Source : https://www.ambafrance-jp.org/article.php3?id_article=3487
Fonctionnement de la cellule de veille
Au cours de la semaine dernière, plusieurs enfants de l’école primaire de Fujimi ont présenté des symptômes de méningite et huit d’entre eux ainsi qu’une mère d’élève ont dû être hospitalisés. Quatre nouveaux cas de consultation à l’hôpital viennent d’être signalés ce matin mais il est encore trop tôt pour dire s’il s’agit d’une méningite.
Aujourd’hui mardi 28 avril à la mi-journée, sur les neuf cas avérés :
* quatre cas de méningite virale ont été détectés. Les patients se portent bien, deux ayant déjà quitté l’hôpital ;
* sur trois cas de méningite bactérienne suspectée, Deux viennent de s’avérer finalement d’origine virale ;
* pour deux autres patients, les résultats des analyses sont attendus pour demain.
Dés que le premier cas a été avéré, le Lycée Franco-Japonais a informé la communauté scolaire avant de mettre en place vendredi une cellule de veille. Dirigée par M. Laurent Signoles, secrétaire général du lycée, elle est en relation constante avec le Consulat et le Service culturel de l’Ambassade ainsi qu’avec des médecins et les responsables des associations de parents d’élèves.
Cette cellule est joignable à tout moment par courriel électronique Secgen1@lfjt.or.jp ou par téléphone au 090-1536-1384 (24/24). Par ailleurs vous pouvez joindre le standard du Lycée Franco-Japonais du lundi au vendredi de 9 heures à 17 heures ; l’équipe de permanence a été renforcée en cette période de vacances. Des communiqués sont diffusés régulièrement auprès de l’ensemble des parents.
Les cas de méningite qui touchent actuellement les élèves du lycée demandent une vigilance particulière vis-à-vis de tout symptôme pouvant évoquer cette maladie à savoir : fièvre et/ou maux de tête et/ou vomissements et/ou troubles de la conscience.
Au moindre doute, il est fortement conseillé de vous diriger vers un hôpital et de préférence vers TOKYO WOMEN MEDICAL UNIVERSITY HOSPITAL : Tokyo Shi-ika Daigaku Byoin Dr. Eto ( tél : 03-3353-8111 -standard- ). Cet hôpital reste ouvert jour en nuit pendant la Golden Week.
Mardi 28 avril 2009 -12 heures-
Catégorie : FRANCE
Vidéos de la conférence du Dr Naouri devant des parlementaires japonais (5 et 6)
Suite des vidéos de la conférence (5 et 6) :
Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (5) from France-Japon.net on Vimeo.
Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (6) from France-Japon.net on Vimeo.
Informations sur la retraite
Les informations sur la retraite ont été mises à jour dans notre Wiki.
Voir : https://www.france-japon.net/wiki/index.php?title=Retraite
Vidéos de la conférence du Dr Naouri devant des parlementaires japonais (1 et 2)
Le Dr Aldo Naouri a donné devant des parlementaires japonais, le 21 avril 2009, une conférence intitulée « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents tout au long de son développement » dans le cadre des réflexions actuelles au Japon sur la réglementation en matière de droit de la famille.
Cette conférence a été organisée à l’initiative de notre élu à l’AFE, le Conseiller Thierry Consigny, et a reçu le soutien de l’Ambassadeur de France au Japon, M. Philippe Faure.
L’événement a été couvert par plusieurs médias français dont Le Figaro, et M6 (Zone Interdite) et France 2 (Envoyé Spécial) et a été suivi attentivement par l’inter-association des organisations de parents privés de leurs enfants suite à une séparation ou un divorce (le réseau Oyakonet, l’Alliance japonaise pour des droits parentaux équitables, ainsi que SOS Parents Japan). Outre plusieurs parlementaires, quelques parents (japonais et étrangers), ne pouvant rendre visite à leurs enfants car leurs droits élémentaires (ceux des enfants et des parents) sont bafoués au Japon, ont suivi la conférence avec intérêt. M. Abassi, magistrat de formation, et sous-directeur des droits des personnes au ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE) est également intervenu brièvement pendant la conférence.
