Le Monde diplomatique : Manière de voir — Le Japon méconnu

Numéro 105 / Juin – juillet 2009
Dans sa série « Manière de voir », Le Monde Diplomatique a sorti un numéro intitulé « Le Japon méconnu ».
Voir cette page.
Dans cet ouvrage, on trouvera les articles ci-après :
Malaise et révoltes de la génération perdue, de Odaira Namihei
Des Japonais pas comme les autres, de Christian Kessler
Une agriculture abandonnée aux impératifs de la haute croissance, de Augustin Berque
Remise en question du « modèle » occidental, de Philip S. Golub
Entre protectionnisme et différence culturelle, de Bruno Dethomas
Le péril jaune version américaine, de Serge Halimi
Le sanctuaire Yasukuni, ou la mémoire sélective, de Takahashi Tetsuya
Apprendre à se souvenir de Nankin, de Antoine Halff
Cobayes humains pour l’unité 731, de Jacques Decornoy
Hiroshima, 6 août 1945, de John Hersey
Contre le colonisateur britannique, les militaires nippons, de Christopher A. Bayly et Tim Harper
L’histoire cachée des « Japonais américains », de Bruno Rochette
De solides ambitions militaires qui passent par… les Etats-Unis, de Emilie Guyonnet
Surenchère nucléaire entre Tokyo et Séoul, de Selig S. Harrison
L’Amérique entre amour et frustration, de Chalmers Johnson
Regards chinois sur l’Archipel, de Yang Baoyun
Quand l’Asie étudiait sur les bancs japonais, de Karoline Postel-Vinay
Où en est l’égalité des sexes ?, de Nakajima Satoko et Tanasawa Naoko
Débat au point mort sur la peine capitale, de Aurore Brien
La pègre des yakuzas infiltrée dans le monde de l’économie, de Philippe Pons
Construire le présent, reconstruire le passé, de Alain Jouffroy
Tokyo dégaine ses armes de distraction massive, de O. N.
Internet et moi, de Oe Kenzaburo
Etranges étrangers sur grand écran, de Max Tessier

L’épidémie de grippe au Japon en photos

Le Yomiuri Online propose une série de photos du Japon en relation avec l’épidémie de grippe : Bal masqué à Tokyo !
Accès direct à la page des photos : https://www.yomiuri.co.jp/
Par ailleurs le premier cas de grippe porcine vient de faire son apparition dans la capitale. La personne contaminée est une jeune lycéenne de retour des États-Unis.

Japan Pays Foreign Workers to Go Home (The New York Times)

Un article publié sur le site du New York Times Copyright New York Times
Extrait : Officials in Hamamatsu, an industrial town in central Japan, describe the plan to encourage Latin American guest workers, who are descendants of Japanese emigrants, to return home.
HAMAMATSU, Japan — Rita Yamaoka, a mother of three who immigrated from Brazil, recently lost her factory job here. Now, Japan has made her an offer she might not be able to refuse.
Sergio Yamaoka, left, and his wife, Rita, came to Hamamatsu from Brazil with their three children three years ago, at the height of the export boom. But in recent months, the Yamaokas both lost their auto factory jobs.
The government will pay thousands of dollars to fly Mrs. Yamaoka; her husband, who is a Brazilian citizen of Japanese descent; and their family back to Brazil. But in exchange, Mrs. Yamaoka and her husband must agree never to seek to work in Japan again.
“I feel immense stress. I’ve been crying very often,” Mrs. Yamaoka, 38, said after a meeting where local officials detailed the offer in this industrial town in central Japan.
“I tell my husband that we should take the money and go back,” she said, her eyes teary. “We can’t afford to stay here much longer.”
Japan’s offer, extended to hundreds of thousands of blue-collar Latin American immigrants, is part of a new drive to encourage them to leave this recession-racked country. So far, at least 100 workers and their families have agreed to leave, Japanese officials said.
But critics denounce the program as shortsighted, inhumane and a threat to what little progress Japan has made in opening its economy to foreign workers.

