Petites annonces gratuites

Notre module de petites annonces a été légèrement relooké et il est de nouveau possible d’y poster des photos (nous avons corrigé une erreur qui s’est produite lors d’un changement de serveur).
Il y a quelques « sayonara sales » en ce moment!
Voir les petites annonces : https://france-japon.net/annonces2/index.php?a=5&b=381
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Santé publique au Japon : Ça ne s’arrange pas!

Lu aujourd’hui dans la revue de presse de actu.jp : Des patients fiévreux rejetés des hôpitaux tokyoïtes
D’après une enquête menée par les autorités de la préfecture de Tokyo, de nombreuses personnes présentant des symptômes grippaux mais déclarant ne pas s’être rendus dans un pays touché par la pandémie de nouvelle grippe, ont été renvoyés chez eux sans examen médical alors qu’ils se présentaient dans un des hôpitaux de la capitale.
92 patients ont ainsi été rejetés par les établissements médicaux entre samedi matin et mardi après-midi.
Les autorités admettent que l’affolement ait pu conduire certaines personnes à consulter sans raisons valables, mais ont rappelé aux hôpitaux qu’ils devaient accueillir toute personne souffrante suspectée d’être infectée par le virus de la grippe A H1N1.
Note de la rédaction : Après le refus de soigner des patients dans les services d’urgences, voici un nouvel exemple préoccupant de la dégradation du système de santé au Japon.

Au Japon, les femmes attendront (L’Express)

Un article de Philippe Mesmer, publié le 04/05/2009 sur le site de l’Express.
Extrait : « Bien des entreprises nipponnes se séparent de leurs employées en les acculant à la démission.
Sous l’effet de la crise, la situation de la main-d’oeuvre féminine, déjà peu reluisante, s’aggrave dans l’archipel. Invoquant la crise en occultant la mysoginie, de plus en plus d’entreprises poussent leurs salariées vers la sortie.
Employées le plus souvent à temps partiel, par intérim ou à durée déterminée, les Japonaises sont les premières à faire les frais du ralentissement économique.
En l’absence totale ou presque de protection sociale, la situation prend parfois des proportions dramatiques : les mères célibataires, dont le salaire annuel moyen atteint 2 130 000 yens annuels (16 674 A), soit 38 % du revenu moyen, souffrent tout particulièrement.
Alors que le Fonds monétaire international prévoit une contraction de 6,2 % du PIB en 2009, certaines entreprises vont jusqu’à flirter avec l’illégalité pour se séparer d’employées embauchées, en principe, pour une durée indéterminée.
Premières visées, les femmes qui attendent un enfant ou qui ont accouché. Pour les faire partir, il suffit de les affecter dans un service où les horaires sont incompatibles avec ceux d’une vie de famille. Ou encore les obliger à faire des heures supplémentaires… »
Lire la suite sur le site de l’Express.
Copyright L’Express

« L’esprit du Budô », une exposition à la Maison de la Culture du Japon à Paris

L’exposition a lieu actuellement à la Maison de la Culture du Japon à Paris (MCJP) et jusqu’au 5/07/09. Diverses manifestations culturelles sont organisées dans le cadre de l’exposition, dont une conférence présentant un parallèle sur le statut du guerrier et la place de la guerre en France et au Japon (principalement au Moyen Age, mais en évoquant aussi les époques moderne et contemporaine) :
« Chevaliers et Samouraïs. Regards croisés sur les rapports entre guerre et société en France et au Japon »
Conférence le vendredi 29 mai 2009, de 16h30 à 19h00, MCJP.
Toutes les infos et précisions sur le site de la MCJP : https://www.mcjp.asso.fr/cadrgen.html

Le Japon à l’heure du savoir partagé (Le Monde)

