Lycée : compte rendu par l’AF-fcpe de la visite du site de Takinogawa (futur LFJT)

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Réunion de la commission des appels d’offres pour le futur Lycée Franco-Japonais et compte rendu de la visite du site de Takinogawa. (Message adressé aux adhérents de l’Association AF-fcpe)
Chers adhérents,
Le vendredi 13 février se tiendra la prochaine réunion de la commission des appels d’offres. Lors de cette réunion, l’attribution du contrat de « project manager » (société en charge de la planification et de la coordination du projet de rénovation immobilière du site Takinogawa) pour le nouveau lycée sera abordée.
A cette réunion, la représentante de l’AF-fcpe défendra à nouveau notre souhait d’inscrire ce projet immobilier dans le cadre du développement durable. Nous avons par ailleurs initié des contacts auprès d’un architecte spécialisé dans ce type de projet et nous avons notamment étudié la possibilité de bénéficier de subventions dans le cadre du programme « Eco-flow » lancé par le gouvernement japonais.
Pour rappel, vous trouverez ci-joint le compte rendu de la dernière visite du site de Takinogawa organisée en décembre dernier.

Cette visite à laquelle étaient présents entre autres les officiels, les représentants des membres du CA, les entreprises impliquées dans le projet, avait pour objectifs:
– de présenter les premières conclusions du travail effectué par le cabinet d’architecture Nihon Sekkei sur le diagnostic technique
– de donner la possibilité à d’autres représentants des parents d’élèves et de professeurs de visiter le site de Takinogawa.

Déroulement de la visite:
– présentation du travail de Nihon Sekkei à partir de plans d’études provisoires
– visite brève du bâtiment principal (nous n’avons pas visité les salles de classe qui étaient fermées), aperçu de l’ensemble depuis le toit, visite extérieure (cours et autres bâtiments) et visite des équipements sportifs intérieurs (gymnase + dojo)
– réponse aux diverses questions

La relocalisation du LFJT sur le site Takinogawa comporte trois volets principaux:
– volet juridique et fiscal
– volet technique
– volet financier

Les 2 premiers volets ont été entièrement traités et validés; le troisième volet, et pas le moindre, est en cours de finalisation: les finances.
En effet, la clé de cette opération financière est le différentiel entre le prix de vente de Fujimi et le prix d’achat du nouveau site. Un appel d’offres va être lancé en fin de semaine prochaine pour la vente de Fujimi. En juin 2009, nous devrions pouvoir connaître l’offre d’achat pour Fujimi. Si les conditions proposées assurent la viabilité du projet, celui-ci sera définitivement lancé et en octobre 2009 la transaction financière de ce projet (vente + achat) devrait être bouclée. La crise financière actuelle (chute du marché immobilier, fragilité des banques…) n’offre pas un climat favorable pour ce type de transaction et surtout, il est très difficile de faire des estimations sur les offres possibles. Il faudra donc patienter encore 6 mois avant de connaître le montant réel des transactions.

Ce qui signifie qu’il existe encore une petite marge d’incertitude sur le lancement du projet. Ce n’est qu’à la fin de l’été (et au plus tard en octobre) que la décision définitive devrait être prise, en fonction des résultats de l’appel d’offres et de la finalisation du montage financier (le projet nécessitant un emprunt pour couvrir le différentiel entre le produit de la vente de Fujimi et le prix du site et des travaux à Takinogawa).
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Les charmes et les risques d’un mariage franco-japonais

Note du webmestre : À la suite des articles de Jacques Colleau, responsable de Sos Papa International et d’Aurélie Mestre, psychanalyste, nous publions aujourd’hui un article de Richard Delrieu, président de « SOS Parents Japan ». Cette série d’articles est destinée à sensibiliser le public aux problèmes rencontrés lors de mariages franco-japonais, problèmes dus notamment aux différences culturelles mais aussi aux différences de législation entre la France et le Japon.

