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Brèves économiques Japon & Corée du Sud N° 213 : du 1er au 30 juin 2025

MINISTÈRE DE L’ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE LA SOUVERAINETÉ INDUSTRIELLE ET NUMÉRIQUE

BRÈVES ÉCONOMIQUES Japon & Corée du Sud ; Une publication conjointe du SER de Tokyo et du SE de Séoul N° 213 : du 1 au 30 juin 2025

JAPON

La Diète adopte une réforme du système public de retraite japonais Un nouvel objectif d’attraction des IDE au Japon

Washington D.C. presse Tokyo sur ses engagements de Défense Nippon Steel finalise l’acquisition d’U.S. Steel sous conditions strictes

L’ Ambassade de France au Japon prolonge le Sommet pour l’action sur l’IA de Paris avec un débat d’experts à Tokyo

CORÉE du SUD

Les autorités sud-coréennes prennent le cap de la relance budgétaire, en ciblant la consommation des ménages

La reprise des marchés financiers sud-coréens se confirme

Le nouveau président sud-coréen, Lee Jae-myung, nomme des dirigeants du secteur de l’IA à des fonctions gouvernementales clés

Le nouveau président affiche sa volonté de concertation avec les principaux conglomérats


JAPON

Politiques économiques

La Diète adopte une réforme du système public de retraite japonais. La Chambre haute de la Diète a adopté le 13 juin une réforme du système public de retraite japonais afin (i) d’élargir la couverture du régime des salariés (kôsei nenkin) et (ii) de mieux protéger les retraités aux revenus modestes, notamment la ice-age generation majoritairement orientée vers l’emploi irrégulier (N.B.: cette génération désigne les personnes qui sont entrées sur le marché du travail entre 1993 et 2004, après l’éclatement de la bulle économique japonaise. Elle compte entre 17 et 20 millions de personnes, soit un sixième de la population du pays. En raison de la déréglementation du travail à l’époque, beaucoup occupent des emplois précaires).

Parmi les principales mesures figurent la suppression progressive du seuil de revenus (actuellement fixé à 1,06 Mi JPY, soit 7 300 EUR) et de la taille minimale des entreprises (51 salariés) qui conditionnaient jusqu’ici l’affiliation obligatoire des travailleurs à temps partiel au kosei nenkin. Pour atténuer l’impact de cette réforme sur les TPE et PME, l’État prendra en charge les surcoûts patronaux durant 3 ans. La réforme prévoit également une révision du régime des pensions pour les seniors en emploi : à partir de 2026, ceux dont les revenus mensuels cumulés (salaire et pension) n’excèdent pas 620 000 JPY (3 780 EUR) percevront leur retraite sans pénalité. Enfin, un mécanisme de revalorisation de la pension de base (kokumin nenkin) a été introduit: après un audit prévu en 2029, une augmentation possible de +30 % des prestations pourrait être décidée pour les revenus les plus faibles, financée par des transferts du kôsei nenkin. Le kôsei nenkin, cofinancé par les employeurs et les salariés, offre actuellement une pension moyenne d’environ 146 000 JPY par mois (soit 893 EUR), contre seulement 69 000 JPY par mois (422 EUR) pour le kokumin nenkin.

Un nouvel objectif d’attraction des IDE au Japon. Le Japon renforce sa stratégie d’attraction des investissements directs étrangers (IDE), avec pour objectif de porter le stock d’IDE entrants à 120 000 Mds JPY (712 Mds EUR) d’ici 2030, puis à 150 000 Mds JPY (890 Mds EUR) dans les années suivantes. Ce nouveau programme, annoncé début juin, remplace celui de 2023 (objectif: 100 000 Mds JPY – soit 593 Mds EUR – en 2030), en mettant l’accent sur (i) le soutien aux projets stratégiques (Green Transformation – GX, Digital Transformation – DX, sciences de la vie), (ii) le renforcement de l’écosystème des start-ups et des partenariats entre entreprises étrangères et locales, (iii) tout en améliorant les conditions d’implantation (procédures en anglais, logement, protection santé). Ce programme prévoit aussi des réformes légales et fiscales, une révision des systèmes des zones économiques spéciales (ZES), un soutien accru aux collectivités locales (par le biais de subventions), ainsi qu’une communication renforcée par le Japan External Trade Organisation (JETRO) et les ambassades à l’étranger. Le stock d’IDE au Japon reste modeste (6 % du PIB en 2023, contre 33 % en France), mais il a plus que doublé entre 2014 et 2024, passant de 23 800 à 53 800 Mds JPY (140,5 Mds EUR à 317 Mds EUR). La tendance s’est accélérée depuis 2020, avec une croissance annuelle moyenne des flux entrants de +82 % entre 2020 et 2023, contre 26 % au sein de l’OCDE et 35 % au niveau mondial. En visant une part des IDE entrants de 15 à 17% du PIB, le Japon se repositionne dans la grande course mondiale aux capitaux.