Un article de Philippe Mesmer dans le journal Le Monde. (Copyright Le Monde)
Extrait : Pris dans un vent de découverte, le Japon imagine de nouvelles transmissions du savoir, gratuites, civiques, ancrées dans la communauté. La mode bat son plein. Ce « buzz » ne saurait surprendre, à l’heure où l’Archipel succombe à l’attrait des jeux vidéos ludico-éducatifs ou des Open college, des services de cours ouverts à tous mis en place par les universités ou certains groupes des médias pour apprendre une langue, suivre des leçons d’histoire ou s’adonner à une activité artistique. Autant d’initiatives – et souvent de succès – qui illustrent une soif de découverte qui a conduit les universités à profiter du développement d’Internet pour multiplier les cursus à suivre à distance et à tout âge.
Mais tout cela reste institutionnel et souvent onéreux. Un trimestre en Open college peut revenir à 50 000 yens (384 euros) pour une dizaine de leçons. Le tarif minimum d’un cursus complet suivi à distance est de 700 000 yens.
A l’Université de Shibuya, en revanche, les cours sont gratuits. Cet « établissement » né en septembre 2006 dissimule un concept nouveau dans l’Archipel. « C’est un moyen d’apprendre ancré dans la communauté et l’environnement local », explique son président, Yasuaki Sakyo, 29 ans. Il ne s’agit plus de transmettre un savoir, mais « de le partager ». L’université formée sous le statut d’organisation à but non lucratif n’a pas de locaux : « Le campus, c’est la ville. »
Accessible sans concours d’entrée, elle n’accorde pas de diplôme mais elle « met en relation ». Elle contacte des personnes qui vivent ou travaillent à Shibuya, quartier vibrionnant de Tokyo où se côtoient différents univers, de la mode au design, voire l’édition. Elle les invite à partager leur passion ou leur savoir. Puis elle trouve un café, un gymnase, une école, un magasin, un parc… et annonce le cours sur son site. Les leçons, sur des sujets aussi variés que la calligraphie ou l’aromathérapie ont lieu un week-end par mois.

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Compte rendu de la conférence table‐ronde « La répression des infractions au Japon »

L’UFE Japon a publié un bref compte-rendu de la table‐ronde intitulée « La répression des infractions au Japon » sur son site : https://www.ufe.jp/evenements.html#Repression.
Cette table‐ronde avec débat a réuni plus d’une centaine de personnes à l’Institut Franco-Japonais de Tokyo le 20 avril 2009.
L’Ambassadeur de France au Japon, M. Philippe Faure a, en introduction, fait référence aux récents évènements qui ont touché certains des élèves du lycée. Il a rappelé l’importance pour la communauté française de comprendre que les règles et le système judicaire pouvaient être différents dans notre pays d’accueil et qu’il était essentiel de connaitre les risques auxquels nous exposaient des actes répréhensibles. Plusieurs compatriotes ont, en effet, été par le passé arrêtés pour des délits comme le vol, la consommation de stupéfiants ou l’attentat à la pudeur.
La commissaire divisionnaire Nathalie Auvray, Attachée de sécurité intérieure à l’Ambassade de France, a présenté des statistiques qui mettent en évidence un plus faible niveau de criminalité au Japon par rapport à la France. Elle a ensuite souligné les principales différences dans la loi japonaise avec la loi française en ce qui concerne le code de la route (notamment la tolérance zéro pour l’alcoolémie), la fin de validité d’un visa ou d’un titre de résidence, la consommation d’alcool (interdite pour les moins de 20 ans) et la consommation de tout type de stupéfiants, strictement interdite à tout âge et lourdement réprimée en cas d’infraction (au Japon, cette consommation constitue un délit et entraine des sanctions pénales).
Le commissaire principal Takeshi Wakata, adjoint au directeur du département derelations internationales de l’Agence Nationale de la Police a présenté les structures et le rôle de la police au Japon et les priorités actuelles de l’ANP. Il a rappelé qu’il fallait composer le 110 en cas d’urgence, et que des interprètes de français étaient disponibles en journée et des interprètes d’anglais jour et nuit. Il a également évoqué dans sa présentation certains délits et les sanctions auxquels ils exposent, notamment les vols de vélo et la conduite en état d’ivresse. Il nous a mis en garde contre les risques de vol à l’arraché et les cambriolages et a indiqué les précautions à prendre.
Me Ayano Kanezuka, avocate aux barreaux de Paris et Tokyo, ainsi que M. Mahrez Abassi, magistrat, sous‐directeur de la Protection des droits des personnes au sein de la Direction des Français à l’Etranger et de l’Administration Consulaire ont parcouru les règles régissant la garde à vue et la détention provisoire, le problème de la traduction pour les étrangers, les droits de la défense et le cas spécifique des mineurs. Leurs exposés parallèles ont ainsi mis en lumière les principales différences entre les systèmes judicaires japonais et français et notamment la période de garde à vue laquelle, au Japon, peut aller jusqu’à 23 jours contre 72 heures maximum en France. Ils ont également souligné que le prévenu ne pouvait bénéficier de la présence d’un avocat pendant cette période alors qu’en France l’avocat pouvait assister son client au‐delà de la 10e heure de garde à vue. M. Abassi a souligné la notion de la personnalisation de la peine en France, le juge intégrant dans son jugement la personnalité du prévenu.
Enfin, notre consul, M. Philippe Martin, a brièvement exposé l’action mais aussi les limites de l’intervention consulaire en matière d’arrestation ou de détention et il a rappelé la nécessité de le contacter immédiatement en cas d’arrestation d’un ressortissant français.
La fin de l’exposé a donné suite à un dialogue entre M. Abassi et le Dr Aldo Naouri, présent dans la salle, sur l’analyse du passage à l’acte de délit pour un mineur.
Les questions envoyées par email par les participants ont ensuite été évoquées, notamment sur les heures de sortie des mineurs non accompagnés d’adulte, le tapage nocturne, la sécurité routière, la présomption d’innocence et la responsabilité des personnes à handicap mental. La salle a ensuite eu la possibilité de poser directement d’autres questions à chacun des intervenants.
(D’après le site de l’UFE)