Les charmes et les risques d’un mariage franco-japonais par Richard Delrieu
Beaucoup d’hommes français, séduits par la grâce et par la souriante féminité des Japonaises, par leur douceur et leur docilité apparentes, rêvent d’un amour, voire d’un mariage avec une femme de ce pays qui les fascine. Certains font une rencontre en France. D’autres, nourris de la culture manga ou passionnés d’arts martiaux, de calligraphie, ou encore fascinés par la réussite économique du Japon, tentent l’aventure et le grand voyage. Depuis peu arrivés dans l’Archipel, il n’est alors pas rare que, peu au courant des différences dans les notions d’amour et de couple entre nos deux cultures, ni des spécificités de la loi japonaise concernant le mariage et le divorce, beaucoup se retrouvent, séduits, la bague au doigt. Des Françaises aussi, en moins grand nombre toutefois — le mâle japonais ferait-il moins rêver ? — optent pour le mariage international et fondent une famille avec un ressortissant japonais.

Aussi exaltante que puisse être cette expérience de mariage interculturel, il faut bien reconnaître que si celui-ci se crée, dans le meilleur des cas, sur un sentiment sincère, il se fonde presque inévitablement, par ignorance, sur des malentendus. Car si l’émotion amoureuse peut être commune, les conceptions de l’amour et du mariage, ainsi que les lois qui les régissent, sont très éloignées entre nos deux cultures, et cela ne se découvre, malheureusement, qu’avec le temps et l’expérience…
En France, dans la très grande majorité des cas aujourd’hui, les futurs époux se choisissent librement et par inclination réciproque. Ils choisissent d’unir leurs existences dans le but principal (et peut-être idéal) de se rendre heureux mutuellement. Le couple reste le cœur de la famille et sa bonne santé affective et sexuelle est garante de l’unité de celle-ci. Pouvoir passer du temps avec son ou sa partenaire, et avec ses enfants, fait partie des priorités de la vie des Français. Les considérations matérielles, bien qu’importantes pour l’avenir familial, ne sont pas mises au premier plan dans le choix d’un mari. Les épouses, majoritairement, travaillent. Les enfants ne sont généralement pas le but principal du mariage : ils viennent compléter et prolonger le couple. Les pères s’impliquent de plus en plus dans les soins apportés aux enfants, dans leur éducation, et entretiennent avec eux des relations affectives proches et approfondies. La vie de famille est, pour leur plus grand nombre, aussi importante que leur vie professionnelle — quand ce n’est pas davantage. En cas de séparation et de divorce, la loi française établit un partage de l’autorité parentale et assure un droit de visite régulier au parent qui ne reçoit pas la garde des enfants. La non-présentation d’enfant y est sévèrement punie par la loi et la force publique fait respecter celle-ci. Le divorce entre les parents ne signifie pas le divorce d’un des deux parents avec les enfants.
Il en est tout autrement au Japon. Le nombre de mariages arrangés (omiai) reste très élevé. Encore peu de femmes mariées travaillent et le choix d’un mari passe par l’examen du montant de son salaire annuel. Selon le magazine économique Aera, 80 % des femmes japonaises posent comme condition que l’homme gagne plus de 6 millions de yens par an (49 000 €) (1) . Et 70 % des divorces au Japon ont une cause économique — généralement, la perte d’emploi du mari. Celui-ci attend avant tout d’une bonne épouse qu’elle s’occupe bien des enfants et de la maison. Le mariage est ainsi conçu plus comme une association, voire une entreprise, que comme la réunion de deux êtres mués par l’amour et par le désir de vivre ensemble pour se rendre mutuellement heureux — d’où un désenchantement probable pour nombre d’étrangers, une fois passée la lune de miel. En effet, le mariage japonais semble se baser sur des attentes encore, disons-le, assez « préhistoriques » : l’homme chasseur ramène la nourriture tandis que la femme prépare le feu, fait cuire les aliments et s’occupe des enfants au campement. Les rôles y sont donc bien définis et le conformisme est de règle. Les épouses mères sont vouées à leur progéniture, et les pères, surchargés de travail à l’extérieur, sont absents et n’entretiennent que des relations lointaines avec leur épouse et leurs enfants. Il n’est pas rare que le père travaille et habite à plusieurs centaines de kilomètres de sa famille, et ne rentre que rarement la visiter, ou pas du tout. L’affectivité entre les époux s’étiole et la vie sexuelle devient épisodique, voire inexistante, après la naissance du premier enfant — parfois même avant — , et encore plus si le père vit loin de la famille. Sa relation avec les enfants est, dans tous les cas, improbable. En cas de séparation ou de divorce, il semblera alors normal, au Japon, que ce type de relation se perpétue et que les ponts soient coupés entre le père et ses enfants, comme il le sera entre les époux : le divorcé devient, en effet, un étranger (tanin) pour son ex-conjoint et pour son ex-belle-famille. Notons que 90% des divorces se font au Japon par consentement mutuel à la mairie, et que, concernant les enfants, le formulaire de divorce à remplir par les époux ne permet d’indiquer, sans autre détail, que l’unique parent qui sera désormais détenteur de l’autorité parentale. Restent 10% des divorces : environ 9% vont se résoudre en conciliation judiciaire (chotei), et les 1% restants qui ne pourront se mettre d’accord devront avoir recours à l’arbitrage d’un juge (shinpan). L’autorité parentale, unique au Japon, est confiée, ainsi que la garde des enfants, dans plus de 80 % des cas à la mère. Le père ne reçoit en échange que des devoirs, et principalement celui de payer une pension alimentaire (ce dont les pères japonais s’acquittent assez rarement). Mais il n’a, de toute façon, plus aucun droit de regard sur l’éducation des enfants, et ne reçoit que très rarement du tribunal un droit de visite, qui n’existe pas dans la loi japonaise — contrairement à la Chine ! — , et dont l’application est soumise, après le jugement, et dans les faits, à l’arbitraire du parent détenteur du droit de garde.