Washington presse Tokyo sur ses engagements de Défense. Les États-Unis ont appelé le Japon à porter ses dépenses militaires à 3,5 % du PIB, alors que Tokyo est déjà engagée sur une trajectoire de doublement de son budget de Défense pour atteindre 2 % d’ici 2027. Cette demande surenchérit sur une précédente demande fixée à 3 % il y a seulement quelques mois. En réaction, le Premier ministre S. lshiba a déclaré, le 23 juin, qu’il n’était pas souhaitable de se concentrer sur des objectifs chiffrés, tel qu’un pourcentage de Pl B, en la matière. Dans ce contexte de pressions, le Japon s’est désengagé de deux sommets internationaux avec les États-Unis (annulation de la réunion « 2+2 » des ministres des Affaires étrangères et de la Défense japonais et américains du 20 juin; absence du Premier ministre lshiba du sommet de l’OTAN à La Haye des 24-26 juin, remplacé par son ministre des Affaires étrangères). En marge de ce sommet, le président Trump a même appelé les alliés asiatiques à porter leurs dépenses militaires à 5 % du PIB – sur fond de tensions commerciales persistantes. En mai, les exportations japonaises vers les États-Unis ont baissé de -11,1 %.

Entreprises

Nippon Steel finalise l’acquisition d’U.S. Steel sous conditions strictes. Le 18 juin, à l’issue de 18 mois de négociations et d’une série de rebondissements politiques et juridiques, Nippon Steel a finalement acquis US. Steel pour un montant de 14 Mds USD. Initialement bloquée par l’administration Biden, l’opération a été validée par décret présidentiel après réexamen par le CFIUS (Committee on Foreign lnvestments in the United States). Elle fait néanmoins l’objet de conditions sans précédent: le gouvernement américain obtient une « golden share », lui conférant un droit de veto sur tout transfert de production ou d’emplois à l’étranger, réduction des investissements, changement de nom ou de siège social, acquisition, ou fermeture de sites existants. US. Steel doit également conserver son siège à Pittsburgh et demeurer sous contrôle américain, avec un conseil d’administration majoritairement composé de citoyens américains et un PDG américain. Enfin, dans le cadre d’un « National Security Agreement», Nippon Steel s’engage à investir aux États-Unis 11 Mds USD supplémentaires d’ici 2028.

Grâce à cette opération, Nippon Steel devient le 2″ producteur mondial d’acier, après le groupe chinois Baowu, et contourne en partie les nouveaux droits de douane de 50 % imposés par Washington D.C. sur l’acier depuis le 4 juin. Pour les États-Unis, cet accord sécurise l’emploi et la production domestiques, tout en apportant des investissements massifs. Malgré l’enthousiasme affiché par la partie japonaise, des inquiétudes persistent sur le coût de cette opération et sur la capacité du groupe à intégrer US. Steel, en raison de son expérience limitée dans des acquisitions de cette ampleur.

L’Ambassade de France au Japon prolonge le Sommet pour l’action sur l’IA de Paris avec un débat d’experts à Tokyo. Le 26 juin dernier, quatre mois après le Sommet qui avait réuni plus de 1 000 participants en provenance de 170 pays à Paris, l’Ambassade de France a organiséun évènement intitulé «Paris Al Action Summit in focus: insights and the road ahead », autour d’une table ronde réunissant Mme Joëlle Barral, ancienne membre de la Commission gouvernementale sur l’IA générative, M. Hiroaki Kitano, Chief Technology Fellow de Sony Group, et M. Llion Jones, co-fondateur et Chief Technology Officer de la start-up Sakana Al, figure montante de l’IA au Japon. Une trentaine de participants français et japonais, des secteurs public et privé, ainsi que du monde académique et de la recherche, ont pris part à ces échanges. Le débat a mis en lumière les apports scientifiques récents, comme les avancées en modélisation protéique grâce à l’IA, et réaffirmé la nécessité d’une gouvernance internationale fondée sur l’intérêt général.

Corée du Sud

Politiques économiques

Les autorités sud-coréennes prennent le cap de la relance budgétaire, en ciblant la consommation des ménages. Deux mois après l’adoption d’un premier budget additionnel de 13 800 Mds KRW (10 Mds USD) sous l’administration précédente, un second plan de soutien de 30 500 Mds KRW (22 Mds USD), porté par la nouvelle administration Lee, a été soumis à l’examen de l’Assemblée nationale. Ce nouveau budget est composé aux deux tiers (15 Mds USD) de dépenses destinées à stimuler l’activité économique. Le tiers restant (8 Mds USD) vise à pallier la révision à la baisse des recettes fiscales attendues pour 2025. Les mesures de relance incluent notamment une enveloppe de 8 Mds USD destinée à stimuler la demande des ménages, versée essentiellement sous forme de coupons en espèces, compris entre 150 000 et 500 000 KRW (soit entre 109 et 362 USD). En parallèle, 1 Md USD sera mobilisé pour accompagner la reprise des petites entreprises, incluant des mesures d’annulation de créances, et près de 2 Mds USD seront déployés pour revitaliser l’industrie de la construction. L’impact du plan sur la croissance économique est estimé à +0,1 point de PIB pour 2025, mais il pèsera aussi sur les équilibres budgétaires: le déficit public devrait atteindre 4,2 % du PIB en 2025 (contre 3,3 % après le premier plan), et la dette publique devrait progresser à 49,0 % du PIB (contre 48,4 % précédemment).