Ces enfants enlevés par un de leurs parents (au Japon)

C’est le titre du reportage de France 24 présenté sur son site web avec une vidéo.
À visionner à https://www.france24.com/fr/20090427-reportage-japon-enfants-enleves-parents-droits-code-civil
Sur l’archipel, les cas d’enlèvements d’enfants de couples mixtes ou japonais sont fréquents. Et, bien souvent, la loi nippone laisse le parent désireux de revoir son enfant sans recours.
enfant-enleve-au-japon.jpgQuelques photos. C’est tout ce que Richard conserve de son fils de 9 ans. Il y a 2 ans et demi, son fils a été emmené par sa mère japonaise. « Sans prévenir, mon épouse a quitté le domicile conjugal en emmenant l’enfant avec elle pendant que j’étais en France pour m’occuper de ma mère. Lorsque je suis allé voir la police, ils m’ont répondu : « Ça ne nous regarde pas, débrouillez-vous », raconte ce père effondré.
Richard est sans recours. Le Japon n’a pas signé la Convention de La Haye sur les aspects civils des déplacements illicites d’enfants. De plus, l’acte de sa femme n’est pas considéré comme un crime au Japon, et le droit de visite n’est pas non plus inscrit dans le code civil nippon. « Je n’ai aucun droit de regard, ni sur la vie quotidienne de mon fils, ni sur son éducation. Par contre, j’ai le devoir de payer une pension alimentaire qui est très lourde », ajoute-t-il.
Les autorités françaises se sont saisies du dossier, mais leur marge de manœuvre est restreinte. Philippe Faure, ambassadeur de France au Japon explique qu’il ne dispose d’aucun moyen de pression. « Nos seuls moyens, indique le diplomate, sont de convaincre les Japonais que ce sont des droits de l’Homme élémentaires pour un père de voir son enfant. »
Plusieurs centaines d’étrangers sont concernés. Des pères pour la plupart. Certains n’ont pas vu leur enfant depuis des années. Mais les cas les plus nombreux concernent des couples japonais. Selon les statistiques officielles, chaque année, sur l’archipel, 166 000 enfants sont coupés d’un de leurs parents. Souvent définitivement. Copyright france24.com
Note de la rédaction de france-japon.net :
Cet énorme scandale au Japon va-t-il encore durer longtemps? Puisque ce pays se plaint d’enlèvements de ressortissants Japonais par des Coréens du Nord, il ferait bien de balayer devant sa porte.