Aldo Naouri a exercé le métier de pédiatre pendant quarante ans et s’est spécialisé dans la question des relations parents-enfants et au sein de la cellule familiale. Il a écrit de nombreux ouvrages, tous destinés à aider les parents d’un enfant dans leur aventure de parents. Parmi eux « L’Enfant bien-portant » en 1993, « Le Couple et l’enfant » en 1995 ou « Éduquer ses enfants » en 2008. Son dernier livre qui a connu un large succès avec plus de 300 000 exemplaires a provoqué de vives polémiques en prônant le retour à l’autorité dans l’éducation parentale.
Voici la première partie de la conférence en français avec traduction consécutive en japonais.
Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (1) de France-Japon.net on Vimeo.
Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… (2) de France-Japon.net on Vimeo.
Les soins d’urgence pourront-ils être assurés en cas de séisme? Gros doute…
Source : Synthèse de l’actualité japonaise du 18 avril 2009 de actu.jp d’après le Yomiuri Shimbun.
Un homme de 65 ans décède après 7 refus d’hôpitaux
Un homme de 65 ans a été retrouvé inconscient dans sa voiture après avoir été victime d’un arrêt cardiaque, dans une rue de Hyuga, préfecture de Miyazaki. Les services de secours l’ont immédiatement pris en charge et conduit vers un centre hospitalier mais il est décédé après avoir été refusé par sept hôpitaux de la région. Le motif était toujours l’absence de lit et de médecin compétent en service.
Le patient a finalement été accepté dans un huitième centre mais il a été déclaré mort quelques instants après son arrivée. D’après les autorités, le décès serait la conséquence directe du temps mis à trouver un hôpital.
Commentaire de la rédaction de france-japon.net :
Si en temps normal il est déjà impossible de se faire admettre dans un service d’urgence, il nous paraît légitime de nous poser la question de la prise en charge des blessés lors d’un séisme important, avec un afflux important de sinistrés dans les services d’urgence.
« Les soins d’urgence de nos compatriotes pourront-ils être assurés « correctement » -au même titre, bien entendu que ceux des Japonais et de tous les autres ressortissants de pays étrangers-? »
C’est la question que nous comptons poser lors d’un prochain comité de sécurité à l’ambassade. Ça tombe bien, il y en aura bientôt un!
Petite section bilingue français/japonais au Lycée franco-japonais de Tokyo
Un article publié récemment sur le site de l’ambassade de France au Japon.
Scolariser son enfant en petite section bilingue français/japonais au lycée franco-japonais de Tokyo à partir de septembre 2009 ?
Une classe bilingue français /japonais pourrait ouvrir en Petite Section de maternelle à la rentrée de septembre 2009. Cette classe bilingue pourrait être la première année de scolarisation de votre enfant au lycée franco-japonais de Tokyo. Cette ouverture était à l’origine envisagée pour la rentrée 2011.
Objectifs de l’enseignement bilingue :
L’objectif de l’enseignement bilingue est d’amener les élèves à acquérir l’ensemble des compétences notées dans les programmes de l’école primaire, en plus de celles qui sont liées à l’emploi au quotidien d’une seconde langue.
Il s’agit d’enseigner en japonais, mais aussi de conduire des activités d’enseignement en français en s’appuyant sur l’activité réelle de l’élève, de manière à lui apprendre cette langue de façon naturelle et directe selon des procédures comparables à celle de l’apprentissage de sa langue maternelle.
L’enfant acquiert la maîtrise de la seconde langue sans pour autant affaiblir la première. Cet enseignement le prépare aussi à l’apprentissage ultérieur d’autres langues. Nous vous rappelons brièvement que dans ce type de classe les horaires sont partagés à 50/50 entre les deux langues : 13 heures en français et 13 heures en japonais dans le respect des programmes de l’Education Nationale Française.
