulletins-electroniques.com.

Extrait :
Un fonds de recherche de 270 milliards de yens (2 milliards d’euros [1]) va être créé au sein de la Japan Society for the Promotion of Science (JSPS) afin de financer 30 chercheurs japonais de premier plan mondial [2]. Cette action fait partie du plan de relance économique du Gouvernement financé dans le cadre du budget supplémentaire 2009 qui a été adopté le 29 mai. Un projet de loi sur la mise en place de ce fonds est actuellement en cours d’étude au Parlement mais on constate déjà une forte concurrence entre les milieux ministériel, scientifique, industriel et politique pour le leadership dans la répartition de ce fonds.

Lire l’article complet sur https://www.bulletins-electroniques.com/actualites/59716.htm

Le Monde diplomatique : Manière de voir — Le Japon méconnu

Numéro 105 / Juin – juillet 2009
Dans sa série « Manière de voir », Le Monde Diplomatique a sorti un numéro intitulé « Le Japon méconnu ».
Voir cette page.
Dans cet ouvrage, on trouvera les articles ci-après :
Malaise et révoltes de la génération perdue, de Odaira Namihei
Des Japonais pas comme les autres, de Christian Kessler
Une agriculture abandonnée aux impératifs de la haute croissance, de Augustin Berque
Remise en question du « modèle » occidental, de Philip S. Golub
Entre protectionnisme et différence culturelle, de Bruno Dethomas
Le péril jaune version américaine, de Serge Halimi
Le sanctuaire Yasukuni, ou la mémoire sélective, de Takahashi Tetsuya
Apprendre à se souvenir de Nankin, de Antoine Halff
Cobayes humains pour l’unité 731, de Jacques Decornoy
Hiroshima, 6 août 1945, de John Hersey
Contre le colonisateur britannique, les militaires nippons, de Christopher A. Bayly et Tim Harper
L’histoire cachée des « Japonais américains », de Bruno Rochette
De solides ambitions militaires qui passent par… les Etats-Unis, de Emilie Guyonnet
Surenchère nucléaire entre Tokyo et Séoul, de Selig S. Harrison
L’Amérique entre amour et frustration, de Chalmers Johnson
Regards chinois sur l’Archipel, de Yang Baoyun
Quand l’Asie étudiait sur les bancs japonais, de Karoline Postel-Vinay
Où en est l’égalité des sexes ?, de Nakajima Satoko et Tanasawa Naoko
Débat au point mort sur la peine capitale, de Aurore Brien
La pègre des yakuzas infiltrée dans le monde de l’économie, de Philippe Pons
Construire le présent, reconstruire le passé, de Alain Jouffroy
Tokyo dégaine ses armes de distraction massive, de O. N.
Internet et moi, de Oe Kenzaburo
Etranges étrangers sur grand écran, de Max Tessier

La Corée du Nord : un méchant si utile

Un article signé Jean-Marie Bouissou dans Ouest-France.
Extrait :
… La Corée du Sud, dont l’économie n’est pas au mieux, ne craint rien tant que l’effondrement brutal du Nord, qui la submergerait de millions de réfugiés. Le Japon redoute, sans le dire, l’unification à sa porte de quelque 70 millions de Coréens qui ont amplement prouvé leur dynamisme économique, leur fermeté dans les épreuves, mais aussi leur nationalisme parfois exacerbé. En outre, les gesticulations nord-coréennes offrent aux dirigeants de Tokyo l’alibi rêvé qui leur permet, depuis bientôt deux décennies, de faire monter en puissance les forces armées japonaises.

Lire l’article intégral sur le site d’Ouest-France.