Cas de méningite au Lycée Franco-Japonais de Tokyo

Source : https://www.ambafrance-jp.org/article.php3?id_article=3487
Fonctionnement de la cellule de veille
Au cours de la semaine dernière, plusieurs enfants de l’école primaire de Fujimi ont présenté des symptômes de méningite et huit d’entre eux ainsi qu’une mère d’élève ont dû être hospitalisés. Quatre nouveaux cas de consultation à l’hôpital viennent d’être signalés ce matin mais il est encore trop tôt pour dire s’il s’agit d’une méningite.
Aujourd’hui mardi 28 avril à la mi-journée, sur les neuf cas avérés :
* quatre cas de méningite virale ont été détectés. Les patients se portent bien, deux ayant déjà quitté l’hôpital ;
* sur trois cas de méningite bactérienne suspectée, Deux viennent de s’avérer finalement d’origine virale ;
* pour deux autres patients, les résultats des analyses sont attendus pour demain.
Dés que le premier cas a été avéré, le Lycée Franco-Japonais a informé la communauté scolaire avant de mettre en place vendredi une cellule de veille. Dirigée par M. Laurent Signoles, secrétaire général du lycée, elle est en relation constante avec le Consulat et le Service culturel de l’Ambassade ainsi qu’avec des médecins et les responsables des associations de parents d’élèves.
Cette cellule est joignable à tout moment par courriel électronique Secgen1@lfjt.or.jp ou par téléphone au 090-1536-1384 (24/24). Par ailleurs vous pouvez joindre le standard du Lycée Franco-Japonais du lundi au vendredi de 9 heures à 17 heures ; l’équipe de permanence a été renforcée en cette période de vacances. Des communiqués sont diffusés régulièrement auprès de l’ensemble des parents.
Les cas de méningite qui touchent actuellement les élèves du lycée demandent une vigilance particulière vis-à-vis de tout symptôme pouvant évoquer cette maladie à savoir : fièvre et/ou maux de tête et/ou vomissements et/ou troubles de la conscience.
Au moindre doute, il est fortement conseillé de vous diriger vers un hôpital et de préférence vers TOKYO WOMEN MEDICAL UNIVERSITY HOSPITAL : Tokyo Shi-ika Daigaku Byoin Dr. Eto ( tél : 03-3353-8111 -standard- ). Cet hôpital reste ouvert jour en nuit pendant la Golden Week.
Mardi 28 avril 2009 -12 heures-

Épidémie de grippe porcine (infos du 28/4/2009)

Sources : blog afe-asie-nord.org ; point de situation de l’Ambassade de France en Chine du 27 avril 2009 ; site de l’ambassade de France au Japon.
En raison d’une épidémie de grippe, les déplacements à destination du Mexique sont fortement déconseillés sauf raison impérative.

À propos de la maladie animale
La grippe porcine est une maladie commune du porc. C’est une maladie que l’on retrouve dans le monde entier.
Comme tous les autres virus grippaux, le virus porcin change constamment. Quand des virus grippaux de différentes origines infectent un même cochon, le virus peut se re-combiner (échanger des gènes) et de nouveaux virus peuvent ainsi émerger. Ces dernières années, plusieurs nouveaux virus « mélangés » sont ainsi apparus.
C’est, semble-t-il, le cas une nouvelle fois.
Gravité suspectée
Le virus actuel est un recombinant qui présente la particularité de se transmettre facilement d’homme à homme ; mais sa nature exacte, sa virulence, et son pouvoir pathogène (=sa gravité) sont toujours en voie d’investigation.
Bien qu’au Mexique la mortalité semble élevée, on n’a pas identifié d’infection à H1N1 chez la majorité des décédés (seulement 18 cas à ce jour). Par ailleurs, parmi les 20 décrits aux Etats-Unis, tous ont été « légers » et aucun décès n’est à déplorer. La relation entre les cas décrits dans les deux pays est encore à déterminer.
Mode de transmission interhumaine
Le virus se transmet par les gouttelettes respiratoires, lorsqu’on tousse ou éternue, et par le contact des mains avec les surfaces contaminées par ces micro-gouttelettes (en se touchant ensuite les yeux, le nez, la bouche).
Il n’y a aucun risque de transmission par ingestion de viande de porc cuite.
En France
Les quatre cas suspectés à ce jour ont tous été infirmés.
En Chine
Il n’y a, à ce jour, aucun cas humain déclaré de grippe porcine lié à l’épidémie en cours.
Le ministère de l’Agriculture a déjà pris des mesures vétérinaires strictes (contrôle et quarantaine sur les importations de porcs et de leurs produits).
Des procédures de contrôle de la température corporelle ont été activées dans les aéroports chinois. Les personnes présentant de la fièvre peuvent être soumises à des mesures de quarantaine.
(Note de Thierry Consigny sur son blog : Idem au Japon et en Corée, avec cependant 1 cas suspect en Corée)
Symptômes
Ce sont ceux de la grippe classique : fièvre, courbatures, fatigue générale, maux de tête, etc.
Dans ce cas, il est recommandé de consulter rapidement un médecin.
Traitement
Comme pour toute infection virale, il n’existe pas de traitement spécifique. Certains médicaments anti-viraux peuvent être utilisés pour diminuer l’intensité des symptômes.
Il n’existe pour l’heure aucun vaccin disponible contre ce type de virus.
Précautions individuelles à prendre
Respecter les mesures d’hygiène habituelles, notamment :
– Se laver régulièrement les mains ;
– Se couvrir nez et bouche avec un mouchoir quand on éternue ou tousse.
À ce jour, aucun cas humain n’a été identifié en Chine.
La situation ne justifie aucune mesure particulière. Il est simplement recommandé de respecter les mesures d’hygiène habituelles.
Il n’y a pas de risque de transmission par ingestion de viande de porc cuite.
Un suivi en temps réel de la situation est réalisé par les services compétents de l’Ambassade de France en Chine. Votre section consulaire de rattachement est à votre disposition pour toute information complémentaire.
Des cas humains d’infection par le virus type A de la grippe porcine (virus de la famille H1N1) ont été identifiés au Mexique et aux Etats-Unis. D’autres cas sont suspectés dans d’autres pays (Espagne, Nouvelle-Zélande).
Les enquêtes épidémiologiques sont en cours pour déterminer la source exacte de l’infection.
Il n’y a actuellement pas de mesures de restriction dans les voyages.
Par contre, des mesures de surveillance (température) et d’information ont été mises en place dans la plupart des aéroports.

