L’Âme Japonaise, essai de psychologie analytique transculturelle

9782343057712fL’ÂME JAPONAISE Essai de psychologie analytique transculturelle
de Jean-Claude Jugon

Voir le site des éditions L’Harmattan

Cet ouvrage présente sous un angle révolutionnaire dans le champ des études transculturelles la typologie de Carl-Gustav Jung qui décrit l’organisation de l’âme humaine. Il s’agit de la psyché qui relie secrètement tous les peuples et tous les êtres. La seconde partie est une application de cette typologie à l’âme japonaise. À partir de nombreux exemples culturels, l’auteur démontre que l’attitude psychologique de base au Japon est orientée vers l’extraversion suite à la survalorisation de la spatialité, mais qu’elle est compensée par des comportements introvertis dans les relations humaines.

Le groupe sanguin, un trait psychologique pour les Japonais (Nouvel Obs)

Un article intéressant sur le Nouvel Observateur :
Le groupe sanguin, un trait psychologique pour les Japonais
Extraits : Au Japon, demander à quelqu’un son groupe sanguin est bien plus qu’une simple question. Ca peut être l’introduction à une rencontre sentimentale ou à un entretien d’embauche.

Comme on peut le lire dans ces livres, les personnes du groupe A sont des perfectionnistes sensibles, mais très anxieux; les gens du type B sont joyeux, mais excentriques et égoïstes; ceux du groupe O sont curieux, généreux mais têtus; et ceux du groupe AB sont artistes, mais secrets et imprévisibles.

en dépit d’avertissements répétés, de nombreux employeurs continuent à demander les groupes sanguins lors des entretiens d’embauche, a indiqué Junichi Wadayama, un responsable du ministère de la Santé, des Affaires sociales et du Travail.

« Les groupes sanguins, déterminés par les protéines présentes dans le sang, n’ont rien à voir avec la personnalité », a rappelé Satoru Kikuchi, professeur associé de psychologie à l’Université Shinshu. « C’est simplement de la fausse science », a-t-il ajouté. « L’idée encourage les gens à juger les autres sans même essayer de les comprendre comme des êtres humains. Ca ressemble à du racisme ».

Voir l’article complet sur le site du Nouvel Observateur