Après l’avoir longtemps occulté, le Japon découvre le phénomène de pauvreté

Un article du journal LE MONDE écrit par Philippe Pons, Article paru dans l’édition du 07.04.09.
Extrait : Selon Makoto Yuasa, « la protection sociale au Japon a été entamée sur trois plans : réduction des prestations étatiques, allégement des charges des firmes, extension du travail précaire ». « Le néolibéralisme a eu raison du modèle nippon de l’emploi et le marché du travail a été entraîné vers le bas, juge-t-il. C’est la « société toboggan » : vous commencez à descendre, passant d’un emploi dans une société importante à un poste dans une PME, puis à un autre et ainsi de suite. Vous finissez par franchir le seuil de la pauvreté. Il est pratiquement impossible de remonter. La société japonaise établit une corrélation entre travail et identité sociale. Si l’on perd son travail, on perd ses droits. Les démunis, prisonniers de cette perception, ont tendance à se percevoir comme des vaincus, responsables de leur sort. »
Lire l’article ici.

Programme des manifestations scientifiques de la Maison Franco-Japonaise 09/01/2009

Nous avons reçu cette information diffusée par la Maison Franco-Japonaise. Il y a eu des changements dans l’organisation de la vénérable Maison! À lire attentivement!
Programme des manifestations scientifiques 09/01/2009
Institut Français de Recherche à l’Étranger
UMIFRE 19 MAE-CNRS
No F-56
ÉDITORIAL

Chers destinataires de ce programme, recevez pour l’année nouvelle, en mon nom et en celui de notre équipe, tous mes meilleurs voeux de bonheur, de prospérité et d’intenses échanges culturels et scientifiques franco-japonais !
Voici notre première programmation de 2009 qui s’efforce d’y contribuer comme par le passé. Nous le faisons à partir d’une structure un peu renouvelée. Le bureau français de la Maison Franco-Japonaise héberge un Institut de Recherche qui dépend du gouvernement français et dont le fonctionnement est assuré, désormais, à la fois par le Ministère français des affaires étrangères et européennes et par le Centre national de la recherche scientifique.
Ce changement accentue notre rôle de producteur de connaissances sur le Japon contemporain dans son évolution historique au sein de la zone d’Asie Orientale et dans le monde. Mais il n’altère en rien la tâche qui est la nôtre, depuis la création de cette Maison, de promouvoir les échanges et les débats culturels et scientifiques franco-japonais,
concernant l’ensemble des champs de la connaissance et pas seulement ceux labourés par notre petite équipe de chercheurs. Le programme des mois qui viennent en témoigne, les projets pour cette année le confirmeront, dont plusieurs menés en collaboration avec le bureau japonais de la Maison et avec les sociétés savantes qui y sont
attachées.
À tous je souhaite à nouveau une bonne, heureuse et stimulante année
d’échanges et de débats.

Marc Humbert
Directeur de l’Institut de Recherche de la Maison Franco-Japonaise

* Informations détaillées : https://www.mfj.gr.jp/
* L’accès aux manifestations de la MFJ est libre et gratuit, dans la
limite des places disponibles.
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Double nationalité japonaise et étrangère : Proposition de loi au sein du PLD

Thierry Consigny nous informe sur son blog d’une nouvelle proposition de loi visant à faciliter la double nationalité japonaise et étrangère et présente un article paru le 14 novembre dans le Japan Times sur ce sujet.
Copyright Thierry Consigny afe-asie-nord.org et The Japan Times

Une proposition de loi au sein du Parti Libéral Démocrate au pouvoir (LDP – Jiminto) par le député Taro Kono vise à faciliter la double nationalité japonaise et étrangère. Aucun calendrier n’est fixé pour l’examen de cette proposition en session parlementaire, mais on peut se réjouir de cette future avancée pour les générations franco-japonais futures en termes de facilité pour la résidence au Japon, bénéfices sociaux, accès à des postes réservés, et représentation nationale du fait de leur poids électoral. Le Parti Démocrate Japonais (DJP – Minshuto) compte aussi parmi ses élus des promoteurs d’une révision de la loi, notamment en la personne du sénateur francophile et francophone Tadashi Inuzuka.

