Le dernier numéro de Jipango est paru ! (No 21, printemps 2009)

Dans ce numéro de Jipango, des interviews de Français travaillant au Japon, dont votre webmestre préféré, celui de france-japon.net, évidemment!
« Plus de 8500 Français habitent au Japon. Dans ce dossier, des Français qui y pratiquent différents types d´activités, du voyage à la création de sites web ou à l´enseignement, en passant par la restauration, racontent leur évolution et la tendance actuelle. »
Pour télécharger le numéro en pdf, c’est par ici.

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Assemblée Générale ordinaire 2009 de la représentation Japon de l’UFE

Cette Assemblée Générale sera suivie d’une conférence intitulée « La répression des infractions au Japon : ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil » annoncée dans un précédent article.
Les membres de la Représentation du Japon de l’UFE (« UFE Japon ») sont conviés à participer à son Assemblée Générale ordinaire 2009 (« AG ordinaire »).
Date et heure :
Lundi 20 avril 2009, à partir de 17h45.
Lieu :
Institut franco-japonais de Tokyo, 15 Ichigaya, Funagawara-cho, Shinjuku-ku , Tokyo 162 8415 – Japon (voir le plan d’accès dans notre précédent article).
Agenda
– 17h45 Accueil
Adhésions non-réglées à ce jour des personnes souhaitant devenir membres.
– 18h00 Ouverture de scéance
Mot d’accueil par le Président.
– 18h05 Rapport moral
Approbation du rapport moral
– 18h15 Rapport Financier
Quitus du rapport financier
– 18h25 Proposition de modification des statuts de l’UFE Japon
– 18h30 Présentation des candidats au nouveau Conseil d’administration
Proposition du montant de cotisations pour 2009
– 18h35 Questions et réponses.
– 18h45 Vote sur la modification des statuts, le montant des cotisations et la composition du Conseil.
– 18h50 Clôture de la scéance
– 19h00 Table-ronde : « La répression des infractions au Japon : ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil ».

La répression des infractions au Japon : cycle de conférences de l’UFE Japon

Ce qu’il faut savoir sur la loi japonaise pour vivre en harmonie avec notre pays d’accueil.
Cette conférence organisée par l’Union des Francais de l’Étranger (UFE Japon) https://ufe.jp aura lieu à l’Institut franco-japonais de Tokyo (voir le plan d’accès)
Cette conférence sera ouverte par notre Ambassadeur, M. Philippe Faure.

Date : Lundi 20 avril 2009
Heure : de 19h00 a 20h30
Lieu : Espace Images de l’IFJT

Intervenants :
– L’Attaché de Sécurité Intérieure de l’Ambassade de France
– Un représentant de l’Agence Nationale de la Police Japonaise (NPA)
– Le Consul de France à Tokyo
– Un avocat japonais
Les thèmes suivants seront abordés au cours de cette table-ronde :
– La loi au Japon, ce qu’on doit savoir pour y vivre harmonieusement ;
– Les différences sensibles avec la France et celles susceptibles d’être sources de conflit ;
– Les rapports avec la justice au Japon ;
– Ce qu’il faut savoir et connaître si un membre de la famille doit rendre des comptes à la justice ;
– Illustrations des risques et leçons à en tirer pour la communauté française : vol, consommation ou détention de stupéfiants, conduite en état d’ivresse, infractions routières, etc.

Nous vous remercions de nous faire parvenir vos questions au préalable. Nous consacrerons un temps suffisant pour les traiter en proposant un échange entre nos intervenants et la salle.
Programme
19h00 à 20h30 Table-ronde à l’Espace Images de l’Institut franco-japonais de Tokyo
20h45 à 22h30 Dîner (optionnel)
Inscription à la table-ronde (lire la suite de l’article, svp)
Continuer la lecture de La répression des infractions au Japon : cycle de conférences de l’UFE Japon