Lire l’article intégral sur le site du New York Times (Copyright New York Times)

Au Japon, les femmes attendront (L’Express)

Un article de Philippe Mesmer, publié le 04/05/2009 sur le site de l’Express.
Extrait : « Bien des entreprises nipponnes se séparent de leurs employées en les acculant à la démission.
Sous l’effet de la crise, la situation de la main-d’oeuvre féminine, déjà peu reluisante, s’aggrave dans l’archipel. Invoquant la crise en occultant la mysoginie, de plus en plus d’entreprises poussent leurs salariées vers la sortie.
Employées le plus souvent à temps partiel, par intérim ou à durée déterminée, les Japonaises sont les premières à faire les frais du ralentissement économique.
En l’absence totale ou presque de protection sociale, la situation prend parfois des proportions dramatiques : les mères célibataires, dont le salaire annuel moyen atteint 2 130 000 yens annuels (16 674 A), soit 38 % du revenu moyen, souffrent tout particulièrement.
Alors que le Fonds monétaire international prévoit une contraction de 6,2 % du PIB en 2009, certaines entreprises vont jusqu’à flirter avec l’illégalité pour se séparer d’employées embauchées, en principe, pour une durée indéterminée.
Premières visées, les femmes qui attendent un enfant ou qui ont accouché. Pour les faire partir, il suffit de les affecter dans un service où les horaires sont incompatibles avec ceux d’une vie de famille. Ou encore les obliger à faire des heures supplémentaires… »
Lire la suite sur le site de l’Express.
Copyright L’Express

Le Japon à l’heure du savoir partagé (Le Monde)

Un article de Philippe Mesmer dans le journal Le Monde. (Copyright Le Monde)
Extrait : Pris dans un vent de découverte, le Japon imagine de nouvelles transmissions du savoir, gratuites, civiques, ancrées dans la communauté. La mode bat son plein. Ce « buzz » ne saurait surprendre, à l’heure où l’Archipel succombe à l’attrait des jeux vidéos ludico-éducatifs ou des Open college, des services de cours ouverts à tous mis en place par les universités ou certains groupes des médias pour apprendre une langue, suivre des leçons d’histoire ou s’adonner à une activité artistique. Autant d’initiatives – et souvent de succès – qui illustrent une soif de découverte qui a conduit les universités à profiter du développement d’Internet pour multiplier les cursus à suivre à distance et à tout âge.
Mais tout cela reste institutionnel et souvent onéreux. Un trimestre en Open college peut revenir à 50 000 yens (384 euros) pour une dizaine de leçons. Le tarif minimum d’un cursus complet suivi à distance est de 700 000 yens.
A l’Université de Shibuya, en revanche, les cours sont gratuits. Cet « établissement » né en septembre 2006 dissimule un concept nouveau dans l’Archipel. « C’est un moyen d’apprendre ancré dans la communauté et l’environnement local », explique son président, Yasuaki Sakyo, 29 ans. Il ne s’agit plus de transmettre un savoir, mais « de le partager ». L’université formée sous le statut d’organisation à but non lucratif n’a pas de locaux : « Le campus, c’est la ville. »
Accessible sans concours d’entrée, elle n’accorde pas de diplôme mais elle « met en relation ». Elle contacte des personnes qui vivent ou travaillent à Shibuya, quartier vibrionnant de Tokyo où se côtoient différents univers, de la mode au design, voire l’édition. Elle les invite à partager leur passion ou leur savoir. Puis elle trouve un café, un gymnase, une école, un magasin, un parc… et annonce le cours sur son site. Les leçons, sur des sujets aussi variés que la calligraphie ou l’aromathérapie ont lieu un week-end par mois.

Lire la suite ICI

Une cinquantaine de petites «Élise» au Japon

La presse française s’intéresse de plus en plus au « CAS du Japon » pour les enlèvements et non-présentations d’enfants suite à une séparation ou un divorce. Ainsi, Le Figaro International titrait récemment : « Une cinquantaine de petites «Élise» au Japon« .
On parle aussi du problème de la garde en général : « Les enfants pour eux-mêmes » dans Le Monde. Enfin, écoutez cette interview du Conseiller à l’AFE, Thierry Consigny sur Europe 1 qui parle de la situation au Japon.