The Japan Times (C) All rights reserved, Friday, Nov. 14, 2008
LDP panel mulls easing law on dual citizenship
Mixed couples’ kids could have two nationalities
By MINORU MATSUTANI, Staff writer
Liberal Democratic Party member Taro Kono said Thursday he has submitted a proposal to an LDP panel he heads calling for the Nationality Law to be revised to allow offspring of mixed couples, one of whom being Japanese, to have more than one nationality.
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33 000 enfants sans sécurité sociale au Japon

Information publiée par https://actu.jp/ d’après une information de Jiji News.
Le ministère de la Santé, du Travail et de la Protection Sociale a publié les résultats d’une enquête sur le système de sécurité sociale japonais. Il en ressort que 330 000 familles, dont 33 000 enfants de moins de 11 ans ne sont pas couverts par la sécurité sociale japonaise (Kokumin Kenko Hoken) pour ne pas avoir payé leur cotisation.
Les familles dans ce cas doivent régler la totalité des frais médicaux engagés. Le ministère s’inquiète du fait que des enfants ne soient pas soignés de ce fait. Il étudie la possibilité d’émettre un certificat d’assurance temporaire dans les cas les plus urgents. (Jiji News)

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Qu’est-ce que Actu Japon ?

Une équipe de Français japonophones recueille pour vous l’essentiel de l’actualité japonaise et rédige une synthèse quotidienne en français que vous recevez par mail tous les matins.
https://actu.jp/

Journée internationale contre la peine de mort : le Japon montré du doigt par Amnesty

Une cinquantaine de personnes ont manifesté à Bruxelles devant l’ambassade du Japon à l’appel de la section francophone d’Amnesty Belgique ce vendredi 10 octobre 2008 à l’occasion de la journée internationale contre la peine de mort.
Les manifestants ont été rejoints par des parlementaires belges, Karine Lalieux, Florence Reuter, Juliette Boulet et François Roelants du Vivier qui ont exprimé d’une même voix leur désapprobation face à ces pratiques et leur engagement à lutter pour leur suppression dans le monde.
Le Japon figure dans la liste des pays qui, contrairement au courant international plutôt abolitionniste, exécutent de plus en plus.

Source : https://www.amnestyinternational.be/doc/article13563.html

La France et le Japon : 150 ans d’histoire diplomatique

Le site Canal Academie, première radio académique francophone sur internet, vous propose d’écouter la retransmission de la communication d’Éric Seizelet, directeur de recherche au CNRS et directeur de l’Institut d’Asie orientale de Lyon. Il s’exprimait lors de la journée de célébration du 150e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Japon et la France, organisée par l’Académie des inscriptions et belles-lettres, le 23 mai 2008.
Éric Seizelet raconte l’histoire du Traité d’Edo, ce traité commercial dont les négociations se sont déroulées de 1854 à 1858, date de sa signature par la France et le Japon. Son établissement permit à la France d’accéder au marché japonais, au même rang que les autres grandes puissances occidentales. Si, dans un premier temps, les Japonais ont accepté ce traité, ils l’ont par la suite récusé. La France a tiré parti de l’inexpérience des négociateurs shôgunaux pour imposer un traité inégal sans le consentement impérial. Aujourd’hui, les Japonais considèrent ce type de traité comme un élément de leur patrimoine…

Lire la suite sur le site : La-France-et-le-Japon-150-ans-d.html
Copyright canalacademie.com