Ainsi, il n’est pas rare qu’un des parents (et généralement la mère) prenne l’initiative, avant même que la séparation ne soit décidée, d’enlever brutalement les enfants et de se réfugier dans sa famille en refusant qu’ils aient désormais le moindre contact avec leur autre parent, tout en réclamant une pension. La loi japonaise ne punit pas l’enlèvement parental et le Japon est le seul pays du G8, avec la Russie, à n’avoir toujours pas signé la Convention de La Haye sur les aspects civils des déplacements illicites d’enfant. Il n’applique pas non plus l’article 9-3 de la Convention relative aux droits de l’enfant (CRC), dite « Convention de New York » — qu’il a signée le 22 avril 1994 (déjà 15 ans !) — article qui établit que « Les Etats parties respectent le droit de l’enfant séparé de ses deux parents ou de l’un d’eux d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents, sauf si cela est contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant. » Mieux, c’est le parent qui sera le plus prompt à enlever les enfants qui prendra l’avantage sur le plan juridique pour l’attribution de la garde et de la pension.
Il semble assez étrange que les Consulats français n’aient pas, jusqu’à présent, dispensé d’information aux nouveaux (et aux moins nouveaux) résidents, au sujet des spécificités de la loi japonaise en matière de divorce et d’autorité parentale — laissant ainsi, pour parler concrètement, aller les futur(e)s marié(e)s français(es) au « casse-pipe ». Ce n’est que depuis juin 2008 qu’est apparu, sur le site de l’Ambassade de France à Tokyo, un article intitulé Déplacements illicites d’enfants / non-représentation d’enfants (2) . Encore faut-il aller le chercher…à la rubrique Divorce, ce que ne font pas naturellement ceux qui s’apprêtent à convoler en justes noces ! (L’information arrive, hélas, trop tard ! L’inclure aussi à la rubrique Mariage de ce site serait pertinent.) Pourquoi, dès lors, ne pas distribuer aux résidents une note d’information, sur papier ou par courriel ? La question est assez sérieuse pourtant, pour mériter qu’on prémunisse nos compatriotes : elle concerne l’avenir de tous les enfants franco-japonais. A-t-on peur de fâcher ? Préfère-t-on, en haut lieu, sacrifier ceux-ci aux intérêts de la diplomatie (du commerce) ? En clair : nos enfants valent-ils moins que des marchandises ? C’est ce que finissent par penser et par dire certains parents privés indûment de leurs enfants, exaspérés et réduits à la déréliction. Certains n’hésitent pas à prévoir sous peu des actions radicales, comme des grèves de la faim collectives, pour pousser l’Etat japonais à prendre ses responsabilités. Et il sera bien difficile de les en empêcher. En poussant le raisonnement, on peut aussi se demander s’il est bien légitime et raisonnable de célébrer ou de valider des mariages internationaux avec des ressortissants d’un pays qui ne signe pas la Convention de La Haye et qui n’applique pas la Convention relative aux droits de l’enfant qu’il a signée. Car on se doute bien que des enfants pourront naître de tels mariages, et que bien des drames apparaîtront, drames que l’on pourrait éviter en se montrant, au niveau des états, plus exigeant et plus prudent. La sagesse ne serait-elle pas — du côté français — de conditionner la validation de ces mariages à la signature et à l’application de ces conventions internationales ? Il faut arrêter de se boucher les yeux comme les Singes de Nikko !
En effet, on compte par centaines les cas d’enlèvement d’enfants binationaux (dont plusieurs dizaines d’enfants franco-japonais) par leur mère japonaise à l’intérieur même de l’Archipel ou à l’étranger et ramenés brutalement au Japon — enlèvements qui restent toujours impunis, l’Etat japonais protégeant ses ressortissantes. Ajoutons que, contrairement à la France, les tribunaux japonais refusent de reconnaître les jugements de divorce prononcés à l’étranger, et n’hésitent pas à réattribuer la garde et l’autorité parentale à la mère japonaise lorsqu’elle a kidnappé les enfants et les as ramenés au Japon par surprise, même si un tribunal français les avait précédemment attribuées au père. Lorsque ces faits d’enlèvement se produisent à l’intérieur même du Japon, les juges protègent les mères japonaises et entérinent les enlèvements (idem pour les enfants de couples Japonais Japonais). « Dans l’archipel, 166 000 enfants, selon des chiffres officiels, sont chaque année privés d’un de leurs parents (de leur père, en général).» écrivait récemment Michel Temman dans Libération (3) . Et Thierry Consigny, Conseiller AFE, évoque, dans ses vœux sur france-japon.net (4) : « (…) les associations parentales japonaises qui luttent en faveur d’une justice nipponne plus juste et équilibrée pour les deux parents. Une vingtaine d’associations japonaises sont maintenant réunies en une « Alliance pour des droits parentaux équitables au Japon (AEPJ) », qui effectue un intense travail de lobbying politique et médiatique. ». AEJP, avec laquelle l’association SOS Parents Japan, fondée par des Français, travaille depuis quelques mois déjà en étroite collaboration (5).
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Conférence UFE sur la sécurité alimentaire