Faute d’enfants, le Japon vend ses écoles

Des écoles primaires de l’île d’Hokkaido seront proposées aux enchères sur le site Yahoo! Japan.
Une municipalité japonaise s’apprête à vendre aux enchères sur internet quatre écoles primaires devenues inutiles en raison de la baisse du nombre d’élèves.
La petite ville de Niikappu, située sur l’île nippone septentrionale de Hokkaido, prévoit de proposer le mois prochain au plus offrant ses quatre écoles désertées, via le site d’enchères de Yahoo! Japan, selon Hidenori Tsutsumi, un fonctionnaire municipal chargé de suivre l’affaire.

Article à lire sur le site de liberation.fr. Source AFP et Libération.

La Corée du Nord : un méchant si utile

Un article signé Jean-Marie Bouissou dans Ouest-France.
Extrait :
… La Corée du Sud, dont l’économie n’est pas au mieux, ne craint rien tant que l’effondrement brutal du Nord, qui la submergerait de millions de réfugiés. Le Japon redoute, sans le dire, l’unification à sa porte de quelque 70 millions de Coréens qui ont amplement prouvé leur dynamisme économique, leur fermeté dans les épreuves, mais aussi leur nationalisme parfois exacerbé. En outre, les gesticulations nord-coréennes offrent aux dirigeants de Tokyo l’alibi rêvé qui leur permet, depuis bientôt deux décennies, de faire monter en puissance les forces armées japonaises.

Lire l’article intégral sur le site d’Ouest-France.

Synergies pour la communauté francophone (article de Jipango)

Nous reproduisons ici l’article de Jipango qui présente le webmestre de ce site.
BCG, gestionnaire du portail france-japon.net
Ce site informatif est un carrefour incontournable pour les Français au Japon.

« Je suis venu au Japon parce que j’étais attiré par les arts martiaux, puis cela s’est transformé en un attrait pour la culture et la langue.
C’est en 1999 que j’ai lancé seul ce portail car il n’existait que très peu de sites francophones.
Je souhaite permettre aux francophones de mieux s’intégrer au Japon en leur fournissant des informations pratiques. 750 articles portent sur des sujets variés comme les divorces dans les couples franco-japonais, prendre un bain high-tech, déménager au Japon… Le forum thématique comporte 24 rubriques : accueil au Japon, société japonaise, gastronomie… avec 10 600 membres et une rubrique FAQ. En tant que webmestre, j’anime et coordonne mon équipe composée de modérateurs, de rédacteurs et de techniciens. Ce sont tous des bénévoles français recrutés localement.
En 2009, je souhaite présenter des acteurs clés de la communauté francophone à travers la diffusion d’interviews vidéo. La plus récente est celle de l’écrivain Alain Walter qui a traduit Oku no Hosomichi (L’étroit chemin du fond), œuvre très célèbre du poète Basho.
Mon objectif : donner une vision d’ensemble de la présence francophone au Japon et créer de nouvelles synergies !
Erratum : le titre du livre d’Alain Walter est « L’Étroit Chemin du fond ». (et non « les 3 chemins du fond »)

Les magasins de l’Archipel renforcent encore la qualité du service offert aux clients

Un article de Philippe Pons paru récemment (8/4/2009) dans le journal Le Monde.
Extraits
: Aux trois principales entrées du prestigieux grand magasin Takashimaya, dans le quartier de Nihonbashi, au coeur de Tokyo, des « concierges » – tel est leur nom – guident la clientèle vers les rayons et leur donnent des renseignements sur le quartier, ses magasins ou les restaurants, comme le font les portiers des hôtels. « Nous devons pouvoir répondre à à peu près tout et faire sentir au client qu’il est chez lui », indique Masanori Shikita, trente ans de maison, dans un excellent anglais.
La qualité du service japonais à la clientèle, loin d’être entamée par la crise, est au contraire renforcée. « Les clients se déterminent en fonction du prix, mais aussi du service. Le secteur manufacturier est victime de mises à pied, mais non celui des services, qui compte pour les deux tiers du PIB, estime Kiyoshi Nozawa, directeur adjoint du Centre de productivité pour le développement socio-économique. Le service, dont dépend la fidélité du client, est plus que jamais un facteur de concurrence. »
« Le service fait partie de la culture des grands magasins japonais et en particulier de Takashimaya », note Kazuto Taniguchi, directeur du magasin « amiral » de Nihonbashi. Sur 50 000 m2, un millier de vendeurs et vendeuses, empressés et aimables accueillent chaque jour 35 000 visiteurs.