La reprise des marchés financiers sud-coréens se confirme, portée par un regain de stabilité politique et un optimisme sur les questions commerciales. Après avoir été affectés par la vague de mesures tarifaires américaines de fin mars et de début avril, les indices financiers sud-coréens ont amorcé un rebond à partir de la mi-avril, qui s’est renforcé à la suite de l’élection du nouveau président Lee Jae Myung. L’indice boursier KOSPI a ainsi enregistré une progression de +35 % depuis le 8 avril, date de l’annonce des droits de douane «réciproques» américains, atteignant son niveau le plus élevé depuis 3 ans. Dans le même temps, les pressions sur le won se sont nettement atténuées, la devise sud-coréenne enregistrant la 2′ plus forte appréciation parmi les devises asiatiques depuis l’amorce de la détente tarifaire (baisse du taux USD/KRW de -7,5 % depuis fin mars), derrière le nouveau dollar de Taïwan (baisse du taux USD/TWD de -11,0 %). Ces évolutions s’appuient sur l’optimisme croissant concernant un accord commercial avec les États-Unis, la dissipation des incertitudes politiques, ainsi que les annonces de réformes financières et de mesures de relance par le nouvel exécutif. Il convient toutefois de souligner que, face au conflit armé entre Israël et l’Iran, le won a enregistré un repli notable.

Entreprises

Le nouveau président sud-coréen, Lee Jae-myung, nomme des dirigeants du secteur de I’IA à des fonctions gouvernementales clés. Alors que Lee Jae Myung a placé l’IA au cœur de sa politique économique, avec la promesse d’un fonds public doté de 67 Mds EUR, il a nommé de hauts dirigeants d’entreprises technologiques sud-coréennes à des postes clés de son gouvernement. Ainsi, le président de LG Al Research a été désigné ministre des Sciences et des Technologies de l’Information et de la Communication. Par ailleurs, la ministre désignée des PME et des start-ups est l’ancienne PDG du géant sud-coréen du numérique Naver, et aura également en charge de piloter la politique d’IA sous l’angle des écosystèmes de start-ups. Enfin, le président Lee a créé un nouveau poste de conseiller pour l’IA auprès de la présidence en la personne de l’actuel directeur du centre d’IA de Naver. Ces nominations illustrent la volonté du président de mieux prendre en compte les enjeux du secteur privé, en donnant corps aux ambitions nationales en matière d’IA. Fin juin, le conglomérat SK a annoncé la création, conjointement avecAmazon Web Services, d’un centre d’IA pour un investissement de 5 Mds USD. De son côté, OpenAI a annoncé fin mai l’ouverture d’un bureau à Séoul pour renforcer ses collaborations avec les groupes sud-coréens, l’entreprise américaine soulignant que la Corée du Sud constitue sa deuxième base d’abonnés payants après les États-Unis.


Le nouveau président affiche sa volonté de concertation avec les principaux conglomérats. Le 13 juin, Lee Jae Myung a rencontré les dirigeants des cinq principaux groupes sud-coréens (Samsung, SK, Hyundai, LG et Lotte), avant son départ pour le sommet des dirigeants du G7 auquel il avait été convié. En termes de politique économique, il s’est engagé à supprimer les réglementations « obsolètes et inutiles», tout en soulignant le besoin de renforcer les mesures protégeant les consommateurs et préservant la concurrence équitable. Il a admis la nécessité d’établir des liens de confiance entre le gouvernement et le secteur privé, privilégiant le soutien sur le contrôle. Sur le plan international, le nouveau président a affirmé que son gouvernement poursuivrait une politique commerciale «pragmatique et flexible», en référence notamment à la négociation commerciale en cours avec l’administration Trump. De leur côté, les conglomérats sud-coréens ont multiplié les engagements d’investissements en Corée du Sud au cours de ces derniers jours, comme SK (avec 5 Mds USD investis dans l’IA) et LG (1 Md USD dans les écrans), mais aussi les signaux d’apaisement sur le plan du dialogue social (ex.: renoncement du groupe Hanwha à poursuivre des sous-traitants grévistes sur ses chantiers navals).

La Direction générale du Trésor est présente dans plus de 100 pays à travers ses Services économiques. Pour en savoir plus sur ses missions et ses implantations: www.tresor.economie.gouv.fr/tresor-international

Responsable de la publication: SER de Tokyo Rédaction: SER de Tokyo et SE de Séoul Abonnez-vous : tokyo@dgtresor.gouv.fr

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OUVERTURE AU JAPON DU SERVICE FRANCE CONSULAIRE, le 17 juin 2025

OUVERTURE le 17 JUIN AU JAPON DU SERVICE FRANCE CONSULAIRE, NOUVEAU SERVICE D’INFORMATION PAR TÉLÉPHONE POUR VOS DÉMARCHES CONSULAIRES (HORS VISAS). NUMÉROS DE CONTACT CI-DESSOUS. 