L’Union des Français de l’Etranger (UFE) organise le mercredi 18 février à 19 heures à l’Institut Franco-Japonais de Tokyo une conférence sur la sécurité alimentaire. Beaucoup de français s’interrogent en effet sur les normes et les systèmes de contrôle en matière de sécurité alimentaire au Japon.
Notre objectif sera de comprendre et d’évaluer la réglementation japonaise, mais aussi d’identifier les sources d’inquiétudes potentielles (importations chinoises, mélamine, grippe aviaire…).
Nous souhaitons que cette conférence qui réunira un représentant de l’ambassade de France et des représentants du secteur agro-alimentaire et de la distribution, soit aussi source d’information pratique pour la communauté française (comment mieux sélectionner nos produits, quels risques concrets pour la santé, …). Un pédiatre interviendra donc dans la conférence et nous recherchons maintenant un nutritionniste pour compléter notre panel d’experts. Si vous êtes ou connaissez un spécialiste de la nutrition, parlant français, et pouvant intervenir sur le sujet, je vous remercie de bien vouloir nous aider et nous contacter.

Nathalie Etzenbach
Membre du bureau de l’Union des Français de l’Etranger Japon
Site : www.ufe.jp
Contact : bureau@ufe.jp

Pères divorcés et privés de leurs enfants (au Japon) : un article de Libération

Dans son édition du 12 janvier 2008, Libération publie un article de Michel Temman présentant fort bien les problèmes rencontrés par les pères (à 99% mais aussi parfois par les mères) après une séparation ou un divorce. Il leur est en effet la plupart du temps impossible de rendre visite à leurs enfants ni d’exercer le moindre droit de garde*. L’article met en relief l’archaïsme du droit de la famille japonais qui attribue à un seul parent l’exercice de l’autorité parentale après un divorce.
Un SOS a été lancé à Bernard Kouchner afin qu’il intervienne en faveur des enfants français kidnappés au Japon. L’ambassadeur de France au Japon, Philippe Faure, a, au nom de l’Union Européenne, entrepris une démarche en ce sens auprès du ministre japonais des Affaires étrangères. La demande est également relayée par les États-Unis et le Canada.