Voir l’article intégral sur le site du journal Le Monde.

Note de la rédaction : La qualité du service en général était déjà bien supérieure à ce qu’elle est en France. Le fossé va encore se creuser!

Après l’avoir longtemps occulté, le Japon découvre le phénomène de pauvreté

Un article du journal LE MONDE écrit par Philippe Pons, Article paru dans l’édition du 07.04.09.
Extrait : Selon Makoto Yuasa, « la protection sociale au Japon a été entamée sur trois plans : réduction des prestations étatiques, allégement des charges des firmes, extension du travail précaire ». « Le néolibéralisme a eu raison du modèle nippon de l’emploi et le marché du travail a été entraîné vers le bas, juge-t-il. C’est la « société toboggan » : vous commencez à descendre, passant d’un emploi dans une société importante à un poste dans une PME, puis à un autre et ainsi de suite. Vous finissez par franchir le seuil de la pauvreté. Il est pratiquement impossible de remonter. La société japonaise établit une corrélation entre travail et identité sociale. Si l’on perd son travail, on perd ses droits. Les démunis, prisonniers de cette perception, ont tendance à se percevoir comme des vaincus, responsables de leur sort. »
Lire l’article ici.

Nouvelle pauvreté et rupture du compromis social au Japon

Un article de Philippe Pons à lire sur le site du journal Le Monde ici.
Extraits : Aujourd’hui, le ciel de la capitale est parsemé de gratte-ciel et la Tokyo Tower n’est plus porteuse de rêves. Dans les parcs alentour se nichent des sans-abri, avec leurs cartons et leurs hardes. Ils ne sont que la partie émergée de l’iceberg d’une nouvelle pauvreté.

Les statistiques donnent le tableau de cette nouvelle pauvreté : 10 millions de salariés du secteur privé gagnent moins de 2 millions de yens (16 000 euros) par an. Et 20 millions – 35 % de la population active contre 20 % il y a quinze ans – occupent des emplois à contrat à durée déterminée (CDD), parmi lesquels les intérimaires sont près de 4 millions, soit trois fois plus qu’en 1997. En 2007, des raisons économiques ont été mises en avant pour expliquer le suicide de 7 300 personnes. Et, cette année, avant la fin mars, selon les chiffres du ministère de la santé et du travail, 124 800 travailleurs en CDD auront perdu leur emploi…

Le groupe sanguin, un trait psychologique pour les Japonais (Nouvel Obs)

Un article intéressant sur le Nouvel Observateur :
Le groupe sanguin, un trait psychologique pour les Japonais
Extraits : Au Japon, demander à quelqu’un son groupe sanguin est bien plus qu’une simple question. Ca peut être l’introduction à une rencontre sentimentale ou à un entretien d’embauche.

Comme on peut le lire dans ces livres, les personnes du groupe A sont des perfectionnistes sensibles, mais très anxieux; les gens du type B sont joyeux, mais excentriques et égoïstes; ceux du groupe O sont curieux, généreux mais têtus; et ceux du groupe AB sont artistes, mais secrets et imprévisibles.

en dépit d’avertissements répétés, de nombreux employeurs continuent à demander les groupes sanguins lors des entretiens d’embauche, a indiqué Junichi Wadayama, un responsable du ministère de la Santé, des Affaires sociales et du Travail.