Présence française dans le Japon de l’ouest, communication de l’Ambassadeur

Note de la rédaction : Nous diffusons un message de l’Ambassadeur initialement publié sur le site de l’Ambassade de France au Japon.
Aujourd’hui, notre réseau diplomatique et consulaire évolue : dans tous les pays nous cherchons à remplir nos missions de manière plus efficace, afin de mieux promouvoir, à un moindre coût pour le contribuable, les intérêts et l’influence de la France à l’étranger. Cette situation nous a conduits au Japon à réexaminer l’ensemble de notre dispositif : Ambassade, Consulat général, établissements culturels.
C’est dans ce contexte que s’inscrit la reconfiguration de notre Consulat général à Osaka et Kobe. Je me suis fixé, depuis le départ, trois objectifs : mieux utiliser les moyens dont nous disposons ; garantir à nos compatriotes du Japon de l’Ouest un niveau de service au moins équivalent à celui qu’ils connaissent aujourd’hui ; donner une plus grande visibilité à l’activité de notre Consulat général. Je souhaiterais ici vous présenter les grandes lignes de cette réforme.
L’idée est d’installer notre Consulat général à l’Institut franco-japonais du Kansai, à Kyoto (15 mn de Shinkansen depuis Osaka). Outre une évidente économie de loyer, ce transfert permettra au Consul général de disposer d’un lieu privilégié, pour recevoir la communauté française et la mettre en contact avec les Japonais. Les personnalités de passage – dont j’ai observé qu’elles étaient très nombreuses à Kyoto – devraient également en bénéficier. Notre Consul général pourra ainsi mieux exercer les principales missions qui lui sont confiées aujourd’hui : être l’interlocuteur de la communauté française, appuyer nos intérêts économiques, accroître le rayonnement et l’influence de la France dans toute la circonscription.
Venons en maintenant au sujet qui préoccupe le plus nos compatriotes, celui des services consulaires. J’ai été particulièrement attentif sur ce point et je souhaite donc l’évoquer dans le détail :
* Les actes consulaires pour lesquels la présentation du demandeur n’est pas requise (vérification de traduction ou transcription d’actes d’Etat civil par exemple) seront traités à Tokyo. Un agent sera transféré d’Osaka vers la section consulaire de l’Ambassade à cette fin, et il sera entièrement dédié au suivi de l’administration des Français de la circonscription du Japon de l’Ouest.
* Pour les actes qui nécessitent la comparution du demandeur (cartes d’identité, passeports, certificats de vie par exemple), une permanence consulaire sera assurée avec une périodicité mensuelle à Osaka et à Kyoto par la section consulaire de l’Ambassade.
* Le Consul général continuera à réunir et à animer à Kyoto les commissions essentielles pour la vie de la communauté française : commission des bourses scolaires, CCPAS, commission administrative électorale, comité de sécurité. Nos compatriotes pourront continuer à voter à Osaka lors des élections dans leur circonscription.
* Enfin, notre consul général demeure naturellement l’interlocuteur privilégié de la communauté française du Japon de l’Ouest. Cela est d’autant plus vrai pour les situations d’urgence. Il conservera parmi ses priorités la préparation de la communauté française aux situations de crise.

J’ai la conviction que cette réforme, qui entrera en vigueur au 1er janvier 2010, rendra notre dispositif plus efficace, y compris pour le service aux Français, et qu’elle nous permettra de maintenir dans tout le Japon de l’Ouest – jusqu’à Okinawa – une présence forte et active. Je l’ai déjà présentée à vos deux conseillers de l’Assemblée des Français de l’étranger résidant au Japon et je me rendrai moi-même dans les prochaines semaines à Osaka et à Kyoto pour l’expliquer plus en détail à la communauté française. D’ici là, notre consul général, M. Alain Nahoum, est à votre disposition pour répondre à toutes vos questions.

Éviter les bars de Roppongi…

Voici un message envoyé par l’ambassade des États-Unis à Tokyo à tous les résidents américains au Japon :
https://tokyo.usembassy.gov/e/acs/tacs-warden20090317-01.html
En gros : éviter les bars de Roppongi car le cas de victimes droguées et volées augmente sensiblement.
Message posté initialement dans le forum de Sciencescope ici.