Les élèves suivront les programmes de l’école maternelle française dont les grandes lignes sont précisées ci-dessous :
Pour les tout-petits, il s’agit de découvrir le monde de l’école, de se socialiser (découverte des autres, du fonctionnement d’un système extérieur à la famille). Il n’y a pas d’horaires obligatoires à l’école maternelle, mais quelques grands domaines incontournables sont définis par les programmes :
* S’approprier le langage
* Découvrir l’écrit
* Devenir élève
* Agir et s’exprimer avec son corps
* Découvrir le monde
* Percevoir, sentir, imaginer, créer
Votre enfant, né en 2006, pourrait entrer en petite section bilingue français-japonais à la rentrée de septembre 2009. Si vous êtes intéressés, nous vous invitons à envoyer avant le 30 mai un courriel à l’adresse électronique suivante : PSbilinguejaponais@lfjt.or.jp
En fonction du nombre de réponses positives, les instances de l’établissement– le Conseil d’école et le Conseil d’établissement – pourront donner un avis favorable à cette ouverture. Vous serez alors contactés individuellement début juin par le secrétariat primaire pour finaliser, en ligne sur le site de l’établissement, la préinscription de votre enfant.
La répression des infractions au Japon : cycle de conférences de l’UFE Japon
Ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil.
Cette conférence organisée par l’Union des Francais de l’Étranger (UFE Japon) https://ufe.jp aura lieu à l’Institut franco-japonais de Tokyo (voir le plan d’accès)
Cette conférence sera ouverte par notre Ambassadeur, M. Philippe Faure.
Date : Lundi 20 avril 2009
Heure : de 19h00 a 20h30
Lieu : Espace Images de l’IFJT
Intervenants :
– L’Attaché de Sécurité Intérieure de l’Ambassade de France
– Un représentant de l’Agence Nationale de la Police Japonaise (NPA)
– Le Consul de France à Tokyo
– Un avocat japonais
Les thèmes suivants seront abordés au cours de cette table-ronde :
– La loi au Japon, ce qu’on doit savoir pour y vivre harmonieusement ;
– Les différences sensibles avec la France et celles susceptibles d’être sources de conflit ;
– Les rapports avec la justice au Japon ;
– Ce qu’il faut savoir et connaître si un membre de la famille doit rendre des comptes à la justice ;
– Illustrations des risques et leçons à en tirer pour la communauté française : vol, consommation ou détention de stupéfiants, conduite en état d’ivresse, infractions routières, etc.
Nous vous remercions de nous faire parvenir vos questions au préalable. Nous consacrerons un temps suffisant pour les traiter en proposant un échange entre nos intervenants et la salle.
Programme
19h00 à 20h30 Table-ronde à l’Espace Images de l’Institut franco-japonais de Tokyo
20h45 à 22h30 Dîner (optionnel)
Inscription à la table-ronde (lire la suite de l’article, svp)
Continuer la lecture de La répression des infractions au Japon : cycle de conférences de l’UFE Japon
Présence française dans le Japon de l’ouest, communication de l’Ambassadeur
Note de la rédaction : Nous diffusons un message de l’Ambassadeur initialement publié sur le site de l’Ambassade de France au Japon.
Aujourd’hui, notre réseau diplomatique et consulaire évolue : dans tous les pays nous cherchons à remplir nos missions de manière plus efficace, afin de mieux promouvoir, à un moindre coût pour le contribuable, les intérêts et l’influence de la France à l’étranger. Cette situation nous a conduits au Japon à réexaminer l’ensemble de notre dispositif : Ambassade, Consulat général, établissements culturels.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la reconfiguration de notre Consulat général à Osaka et Kobe. Je me suis fixé, depuis le départ, trois objectifs : mieux utiliser les moyens dont nous disposons ; garantir à nos compatriotes du Japon de l’Ouest un niveau de service au moins équivalent à celui qu’ils connaissent aujourd’hui ; donner une plus grande visibilité à l’activité de notre Consulat général. Je souhaiterais ici vous présenter les grandes lignes de cette réforme.