Composition du gouvernement Aso

Le Gouvernement Asō est le 92e cabinet du Japon, nommé le 24 septembre 2008 par le nouveau Premier ministre Tarō Asō.
Composition
Premier ministre : Tarō Asō
Ministres, chefs d’un ministère
Ministre des Affaires intérieures et des Communications : Kunio Hatoyama
Ministre de la Justice : Eisuke Mori
Ministre des Affaires étrangères : Hirofumi Nakasone
Ministre des Finances également ministre d’État chargé des services financiers : Shōichi Nakagawa
Ministre de l’Éducation, de la Culture, des Sports, des Sciences et de la Technologie : Ryu Shionoya
Ministre de la Santé, du Travail et du Bien-être : Yōichi Masuzoe (voir ce blog)
Ministre de l’Agriculture, des Forêts et de la Pêche : Shigeru Ishiba
Ministre de l’Économie, du Commerce et de l’Industrie : Toshihiro Nikai
Ministre de l’Aménagement du territoire, des Infrastructures et des Transports également ministre au Tourisme : Nariaki Nakayama
Ministre de l’Environnement également chargé des Problèmes environnementaux mondiaux : Tetsuo Saitō
Ministre de la Défense : Yasukazu Hamada
Chef du Secrétariat et du Bureau du Cabinet
Secrétaire général du Cabinet : Takeo Kawamura
Ministres d’État ne dirigeant pas un ministère
Ministre d’État, Président de la Commission nationale de sécurité publique également chargé d’Okinawa et des Territoires du Nord : Tsutomu Sato
Ministre d’État pour la Politique économique et fiscale : Kaoru Yosano
Ministre d’État pour la Réforme administrative : Akira Amari
Ministre d’État pour la Protection des Consommateurs, la Sécurité alimentaire, la Politique scientifique et technologique : Seiko Noda
Ministre d’État pour la Population et l’Égalité des sexes : Yuko Obuchi

Wikipédia donne des détails sur ce gouvernement ici.

Au Japon, la garde partagée est un combat

Copyright journal LE MONDE
Voir l’article complet ICI

Mise à jour du 2 août : La traduction en japonais de cet article est disponible ICI.

« Il y a deux ans, alors que j’étais au travail, mon épouse a quitté la maison avec notre fils de 1 an et 9 mois. La dernière fois que j’ai vu mon enfant, c’était en janvier, pendant une heure. » Comme ce Japonais désireux de conserver l’anonymat, quelque 166 000 parents, japonais ou étrangers, sont chaque année privés du droit de voir leur(s) enfant(s) après une séparation. En cause : une justice qui fonctionne encore sur des principes d’organisation familiale hérités de l’ère Meiji (1868-1912), qui ne reconnaît ni le droit de visite ni le partage de l’autorité parentale et ne considère pas l’enlèvement d’enfant par l’un des parents comme un crime.
« Dans la situation juridique actuelle du Japon, le parent le plus prompt à emmener les enfants avec lui en obtient la garde », explique, dans un document sur le droit parental au Japon, Richard Delrieu, professeur à l’université Kyoto-Sangyo, lui-même privé de son enfant et président de l’association SOS Parents Japan. « Le kidnapping est toléré par le tribunal, ajoute-t-il. Après six mois de résidence des enfants à leur nouveau domicile, le parent kidnappeur prend un avantage juridique sur l’autre parent, déterminant pour l’attribution de la garde. »
La pratique est si ancrée qu’elle dépasse parfois le cadre du couple. « Ma femme a succombé à un cancer il y a deux ans, se souvient Paul Wong, un Américain. Depuis, ma fille vit chez mes ex-beaux-parents. Quand j’ai essayé de la récupérer, ils m’ont attaqué en justice. » Le tribunal s’est prononcé en faveur des beaux-parents, et M. Wong s’est vu privé de son droit parental.
Ces privations concernent parfois des mères. Masako Aeko ne sait pas où habitent son ex-mari et son fils de 13 ans, rentrés au Japon après un divorce – assorti d’une garde partagée – réglé devant la justice au Canada, où la famille résidait.
Mais dans 80 % des cas, c’est le père qui perd tout contact avec son ou ses enfants. Une situation vécue par Steven Christie, un Américain séparé – mais non divorcé – de sa femme japonaise et qui n’a pas vu son fils depuis trois ans hors des tribunaux. « J’ai pu passer une heure avec lui dans une salle du tribunal des affaires familiales de Tokyo, sous vidéosurveillance, raconte-t-il. Je n’avais pas le droit de poser de questions. Si je l’avais fait, mon fils avait pour instruction de ne pas répondre et l’entretien aurait été interrompu. »
Ces situations, où sont contredits les devoirs élémentaires du mariage (vie commune et assistance mutuelle) et où l’abandon de domicile avec un enfant n’est pas considéré comme un enlèvement, témoignent du vide juridique existant au Japon. « Le problème est que la loi sur la famille est conçue pour respecter l’autonomie du foyer, explique l’avocat et professeur de droit Takao Tanase. Le droit n’interfère pas dans les affaires du foyer. »
La question de la garde doit faire l’objet de négociations entre les deux époux. Si un accord est impossible, le tribunal devient l’ultime recours. Mais il fonde ses décisions sur le principe – inscrit, lui, dans le droit japonais – d’un seul parent détenteur de l’autorité parentale en cas de divorce.
Ce principe est un héritage de l’ère Meiji. « Après 1868, la nouvelle forme légale de la famille a renforcé son aspect patriarcal », écrivait, en 1984, Kenji Tokitsu dans les Cahiers internationaux de sociologie. Elle a été remplacée en 1945 par une « structure égalitaire » restée « en décalage avec la pratique ». Dans ce contexte, l’accent est toujours mis sur la « continuité et le maintien de la famille ». En cas de divorce, l’un des parents sort de la famille, de la « maison » – « uchi », en japonais – et crée, de fait, un deuxième « uchi », sans rapport avec son ancienne maison.
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Enfants binationaux et respect du droit de visite après un jugement au Japon : une priorité de la Présidence française pour les six prochains mois