À compter du 17/06/2025, France Consulaire sera joignable du lundi au vendredi de 15h00 à 21h00 (heure du Japon) par un appel audio via internet (gratuit hors coût d’accès à internet), via un numéro local (au coût d’un appel local) ou via un numéro français (au coût d’un appel international).

– L’appel par Internet est simple et gratuit.

– Numéros au Japon (pour un appel au tarif local) :

03-4578-4174 / 06-4580-8439

– Numéro en France (tarif international depuis le Japon) :

+33 2 14 69 00 01 / +33 2 14 16 20 30 (au coût d’un appel international)

 

Toutes les informations sur le site de l’Ambassade de France au Japon : https://jp.ambafrance.org/France-Consulaire-un-nouveau-service-d-information-pour-vos-demarches-consulaires-hors-visa

BRÈVES ÉCONOMIQUES Japon & Corée du Sud N° 212 : du 1er au 31 mai 2025

BRÈVES ÉCONOMIQUES Japon & Corée du Sud

Une publication conjointe du SER de Tokyo et du SE de Séoul N° 212 : du 1er au 31 mai 2025

Japon

Face à la hausse des prix du riz, le gouvernement annonce des mesures pour détendre le marché

Le Japon cède sa place de premier créancier mondial Pressions croissantes pour réduire la taxe à la consommation

La relance de l’industrie japonaise des semi-conducteurs progresse lentement

Le projet d’acquisition de U.S. Steel par Nippon Steel pourrait finalement aboutir

Corée du Sud

LEE Jae-Myung est élu Président de la République de Corée, avec un programme économique classé au centre-gauche

Face aux incertitudes économiques, les autorités mettent l’accent sur la relance Les chantiers navals Hanwha au cœur des enjeux de coopération Corée-Etats-Unis Samsung Electronics réalise sa plus grosse acquisition en 8 ans avec le rachat de l’allemand FlàktGroup

LG Energy Solution investit dans une usine de recyclage de batteries en France


Japon

Politiques économiques

Face à la hausse des prix du riz, le gouvernement annonce des mesures pour détendre le marché. Depuis juillet dernier, le prix de cet aliment de base de l’alimentation japonaise a fortement augmenté en raison des effets conjugués d’une mauvaise récolte, d’un rebond de la consommation domestique et d’achats de précaution liés à la crainte d’un grand séisme. Deux fois plus onéreux qu’un an auparavant, le riz est au centre de critiques envers le gouvernement, dont les mesures (vente d’une partie des stocks publics) n’ont jusqu’ici pas eu d’effets notables. Le ministre de ‘Agriculture Taku ETO a ainsi dû quitter son poste pour une déclaration jugée insensible (ayant fait savoir qu’il n’achetait jamais de riz tellement il en recevait de ses supporters). Son remplaçant Junichiro KOIZUMI a annoncé que les ventes de stocks publics s’effectueraient désormais de gré à gré avec les distributeurs et à un prix réduit. Après une première attribution destinée aux grands distributeurs, dont l’arrivée en rayons a été largement médiatisée et rencontré un net engouement du public, une deuxième vague a été annoncée au profit des PME gérant des volumes plus limités. La participation est conditionnée à un prix final n’excédant pas 2 000 JPY (environ 12 EUR) maximum, soit moins de la moitié du prix moyen constaté depuis plusieurs mois. L’objectif annoncé par le gouvernement est un retour rapide des prix moyens autour de 3 000 JPY/5 kg (env. 18 EUR).

Le Japon cède à l’Allemagne sa place de premier créancier mondial après 34 années en tête du classement. L’Allemagne passe devant le Japon avec un stock de créances extérieures nettes équivalent à 573 475 Mds JPY (3 500 Mds EUR), bénéficiant d’un excédent courant massif de 248,7 Mds EUR en 2024, largement soutenu par une balance commerciale excédentaire. Les avoirs extérieurs nets japonais ont pourtant atteint un niveau record en 2024, à 533 050 Mds JPY (3 253 Mds EUR), en hausse de près de 13 % sur un an (472 189 Mds JPY en 2023). Cette progression est notamment liée à la dépréciation du yen, qui a mécaniquement accru la valeur des actifs en devise nationale. À titre de comparaison, l’excédent courant japonais atteint 29 400 Mds JPY, soit environ 180 Mds EUR. Le rythme d’accumulation d’actifs extérieurs est néanmoins plus soutenu côté allemand. La Chine, avec 516 300 Mds JPY d’actifs nets, pourrait à son tour dépasser le Japon en 2025. Pour autant, Tokyo continue de renforcer ses positions à l’étranger, via des investissements directs importants aux États-Unis et au Royaume-Uni, dans des secteurs comme la finance, l’assurance et le commerce de détail. Le ministre des Finances, K. KATO, a ainsi relativisé cette annonce, soulignant que la position extérieure du Japon restait solide et continuait de progresser. Nikkei Asia, Japan Times, Ministry of Finance.