L’idée est d’installer notre Consulat général à l’Institut franco-japonais du Kansai, à Kyoto (15 mn de Shinkansen depuis Osaka). Outre une évidente économie de loyer, ce transfert permettra au Consul général de disposer d’un lieu privilégié, pour recevoir la communauté française et la mettre en contact avec les Japonais. Les personnalités de passage – dont j’ai observé qu’elles étaient très nombreuses à Kyoto – devraient également en bénéficier. Notre Consul général pourra ainsi mieux exercer les principales missions qui lui sont confiées aujourd’hui : être l’interlocuteur de la communauté française, appuyer nos intérêts économiques, accroître le rayonnement et l’influence de la France dans toute la circonscription.
Venons en maintenant au sujet qui préoccupe le plus nos compatriotes, celui des services consulaires. J’ai été particulièrement attentif sur ce point et je souhaite donc l’évoquer dans le détail :
* Les actes consulaires pour lesquels la présentation du demandeur n’est pas requise (vérification de traduction ou transcription d’actes d’Etat civil par exemple) seront traités à Tokyo. Un agent sera transféré d’Osaka vers la section consulaire de l’Ambassade à cette fin, et il sera entièrement dédié au suivi de l’administration des Français de la circonscription du Japon de l’Ouest.
* Pour les actes qui nécessitent la comparution du demandeur (cartes d’identité, passeports, certificats de vie par exemple), une permanence consulaire sera assurée avec une périodicité mensuelle à Osaka et à Kyoto par la section consulaire de l’Ambassade.
* Le Consul général continuera à réunir et à animer à Kyoto les commissions essentielles pour la vie de la communauté française : commission des bourses scolaires, CCPAS, commission administrative électorale, comité de sécurité. Nos compatriotes pourront continuer à voter à Osaka lors des élections dans leur circonscription.
* Enfin, notre consul général demeure naturellement l’interlocuteur privilégié de la communauté française du Japon de l’Ouest. Cela est d’autant plus vrai pour les situations d’urgence. Il conservera parmi ses priorités la préparation de la communauté française aux situations de crise.
J’ai la conviction que cette réforme, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2010, rendra notre dispositif plus efficace, y compris pour le service aux Français, et qu’elle nous permettra de maintenir dans tout le Japon de l’Ouest – jusqu’à Okinawa – une présence forte et active. Je l’ai déjà présentée à vos deux conseillers de l’Assemblée des Français de l’étranger résidant au Japon et je me rendrai moi-même dans les prochaines semaines à Osaka et à Kyoto pour l’expliquer plus en détail à la communauté française. D’ici là, notre consul général, M. Alain Nahoum, est à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.
Divorces franco-japonais : Question écrite posée par M. Richard YUNG (représentant les Français établis hors de France)
Source : https://www.senateursdesfrancaisdumonde.net/richard-yung/francais-a-l-etranger/1015/divorces-franco-japonais.html
Question écrite n° 07068 posée par M. Richard YUNG (représentant les Français établis hors de France) publiée dans le JO Sénat du 22/01/2009
M. Richard Yung attire l’attention de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice sur les difficultés très graves rencontrées au Japon par certains ressortissants français séparés ou divorcés d’avec un ressortissant japonais. Plusieurs drames familiaux découlent actuellement de l’application de la législation nippone. Celle-ci ne reconnaît pas le partage de l’autorité parentale. En cas de divorce au Japon, un seul parent hérite de l’autorité parentale jusqu’à la majorité de l’enfant (20 ans). Dans plus de 80% des cas, c’est à la mère qu’est attribué l’exercice de cette autorité après le divorce. Or, les couples franco-japonais étant majoritairement constitués d’un ressortissant français et d’une ressortissante japonaise, ce sont des pères français qui sont le plus souvent concernés par l’application de la législation nippone. En outre, des parents français sont aujourd’hui privés du droit de voir leur enfant car le droit japonais reconnaît très rarement le droit de visite et la non présentation de l’enfant n’est pas sanctionnée dans ce pays. Ces pratiques sont contraires à la convention internationale des droits de l’enfant, que le Japon a signée en 1994 et dont l’article 9 stipule que les États parties respectent le droit de l’enfant séparé de ses deux parents ou de l’un d’eux d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents. De plus, le Japon ne sanctionne pas l’enlèvement parental et il n’a pas encore signé la convention internationale sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants. Cette situation étant préjudiciable à certains ressortissants français, il lui demande donc quelles sont les initiatives que le Gouvernement français entend prendre afin de coordonner ou d’harmoniser le droit de la famille entre la France et le Japon dans le souci de faire prévaloir l’intérêt supérieur des enfants nés de couples franco-japonais.