Le 2 juillet 2008, la France a présenté ses priorités pour les six prochains mois de la présidence française de l’Union Européenne aux Ambassadeurs et Chefs de mission des 27 pays membres.
De source européenne, en ce qui concerne le Japon, la Présidence française a placé les affaires consulaires en matière de non-présentation d’enfant parmi ses quatre priorités,
La France doit faire face, comme tous les autres pays de l’Union européenne, les Etats-Unis et le Canada, au problème du respect du droit de visite après un jugement de divorce dans le cas d’enfants de couples binationaux en résidence au Japon.
Plus d’une vingtaine de ressortissants français voient actuellement leur droit de visite bafoué malgré un jugement rendu au Japon. Quand bien même ce droit de visite a été légiféré par le juge des affaires familiales, il n’est pas appliqué et la police n’est d’aucun recours, si ce n’est au contraire pour interpeller le parent qui insiste pour le respect de ses droits au titre qu’il trouble l’ordre public.
En l’absence d’un quelconque engagement de l’administration japonaise à résoudre ces problèmes, la Présidence française a invité, selon nos sources européennes, les 27 pays membres de l’Union Européenne à exercer toute pression utile pour convaincre le gouvernement japonais que ce problème peut nuire à l’image du Japon sur la scène internationale.
Source : https://afe-asie-nord.org/?p=294

Arrêtons les séparations de parents et d’enfants !

Les 3 mousquetaires au Sénat japonais: des aventures inédites!

Journée marathon, hier, pour les 3 mousquetaires qui ont rencontré trois sénateurs, Mmes Madoka Yoriko et Chiba Keiko et M. Tadashi Inuzuka, ainsi que des représentants d’associations de parents japonais afin d’évoquer avec eux le problème des droits des enfants privés de visite d’un de leur parent à la suite d’une séparation ou d’un divorce. Pour connaître le détail de leurs aventures, rendez-vous dans les jours à venir sur france-japon.net et ces deux autres sites: sos-parents-japan.org et afe-asie-nord.org.

Avec la sénatrice Madoka Yoriko

De gauche à droite: Athos, la sénatrice Madoka Yoriko,
d’Artagnan, Aramis et M. Suzuki Akiyuki (Porthos était retenu)

Avec le sénateur Inuzuka
Avec le sénateur Inuzuka Tadashi

Avec la sénatrice Chiba Keiko
Avec la sénatrice Chiba Keiko