« Les groupes sanguins, déterminés par les protéines présentes dans le sang, n’ont rien à voir avec la personnalité », a rappelé Satoru Kikuchi, professeur associé de psychologie à l’Université Shinshu. « C’est simplement de la fausse science », a-t-il ajouté. « L’idée encourage les gens à juger les autres sans même essayer de les comprendre comme des êtres humains. Ca ressemble à du racisme ».

Voir l’article complet sur le site du Nouvel Observateur

La préfecture de police de Tokyo touchée par un virus informatique

Le 22 janvier dans l’après-midi, l’ordinateur central du Département de la Police Métropolitaine de Tokyo a été infecté par un nouveau virus, le « W32.Downadup.B ». Les logiciels antivirus n’ayant pas réussi à éradiquer le virus, 101 ordinateurs en réseau avec le système central ont du être déconnectés pour limiter la propagation du virus.
Le retour à la normale est prévu pour le début de cette semaine. En attendant, divers démarches, comme la délivrance de certificats de parking ou les renouvellements de permis de conduire, sont effectués à la main depuis jeudi.
Les autorités préfectorales n’ont pour l’instant pas de pistes sérieuses, mais évoquent la possibilité que le virus ait infecté le système par les biais d’une clé USB. La possibilité qu’un pirate informatique ait réussi à cette occasion à pénétrer les ordinateurs de la police est jugée faible.
Source Yomiuri Shimbun et Actu Japon (par sa liste de diffusion par courriel)
Mais que fait la police?

Le Japon de plus en plus sûr (Le Figaro)

Lu récemment dans Le Figaro…
La criminalité au Japon a baissé pour la sixième année consécutive, a affirmé aujourd’hui la police (japonaise), renforçant le sentiment de sécurité dont s’enorgueillit l’archipel.
Lire l’article ici.

Au Japon, l’argent s’invite souvent au centre de la vie de couple

À lire sur le journal La Croix ICI. (23/12/2008), un article de Gilles de LESDAIN ( Tokyo ):
Au Japon, l’argent s’invite souvent au centre de la vie de couple
Extrait : Le faible taux d’emploi chez les femmes et le coût de l’éducation des enfants contribuent à monétiser les relations conjugales
.
Le magazine économique
Aera a publié en novembre une étude sur ces Japonaises en quête de mariage. Un phénomène important puisque, selon les chiffres de 2005, 32 % des femmes entre 30 et 34 ans étaient célibataires, un statut mal vu dans l’archipel.

Un «SOS» lancé à Bernard Kouchner (droits de l’enfant, droit des parents au Japon)

Le complément à l’article de MICHEL TEMMAN publié sur le journal Libération et cité dans notre dernier billet est en ligne sur le site liberation.fr ICI.
Jacques Colleau lance «un SOS à Bernard Kouchner afin qu’il intervienne en faveur des enfants français kidnappés au Japon». Le Japon est, avec la Russie, le seul membre du G8 à ne pas avoir signé la convention de La Haye sur les enlèvements d’enfants. Au nom de l’Union européenne, Philippe Faure, l’ambassadeur de France au Japon, a entrepris une démarche en ce sens auprès du ministre japonais des Affaires étrangères. La demande est également relayée par les Etats-Unis et le Canada.

Source : Article de MICHEL TEMMAN publié sur le journal Libération.
https://www.liberation.fr/monde/0101311068-un-sos-lance-a-bernard-kouchner
Copyright Libération

Le Monde : « Le moment inaugural de la philosophie japonaise », un article de Philippe Pons

Rares sont les penseurs japonais contemporains qui n’ont pas eu à se situer par rapport à l’Ecole de Kyoto, soit pour mettre en lumière les pistes de réflexion qu’elle ouvre, soit pour pourfendre ses affiliations avec l’ultranationalisme ou voir en ses épigones des avatars postmodernes du narcissisme culturel. Quels que soient les jugements, « l’Ecole de Kyoto constitue le moment inaugural de la philosophie japonaise au sens moderne du terme », estime le philosophe Hidetaka Ishida, professeur à l’université de Tokyo, qui travaille notamment sur les modernités plurielles…
Article à lire ici :
www.lemonde.fr.