Réponse de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice publiée dans le JO Sénat du 12/03/2009
La garde des sceaux, ministre de la justice, fait connaître à l’honorable parlementaire qu’elle porte la plus grande attention à la lutte contre les déplacements internationaux dont sont victimes, au premier chef, des enfants, ainsi projetés au coeur de conflits familiaux souvent dramatiques. En l’absence d’accord international comportant des dispositions applicables à la coopération familiale entre la France et le Japon, les difficultés soumises en ce domaine au ministère de la justice sont systématiquement portées dans les plus brefs délais à la connaissance du ministère des affaires étrangères et européennes, notamment aux fins de mise en place d’une assistance consulaire. De plus, les parents victimes d’un déplacement d’enfant, notamment de France vers le Japon ou inversement, ou ceux éprouvant des difficultés pour exercer un droit de visite, ont la possibilité de solliciter de la direction des affaires civiles et du sceau (bureau de l’entraide civile et commerciale internationale) une aide à la médiation familiale, dans le but de dégager des solutions consensuelles afin de régler le litige. Continuer la lecture de Divorces franco-japonais : Question écrite posée par M. Richard YUNG (représentant les Français établis hors de France)
Ouverture d’une garderie maternelle le 9 mars 2009 (Tokyo)
L’AF-fcpe est ravie de vous annoncer l’ouverture d’une garderie maternelle le 9 mars 2009!
Cette initiative de l’AF-fcpe, répond à une demande récurrente de parents d’élèves mais aussi à la volonté de notre association de vous proposer des activités et services qui participent à la bonne intégration de votre enfant au LFJT et à faciliter votre vie au quotidien.
La mise en place de cette garderie permettra ainsi aux parents qui travaillent de récupérer leur enfant à la même heure qu’un enfant en étude surveillée, soit 16h45.
La garderie aura lieu les lundis, mardis, jeudis et vendredis hors vacances scolaires.
Les moyens mis en œuvre seront de deux personnes par soir, dont obligatoirement un personnel de l’école: enseignant volontaire ou ATSEM (assistante maternelle) volontaire. En cas de besoin, l’AF-fcpe recrutera en appui une personne extérieure.
La garderie aura lieu dans les salles de classe des enseignants et de l’assistante maternelle, une salle de classe sera occupée chaque soir.
Durée de la garderie : La garderie débute à 15H et se termine à 16H45. Un goûter devra être prévu par les parents.
La garderie débutera par une récréation (jardin de la maternelle) ensuite les enfants seront dans la salle de classe.
Coût pour les parents : 1200 yens par jour*, possibilité de tarifs dégressifs selon la situation familiale (bourses, chômage récent, plusieurs enfants en garderie…), n’hésitez pas à nous l’indiquer. L’inscription est trimestrielle.
* Non adhérents AF-fcpe: + 1000 yens de frais de dossier (annuels).
Nous commençons les préinscriptions dès aujourd’hui.
Envoyez dès maintenant votre préinscription à association@familles-lycee-tokyo.com .
Merci de nous communiquer les informations ci-dessous : nom parents, nom et prénom de l’enfant, classe et jours souhaités.
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions !
Très cordialement,
L’équipe AF-fcpe
https://www.familles-lycee-tokyo.com/