Le gouvernement japonais fait face à des pressions croissantes pour réduire la taxe à la consommation, dans un contexte de hausse du coût de la vie. Le Japon est confronté à une inflation élevée depuis six mois (+3,6 % en avril), ce qui a entraîné une baisse de la consommation des ménages. Cette dernière a pesé sur l’activité au premier trimestre 2025, avec une contribution négative de – 0,1 point à la croissance. Le PIB s’est d’ailleurs contracté de -0,7% en glissement annuel. Dans ce contexte, l’opposition a proposé une baisse temporaire du taux de TVA à 5 % pour tous les biens, voire une suppression ciblée sur les produits de première nécessité. Actuellement, les biens de consommation sont soumis à une taxe de 10 %, et de 8 % pour certains produits essentiels. Sur l’année fiscale 2024-2025, cette taxe représente 22 % de l’ensemble des revenus de l’État japonais et près du tiers des seules recettes fiscales. Le Premier ministre a pour le moment écarté tout abaissement de la taxe, estimant qu’une telle mesure compromettrait la soutenabilité des finances publiques ainsi que la qualité des services sociaux. Toutefois, les discussions se poursuivent au sein de la coalition gouvernementale, des représentants du parti centriste Komeito s’étant déclarés ouverts à une baisse ciblée. (Nikkei Asia, The lapan Times, Ministry of Internal Affairs)

Entreprises

La relance de l’industrie japonaise des semi-conducteurs progresse lentement. En dépit de financement importants annoncés (plus de 9000 Md JPY, soit 55 Md EUR, d’investissements privés prévus entre 2022 et 2029 et plus de 10 000 Md JPY / 61 Md EUR d’aides publiques annoncées d’ici 2030), la production de masse n’a débuté que dans trois des sept nouvelles usines de semi-conducteurs construites, rénovées ou acquises au Japon au cours des deux dernières années. Cette situation s’explique par une demande faible pour les puces utilisées dans des applications autres que l’intelligence artificielle, notamment dans la production de smartphones, véhicules électriques et équipements industriels. Renesas, par exemple, a rouvert son site de production de Kofu (préfecture de Yamanashi) après neuf ans de fermeture, mais n’a pas lancé la production comme prévu début 2024, en raison d’un marché incertain dans la production de véhicules électriques. Rohm a uniquement entamé une phase de production expérimentale dans une usine acquise en 2023. Ce phénomène n’est pas propre au Japon : la baisse des ventes de smartphones et d’ordinateurs depuis la crise du Covid-19 affecte l’ensemble du marché mondial. La relance de l’industrie des semi-conducteurs reste une priorité du gouvernement japonais.


Le projet d’acquisition de U.S. Steel par Nippon Steel, bloqué en janvier par J. BIDEN, pourrait aboutir sous D. TRUMP. Annoncée en décembre 2023 pour une valeur de 14,1 Mds USD, l’opération avait été bloquée par J. Biden, invoquant un motif de « sécurité nationale». D. TRUMP, également opposé à ce rachat dans un premier temps, a demandé en avril une réévaluation du dossier par le CFIUS (Committee on Foreign lnvestment in the United States). Le 23 mai, il a finalement exprimé son soutien à l’opération, qualifiant l’acquisition de« partenariat stratégique » et soulignant ses retombées économiques : 70 000 emplois créés et 14,1 Mds USD injectés dans l’économie américaine. D. TRUMP reste opposé à un rachat total de l’entreprise et son appui est conditionné à certaines garanties (maintien du siège à Pittsburgh, majorité du conseil d’administration composée de citoyens américains et interdiction de délocaliser la production), dont les modalités sont encore à l’étude mais pourraient prendre la forme de l’attribution au gouvernement américain d’une « golden share ». Nippon Steel tente de finaliser le rachat avant le 18 juin. Si l’acquisition échoue, Nippon Steel devrait verser 565 millions de dollars de pénalités.

Corée du Sud

Politiques économiques

LEE Jae-Myung est élu président de la République de Corée, avec un programme économique classé au centre-gauche. Le 3 juin, au cours d’une élection présidentielle anticipée faisant suite à la destitution du Président conservateur YOON Suk-yeol en avril dernier, le candidat démocrate LEE Jae-Myung a recueilli près de 49% des suffrages (selon les résultats quasi-définitifs annoncés par la commission électorale), devançant très nettement le candidat conservateur KIM Moon-soo (42%), pour ce scrutin à un tour. LEE Jae­Myung a été investi dès le lendemain président de la République de Corée pour un mandat de 5 ans. Lors de la campagne, il a pris position pour un retour de l’Etat au centre du développement économique coréen, avec des budgets publics conséquents, comme un plan de 67 Mds EUR pour l’intelligence artificielle ou la construction d’un million de logements. Il promeut une politique industrielle active en soutien aux secteurs critiques, comme les semi­conducteurs ou l’industrie de la défense. Sa politique énergétique est nettement en faveur des renouvelables, et le candidat a proposé la création d’un ministère du Climat et de l’Energie (l’énergie étant actuellement rattachée au ministère du Commerce et de l’Industrie). Sur le plan international, il prône une approche prudente de la négociation commerciale avec l’administration Trump, ainsi qu’une stabilisation de la relation économique avec la Chine et une diversification des partenariats.