APPEL A COMMUNICATION – « FEMMES ET SCIENCE »

Les Rencontres Scientifiques Francophones de Tokyo (RSFT), co-organisées par Sciencescope et la Maison Franco-Japonaise de Tokyo, ont pour objectif de permettre aux chercheurs et étudiants francophones de présenter leurs travaux de recherche (quelle que soit la spécialité). Il s’agit aussi d’une opportunité unique d’échanger sur les expériences professionnelles et personnelles au Japon des uns et des autres. Vous êtes toutes et tous bienvenus à participer.
Pour un aperçu des réunions, veuillez accéder à l’adresse URL suivante : https://sciencescope.org/breve.php3?id_breve=106
Dans le cadre de la prochaine RSFT prévue en Juin, Sciencescope a choisit le thème « Femmes et Science ».
L’univers professionnel de la recherche s’est beaucoup diversifié ces dernières années et de plus en plus de femmes chercheuses, professeures, doctorantes et étudiantes viennent au Japon. Les plus jeunes ont toujours besoin de rôle modèle pour non seulement être inspirées mais aussi pour pouvoir faire les bons choix dans un parcours professionnel sur le long terme dans la recherche. De plus, nous voulons développer et partager des connaissances sur ce sujet pour mieux comprendre le nouvel environnement de la recherche actuel et ce que font les organisations pour promouvoir les femmes chercheuses.

Appel à communication !
Vous êtes une femme chercheuse possédant un doctorat avec au moins trois années d’expériences professionnelles postdoctorales dans la recherche aussi bien dans le monde académique que gouvernemental, industriel et/ou l’enseignement supérieur au Japon, venez nous parler de votre propre expérience et de vos travaux de recherche.
Pour faire une proposition de présentation, il vous suffit de soumettre une brève présentation de votre parcours professionnel (les CV sont acceptés) et vos coordonnées à l’adresse suivante : sciencescope.femmesetscience@gmail.com en vous adressant à Dr. Nathalie Cavasin, Vice-présidente de l’association Sciencescope.
Date limite de soumission : le 31 mars 2009

Divorces franco-japonais : Question écrite posée par M. Richard YUNG (représentant les Français établis hors de France)

Source : https://www.senateursdesfrancaisdumonde.net/richard-yung/francais-a-l-etranger/1015/divorces-franco-japonais.html
Question écrite n° 07068 posée par M. Richard YUNG (représentant les Français établis hors de France) publiée dans le JO Sénat du 22/01/2009
M. Richard Yung attire l’attention de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice sur les difficultés très graves rencontrées au Japon par certains ressortissants français séparés ou divorcés d’avec un ressortissant japonais. Plusieurs drames familiaux découlent actuellement de l’application de la législation nippone. Celle-ci ne reconnaît pas le partage de l’autorité parentale. En cas de divorce au Japon, un seul parent hérite de l’autorité parentale jusqu’à la majorité de l’enfant (20 ans). Dans plus de 80% des cas, c’est à la mère qu’est attribué l’exercice de cette autorité après le divorce. Or, les couples franco-japonais étant majoritairement constitués d’un ressortissant français et d’une ressortissante japonaise, ce sont des pères français qui sont le plus souvent concernés par l’application de la législation nippone. En outre, des parents français sont aujourd’hui privés du droit de voir leur enfant car le droit japonais reconnaît très rarement le droit de visite et la non présentation de l’enfant n’est pas sanctionnée dans ce pays. Ces pratiques sont contraires à la convention internationale des droits de l’enfant, que le Japon a signée en 1994 et dont l’article 9 stipule que les États parties respectent le droit de l’enfant séparé de ses deux parents ou de l’un d’eux d’entretenir régulièrement des relations personnelles et des contacts directs avec ses deux parents. De plus, le Japon ne sanctionne pas l’enlèvement parental et il n’a pas encore signé la convention internationale sur les aspects civils de l’enlèvement international d’enfants. Cette situation étant préjudiciable à certains ressortissants français, il lui demande donc quelles sont les initiatives que le Gouvernement français entend prendre afin de coordonner ou d’harmoniser le droit de la famille entre la France et le Japon dans le souci de faire prévaloir l’intérêt supérieur des enfants nés de couples franco-japonais.