Extrait : «Je veux juste voir Marie-Anne, juste lui parler. Ma fille est privée depuis cinq ans de tout contact avec sa seconde famille, autant qu’avec son second pays et sa seconde culture.» Ses cadeaux de Noël sous le bras, Jacques Colleau marche vers la maison où vit son unique enfant de 8 ans, depuis, dit-il, son «kidnapping brutal par sa mère, à l’été 2003». La villa est au bout d’une ruelle de Kazo, une petite ville cerclée de rizières, au nord de Tokyo. Là vit son ancienne épouse depuis qu’ils ont divorcé, il y a cinq ans. Comme un million de pères japonais et des milliers d’étrangers (dont une cinquantaine de Français), Jacques Colleau est privé de contact avec son enfant.

Lire l’article sur liberation.fr (lien direct)

Voir aussi le site de l’association SOS Parents Japon mentionnée dans l’article de Libération.

(* Note : Pas étonnant alors que dans ces conditions seuls 10% des pères japonais versent une pension d’éducation des enfants à leur ex-épouse après un divorce.)

Mardi 20 janvier 2009 – Café Accueil de l’AFJ

Sous le haut patronage de Madame l’Ambassadrice Christine FAURE, et avec la participation de Monsieur Philippe MARTIN, nouveau Consul à Tokyo, l’Association des Français du Japon invite tous les compatriotes nouveaux arrivants à son café accueil.
Cette manifestation est spécialement dédiée à tous les Français nouvellement installés dans le Kanto pour leur permettre d’avoir une vue globale de la communauté française en général et associative en particulier. L’objectif est de rendre leur installation et leur intégration plus facile et plus rapide.
Un buffet petit-déjeuner sera offert.

Il sera possible de :
• S’informer sur les démarches administratives d’enregistrement et de securité auprès des représentants de la section consulaire de l’Ambassade de France;
• Rencontrer les correspondants du Kanto de Japon Accueil pour obtenir des informations locales par quartiers;
• S’informer sur la communauté associative française qui offre une vaste panoplie de services variés et complémentaires;
• Se procurer le guide « Tokyo Accueil », source d’informations pratiques indispensables à tout nouvel arrivant à Tokyo;
• Faire de nouvelles connaissances et nouer des amitiés avec les anciens et les nouveaux Français du Japon.

Participation :
– Café Accueil uniquement  = Gratuite
– Avec formule déjeuner a midi = 1750 yen
Date : Mardi 20 janvier 2009

Horaires : de 09h00 à 11h30
Lieu : Brasserie de l’Institut Franco-Japonais de Tokyo
Adresse: 15 Ichigaya-funagawara-cho Shinjuku-ku, Tokyo 162-8415
Téléphone: 03-5206 2862 (Ms. Kyoko TAKEDA)
Transport: Gare Iidabashi
- Train JR: Lignes Chuo et Sobu. Sortie ouest Ligne Sobu
- Métros: Lignes Yurakucho, Tozai, Namboku ou Oedo. Sortie B3 ou B2a
- Parking : AUCUN parking à l’Institut ni à proximité.
Inscription : PAR COURRIEL UNIQUEMENT Cliquez ICI
Administratrice responsable: Sabine DELEMER
Source AFJ : https://cms.afj-japon.org/index.php?id=647

Table ronde du réseau Oyakonet du 13 juillet 2008: vidéos 4bis, 5 et 6

NB: Les interventions sont en japonais.


Table ronde du réseau Oyakonet du 13 juillet 2008 (en japonais) 04-bis from France-Japon.net on Vimeo.


Table ronde du réseau Oyakonet du 13 juillet 2008 (en japonais) 05 from France-Japon.net on Vimeo.


Table ronde du réseau Oyakonet du 13 juillet 2008 (en japonais) 06 from France-Japon.net on Vimeo.

À voir aussi sur le site sos-parents-japan.org.