Face aux incertitudes économiques, les autorités mettent l’accent sur la relance. Début mai, le Parlement a adopté un budget supplémentaire de 9,7 Mds USD, supérieur à la proposition initiale du gouvernement (8,6 Mds USD). Parmi les priorités retenues, plus d’un tiers de l’enveloppe est consacré au soutien aux ménages, notamment sous forme de chèques-cadeaux, ainsi qu’à l’appui aux petites entreprises. Une part comparable du budget est orientée vers le renforcement du commerce extérieur et l’accompagnement des secteurs stratégiques, dans un climat international incertain. La prévention et la gestion des catastrophes naturelles, en particulier les incendies de forêt, constituent le troisième axe majeur d’intervention, mobilisant près d’un quart des ressources. Le gouvernement prévoit une mise en œuvre accélérée de ces mesures, avec environ 70 % des crédits mobilisés dans les mois à venir. L’adoption de ce budget supplémentaire s’accompagne d’une révision des équilibres budgétaires: le déficit public pour l’année 2025 est désormais attendu à 3,3 % du Pl B (2,8 % auparavant), tandis que le ratio d’endettement public devrait atteindre 48,4 % à la fin de l’année (48,1 % auparavant). Sur le plan monétaire, dans un contexte d’inflation maîtrisée, la Banque de Corée réaffirme également son orientation en faveur de la croissance par l’atténuation récente des pressions sur le won: lors de sa réunion de fin mai, l’institution a abaissé son taux directeur à 2,5 %, signant ainsi une quatrième baisse en l’espace de six mois.

Entreprises

Les chantiers navals Hanwha au cœur des enjeux de coopération Corée-Etats-Unis. Suite au rachat de Philly Shipyard pour 100 Mi USD fin 2024, le conglomérat coréen Hanwha ambitionne de devenir le premier constructeur naval sur le sol américain. Rebaptisé Hanwha Phil/y Shipyard, le site de Philadelphie prévoit de multiplier par 6 sa capacité de production, passant de 1,5 à 10 navires par an. L’entreprise sud-coréenne y construira notamment des navires méthaniers, utilisés pour transporter du gaz naturel liquéfié – une première historique pour un chantier naval basé aux États-Unis. Hanwha entend ainsi s’imposer sur le segment des navires commerciaux à forte valeur ajoutée, tout en répondant aux besoins croissants de la marine américaine, engagée dans un plan d’expansion de sa flotte à 250 unités. En parallèle, Hanwha Ocean a décroché un contrat stratégique de maintenance, réparation et révision (MRO) avec l’US Navy, estimé à 60 Mds USD, ce qui constitue une percée inédite pour un acteur asiatique dans ce secteur militaire. Pour atteindre ces objectifs, Hanwha investira 70 Mi USD dans la modernisation du chantier. Par ailleurs, l’autre groupe naval coréen Hyundai Heavy Industries a également exprimé son intention d’étendre ses opérations aux États-Unis, confirmant l’intérêt sud­coréen croissant pour le marché naval américain. Ce projet s’inscrit dans un contexte de restructuration de l’industrie navale américaine, en quête de partenaires industriels fiables face aux tensions géopolitiques croissantes dans le Pacifique. KED Global, Chosun, Korea lungang Daily

Samsung Electronics réalise sa plus grosse acquisition en 8 ans avec le rachat de l’allemand FlàktGroup. Samsung a annoncé le rachat, pour 1,7 Md USD, du fournisseur allemand de solutions de chauffage, ventilation et climatisation (CVC), fondé en 1918 en Suède. L’acquisition de 100% des parts du fonds d’investissement Triton vise à renforcer la présence de Samsung sur le marché mondial du CVC, un secteur en pleine croissance, liée à l’essor de l’IA de la robotique et des véhicules autonomes. Samsung renforce ainsi sa concurrence avec LG, déjà bien implantée en Europe dans le secteur du CVC. Cette opération s’inscrit dans une stratégie plus large de diversification de Samsung, visant à renforcer sa présence sur des marchés où elle reste encore en retrait. Elle marque aussi une nette accélération de la stratégie de fusions-acquisitions du premier conglomérat coréen: en 2023, Samsung avait déjà ainsi investi 63 Mi USD pour acquérir 14,7 % de Rainbow Robotics, et sa filiale Harman avait racheté la division audio de Masimo pour 350 Mi USD. D’autres acquisitions plus modestes avaient ponctué ces dernières années, comme celles de Corephotonics, spécialisée dans les technologies vidéo (2019), ou encore de la startup française Sonio, qui développe des solutions d’échographie prénatale assistées par IA (2024).