Réponse de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice publiée dans le JO Sénat du 12/03/2009
La garde des sceaux, ministre de la justice, fait connaître à l’honorable parlementaire qu’elle porte la plus grande attention à la lutte contre les déplacements internationaux dont sont victimes, au premier chef, des enfants, ainsi projetés au coeur de conflits familiaux souvent dramatiques. En l’absence d’accord international comportant des dispositions applicables à la coopération familiale entre la France et le Japon, les difficultés soumises en ce domaine au ministère de la justice sont systématiquement portées dans les plus brefs délais à la connaissance du ministère des affaires étrangères et européennes, notamment aux fins de mise en place d’une assistance consulaire. De plus, les parents victimes d’un déplacement d’enfant, notamment de France vers le Japon ou inversement, ou ceux éprouvant des difficultés pour exercer un droit de visite, ont la possibilité de solliciter de la direction des affaires civiles et du sceau (bureau de l’entraide civile et commerciale internationale) une aide à la médiation familiale, dans le but de dégager des solutions consensuelles afin de régler le litige. Continuer la lecture de Divorces franco-japonais : Question écrite posée par M. Richard YUNG (représentant les Français établis hors de France)

Nombre record de nouveaux cas de VIH/SIDA en 2008 au Japon

Lu sur le Bulletin Électronique Japon :
Le mois dernier, le Ministère de la santé a annoncé le recensement de plus de 1.100 nouveaux cas de séropositivité ainsi que 430 cas de SIDA avérés au Japon en 2008. Ces chiffres sont en constante augmentation depuis six ans pour la séroconversion et depuis trois pour le SIDA. Dans la quasi totalité des cas, le virus a été transmis au cours d’une relation sexuelle homosexuelle (62% des cas) ou hétérosexuelle (24%). Les personnes infectées sont en grande majorité des hommes (1.440 cas). Les trentenaires sont les plus touchés (36%), suivis des adultes entre 20 et 30 ans (24%) et des cinquantenaires (18%).
Lire la suite ICI :

Le virus de la grippe aviaire détecté dans trois élevages de cailles japonais

Lu sur le Bulletin Électronique Japon :
« Il y a deux semaines, le virus de la grippe aviaire H7N6 a été détecté au cours d’une inspection de routine chez quelques oiseaux d’un élevage d’environ 300.000 cailles de la ville de Toyohashi, dans la préfecture d’Aichi. La ferme se trouve au sein d’un des principaux centres de production d’oeufs de caille du pays. Des restrictions sur les mouvements des volatiles, de leurs oeufs et de leur viande ont été placées sur les fermes environnantes dans un rayon de 5 km, le temps de permettre aux autorités de remonter à la source de l’infection et d’abattre les cailles susceptibles d’être atteintes. Au cours d’une campagne de tests visant à lever les restrictions en début de semaine dernière, le virus a été détecté dans une deuxième ferme, puis dans une troisième ce lundi. »
Lire l’article intégral ICI.

Rencontre Scientifique Francophone de Tôkyô, samedi 14 mars 2009

Un dernier rappel avant la prochaine Rencontre Scientifique Francophone de Tôkyô, qui se tiendra en salle 501 de la MFJ à Ebisu (Tôkyô), DEMAIN samedi 14 mars 2009 à partir de 14h00.
En espérant vous compter nombreux parmi nous!
P/O Sciencescope,
Encarnita Mariotti-Ferrandiz
Secrétaire Générale
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Rappel du programme et des informations pratiques:
– 14h00 : Oka Mizuki (Center for Knowledge Structuring, Université de Tôkyô) – Extraction de l’information du Web
– 15h00 : Thomas Launey (Unité de recherche Launey, Brain Science Institute, RIKEN Wako) – La Synapse: Des protéines comme substrat de la pensée et de la mémoire
– 16h00 : Yves Maniette (AD Science Ltd., (Funabashi, Chiba)/NanoMEGAS SPRL(Bruxelles,Belgique)) – Diffraction électronique sous précession et caractérisation de nanocristaux
– 17h00 : Buffet
Les résumés en français et japonais sont disponibles en ligne, à l’adresse suivante: https://www.sciencescope.org/breve.php3?id_breve=106 .
Accès : ligne JR Yamanote ou métro Hibiya jusqu’à Ebisu, puis suivre le
plan : https://www.mfj.gr.jp/acces/