Au Japon : 3e Noël sans Papa pour un enfant volé

R. a neuf ans. Il est silencieux. Il n’a pas droit à la parole.
Il y a deux ans et quatre mois, sa mère japonaise l’a enlevé pendant que son père français était allé en France soigner sa mère âgée. L’histoire se passe au Japon, un pays très moderne et très avancé, où les voleurs d’enfants sont protégés par la loi et les tribunaux.

Depuis son enlèvement, R. vit chez ses grands-parents avec sa mère. Elle l’a fait changer d’école, quitter tous ses copains, sa maison ensoleillée entourée de forêt sur les hauteurs de la ville, et surtout son papa qui l’aime tant et qu’il aimait tant. Son nouveau quartier est le plus triste de Kyoto, au sud de la gare, où les entrepôts et le trafic des camions et leurs gaz ont remplacé l’air pur et les chants d’oiseaux sur le chemin de l’école. Sa chambre est devenue bien petite, et les vitres dépolies des fenêtres limitent son univers, les jours et les heures sans école, à l’intérieur d’une maison dont la seule ouverture de lumière est un minuscule jardin intérieur, métaphore d’une famille tronquée et repliée sur elle-même.

Le papa de R., voulant éviter tout nouveau traumatisme pour son fils, a choisi, trop confiant en la justice locale, de ne pas aller reprendre de force son enfant et de respecter la voie légale. Il a déposé au tribunal une demande de retour de l’enfant au domicile familial, domicile qui est toujours le sien. Ses avocats lui ont conseillé de ne rien faire sinon d’attendre la décision du juge. Depuis 28 mois, sa demande est toujours en cours d’examen…Et l’enfant grandit sans père.

Malgré ses demandes continuelles de visites, le père et le fils n’ont pu se voir, montre en main, que 54 heures depuis la séparation, survenue en août 2006. Durant les 18 derniers mois, pour les rares fois où la mère n’a pas refusé les visites, celles-ci n’ont pas duré deux heures et se sont passées en présence de la mère et des avocats des deux parties — conditions très propices à un maintien du naturel dans les relations père – enfant ! On ne peut pourtant imputer au père aucun acte de violence à l’encontre de l’enfant ni de la mère pour justifier de ces conditions imposées par celle-ci. Et si la plupart du temps, la mère a pu refuser les visites, c’est pour la simple raison que le « droit de visite » n’est pas stipulé dans la loi japonaise. En fait, ce droit existe depuis avril 2001 en Chine, pays qui a la réputation de ne pas respecter les Droits Humains, mais pas au Japon, qui comme chacun sait, est une démocratie.
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Album de photos du Japon : nouveaux albums de 2008

Tokyo
L’album de photos du Japon de france-japon.net s’est enrichi de nouvelles catégories en 2008  et la hiérarchie des sous-albums a été modifiée comme suit :

Photos de france-japon.net

Paris
Beaucoup de photos sont encore sans commentaire. La mise à jour se fera progressivement.

1er Salon étudiant du Lycée Franco-Japonais de Tokyo

Voir : https://ryuhoku.lfjt.or.jp/salon-etudiant/
Avec le soutien de l’Ambassade de France au Japon, de la Chambre de Commerce et d’Industrie Française au Japon et du représentant de l’Assemblée des Français de l’Etranger pour l’Asie du Nord, le Lycée Franco Japonais de Tokyo organise pour la première fois cette année à Tokyo un salon des études postbac pour les élèves de terminales, 1ères et 2ndes le samedi 17 janvier 2009 de 9h. à 13h.
Etant à 10.000 kms de la France, les élèves ne peuvent assister aux journées portes ouvertes ainsi qu’aux différents salons présentant les nombreuses formations possibles.
L’objet de ce salon est de permettre aux lycéens de rencontrer des étudiants actuellement au Japon, des V.I.E. ou V.I.A. (Volontariat International en Entreprise ou dans l’Administration) et des jeunes professionnels pouvant leur présenter leurs écoles et leurs formations et ainsi pouvoir échanger et poser leurs questions. Ce salon s’organisera autour de villages regroupant des formations d’un même domaine, d’ateliers et de tables rondes sur des thèmes choisis.
Étudiants, VIE, VIA, jeunes professionnels, nous avons besoin de vous !!!
Cliquez sur le lien suivant : https://ryuhoku.lfjt.or.jp/salon-etudiant/inscription.html
Message initialement posté dans le forum par l’association Sciencescope ici.