LG Energy Solution investit dans une usine de recyclage de batteries en France. Le premier fabricant de batteries coréen et 3 au monde a annoncé, le 28 avril 2025, un partenariat avec le groupe français du recyclage Derichebourg, pour construire une usine de recyclage de batteries au lithium usagées à Bruyères-sur-Oise (Val­d’Oise). Le site, dont la construction doit débuter en 2026 et qui devrait être mis en service en 2027, aura une capacité de recyclage de plus de 20 000 tonnes. Il servira à décharger et broyer des batteries usagées pour fabriquer de la black mass, une poudre qui concentre les métaux critiques comme le nickel et le cobalt. Dans un premier temps, l’usine utilisera comme matière première les chutes de production de l’usine LG Energy Solution de Pologne. Le co­investissement, premier de LG Energy Solutions dans le domaine du recyclage en Europe, serait de l’ordre de 35 Mi EUR et prendra la forme d’une coentreprise à 50-50.

La direction générale du Trésor est présente dans plus de 100 pays à travers ses Services économiques. Pour en savoir plus sur ses missions et ses implantations: www.tresor.economie.gouv.fr/tresor-international

Responsable de la publication: Service économique régional de Tokyo raphael.keller@dgtresor.gouv.fr

Rédaction: SER de Tokyo et SE de Séoul

Abonnez-vous : tokyo@dgtresor.gouv.fr

Faire certifier son identité numérique directement depuis l’étranger

À partir du 15 mai 2025, il sera possible de faire certifier son identité numérique directement depuis l’étranger.

Lancée par l’État français, l’application France Identité a été conçue pour sécuriser et faciliter vos interactions en ligne avec l’administration. Elle poursuit trois objectifs principaux :

– Permettre des démarches 100 % numériques, comme établir une procuration de vote à distance ;

– Accéder plus facilement aux services en ligne via FranceConnect ;

– Limiter les risques d’usurpation d’identité en évitant l’utilisation de copies de documents.

Cette certification est gratuite, valable 5 ans, et peut être annulée à tout moment.

Qui peut bénéficier de cette certification ?

Pour utiliser l’application France Identité et certifier votre identité numérique, vous devez :

– Être âgé(e) de 18 ans ou plus ;

– Posséder une Carte nationale d’identité électronique (CNIe) délivrée depuis mars 2021 (au format carte bancaire) ;

– Disposer d’un smartphone avec technologie NFC, sous Android 11 ou iOS 16.6 (ou versions ultérieures).

Comment obtenir la certification ?

En possession de votre CNIe, vous aurez l’option de certifier votre identité numérique.

Voici la marche à suivre :

–  Vous recevrez un message (SMS ou e-mail) avec un lien pour télécharger l’application France Identité et démarrer la procédure.

– En suivant les instructions, vous obtiendrez un QR code à présenter au moment du retrait de votre CNIe au consulat ;

–  Il est essentiel de finaliser ces étapes sur votre téléphone avant votre rendez-vous. Sans ce QR code, la certification ne pourra pas être réalisée.

Une fois votre identité validée, une notification contenant un lien d’activation (valable 72 heures) vous sera envoyée dans les deux jours.

En cas de difficulté ou de refus de certification, seule l’équipe de France Identité est habilitée à vous accompagner. Vous pouvez les contacter à cette adresse : support@france-identite.gouv.fr

Source : https://francais-du-monde.org/2025/05/13/certification-identite-numerique/

Copyright : Français du Monde. Tous droits réservés.

Quels sont les meilleurs forums pour discuter du Japon en français ?

D’après le moteur de recherche Perplexity https://www.perplexity.ai/ , les meilleurs forums pour discuter du Japon en français sont :

 • France-Japon.net : un forum très complet sur la vie au Japon, couvrant société, famille, travail, études, voyages, culture, gastronomie, etc. Il est très actif avec de nombreuses sections spécialisées.

 • VoyageForum : idéal pour échanger sur les voyages au Japon, itinéraires, conseils pratiques et expériences de voyageurs.

 • Tripadvisor Japon : un forum orienté voyage avec des discussions récentes et variées sur les destinations, transports, hébergements au Japon.

Pour l’apprentissage de la langue japonaise, les forums suivants sont recommandés :

 • r/LearnJapanese (Reddit) : grande communauté d’apprenants avec discussions variées, ressources et conseils.

 • Japanese Language Stack Exchange : plateforme Q&A pour questions spécifiques sur la langue japonaise avec des réponses détaillées.

 • Forums WaniKani, TextFugu, Kanji Koohii : spécialisés dans l’apprentissage des kanji et la langue japonaise.

En résumé, pour discuter globalement du Japon, France-Japon.net et VoyageForum sont parmi les meilleurs forums francophones, tandis que pour la langue japonaise, Reddit r/LearnJapanese et les forums spécialisés sont très utiles.

Dîner OLES de la Solidarité 27 mai 2025 – 10 ans d’engagement solidaire

Rediffusion d’une annonce de l’association OLES Japon.
Message de Michel Lachaussée Président de OLES Japon

Chers compatriotes,

Il est encore temps de répondre à l’appel de la solidarité.
En effet il est des rendez-vous qui dépassent les simples convenances sociales. Le Dîner de la Solidarité 2025 de l’OLES Japon, qui se tiendra le 27 mai prochain au restaurant Le Petit Tonneau à Tokyo, sous le haut patronage de l’Ambassadeur de France, est de ceux-là.
Cette année marque le dixième anniversaire de l’OLES, une association entièrement bénévole, née d’un idéal simple mais exigeant : ne laisser aucun Français en détresse au Japon sans écoute ni soutien. Depuis 2015, près de 500 personnes ont pu bénéficier de cette aide humaine et discrète, dont 72 en 2024 seulement.
Ce dîner, bien plus qu’un repas d’exception concocté par le chef Philippe Batton et les cuisiniers solidaires de l’ACPFJ, est un appel à notre responsabilité collective. Il est le seul moment de l’année où il est demandé à chacune et à chacun d’entre nous de faire un pas, un effort, un geste concret de solidarité envers notre propre communauté.
Aujourd’hui, nous devons le dire avec clarté : la mobilisation reste en deçà de ce qu’elle devrait être. Et cela ne peut nous laisser indifférents.
Nous appelons donc tous les membres de la communauté française du Japon, dans toute sa diversité, à bien vouloir répondre présents à cet acte fédérateur de solidarité. Car participer à ce dîner, c’est plus qu’un engagement symbolique : c’est affirmer que les valeurs de fraternité, de respect, de dignité et d’entraide ne sont pas de vains mots, mais bien le ciment vivant de notre communauté.
Je remercie sincèrement celles et ceux qui se sont déjà inscrits. Pour les autres, il est encore temps de s’engager et de faire preuve de conscience solidaire afin d’affirmer son attachement à une communauté de destin.
Ne restons pas passifs face au besoin de fraternité de notre communauté. Agissons. Partageons. Soyons à la hauteur de nos idéaux.
Avec tout mon dévouement, je compte aussi sur vous.

Michel Lachaussée

Président OLES Japon

Participation par personne :

– membre 14,000¥ dont 7,000¥ seront reversés au fond de solidarité.

– non membre 16,000¥ dont 9,000¥ seront reversés au fond de solidarité.

Merci de régler à l’avance votre participation sur le compte de l’OLES Japon.

Banque : 三菱UFJ銀行 MUFG (0005)

Branche : 広尾支店 Hiroo Branch (047)

Compte : 普通預金 Futsu Account Numéro: 0887933

Nom : シヤ)オレスジヤポン ou bien Sha) Oles Japon.

Pour vous inscrire et confirmer votre réservation :

Pensez à signaler votre inscription à

diner_solidarite@olesjapon.org

en indiquant en objet: « Dîner OLES 2025 » ceci permettra de vous confirmer que votre virement a bien été reçu et votre inscription enregistrée.

Comment votre entreprise peut contribuer

Nous invitons d’autres entreprises à rejoindre ce mouvement de solidarité :

Soutien financier : vos dons renforceront directement le fonds de solidarité pour aider les Français en difficulté au Japon.

Lots pour la tombola : vos produits ou services de valeur alimenteront une tombola qui représente jusqu’à 50% des recettes de la soirée.

En reconnaissance de votre générosité, le nom de votre entreprise figurera dans le programme officiel de la soirée.

Pour participer ou faire un don:

diner_solidarite@olesjapon.org

(mention « Dîner de Solidarité-Dixième Anniversaire »

Si vous ne pouvez pas participer à cette soirée mais désirez tout de même abonder le fond de solidarité nous vous invitons à visiter notre page en LIEN : Soutenir l’OLES JAPON

Nous espérons avoir l’occasion de vous retrouver lors de nos prochaines activités.)

Jeux Asiatiques 2026 au Japon : nous recherchons des talents japonisants pour rejoindre une équipe internationale

Jeux Asiatiques 2026 au Japon

Nous recherchons des talents japonisants pour rejoindre une équipe internationale (~800 personnes) sur un grand projet d’installation des infrastructures temporaires pour les Asian Games 2026.

Profils : chefs de projet, ingénieurs, acheteurs, financiers, PMO,

Missions : Long terme jusqu’en décembre 2026 avec une forte présence au Japon.

Jeunes diplômés et seniors bienvenus.

Le Key Need: pratique du japonais à l’oral.

Intéressé(e) ? Contactez Luc Pavillon ( luc@amatch.fr ) ou partagez cette info autour de vous !

N’hésitez pas à cliquer sur le lien suivant pour accéder au groupe et déposer vos réactions :

Anciens élèves et étudiants en échange au Japon