Forum : la mise à jour des profils des membres a été effectuée

La mise à jour des profils des membres s’est déroulée sans problème. Cette modification portait sur les champs « site web » et « signature ».
Ceux qui le souhaitent peuvent désormais remplir ces champs avec des données à jour.

(Pour information, 557 sites ont été effacés ainsi que 607 signatures)

Mise à jour des profils des membres du forum : IMPORTANT !

La base de données des membres du forum a été récemment mise à jour et nous avons éliminé un nombre important de comptes de spammeurs cherchant uniquement à faire la promotion de divers produits que nous vous laissons imaginer!
IMPORTANT :
Une 2e mise à jour va être effectuée dans les 48h à compter de cette notification. Elle consistera à effacer TOUS les sites web des profils des membres ainsi que leur signature.
Cette mesure est en effet devenue indispensable car depuis la création du forum un nombre important d’URL sont devenues obsolètes et entravent aussi bien le fonctionnement du site que son référencement.
Nos honorables et fidèles membres auront ensuite la possibilité de remettre une URL (l’adresse de leur site ou leur blog) dans leur profil et leur signature. Il leur suffira d’y accéder et d’ajouter l’URL correcte.
Une bonne occasion de mettre les autres infos du profil à jour!

le webmestre

Une cinquantaine de petites «Élise» au Japon

La presse française s’intéresse de plus en plus au « CAS du Japon » pour les enlèvements et non-présentations d’enfants suite à une séparation ou un divorce. Ainsi, Le Figaro International titrait récemment : « Une cinquantaine de petites «Élise» au Japon« .
On parle aussi du problème de la garde en général : « Les enfants pour eux-mêmes » dans Le Monde. Enfin, écoutez cette interview du Conseiller à l’AFE, Thierry Consigny sur Europe 1 qui parle de la situation au Japon.

Vidéos de la conférence du Dr Naouri devant des parlementaires japonais (5 et 6)

Suite des vidéos de la conférence (5 et 6) :

Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (5) from France-Japon.net on Vimeo.

Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (6) from France-Japon.net on Vimeo.

Vidéos de la conférence du Dr Naouri devant des parlementaires japonais (3 et 4)

Voici la suite des vidéos de la conférence (vidéos 3 et 4).

Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (3) from France-Japon.net on Vimeo.


Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (4) from France-Japon.net on Vimeo.

Vidéos de la conférence du Dr Naouri devant des parlementaires japonais (1 et 2)

Le Dr Aldo Naouri a donné devant des parlementaires japonais, le 21 avril 2009, une conférence intitulée « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents tout au long de son développement » dans le cadre des réflexions actuelles au Japon sur la réglementation en matière de droit de la famille.
Cette conférence a été organisée à l’initiative de notre élu à l’AFE, le Conseiller Thierry Consigny, et a reçu le soutien de l’Ambassadeur de France au Japon, M. Philippe Faure.
L’événement a été couvert par plusieurs médias français dont Le Figaro, et M6 (Zone Interdite) et France 2 (Envoyé Spécial) et a été suivi attentivement par l’inter-association des organisations de parents privés de leurs enfants suite à une séparation ou un divorce  (le réseau Oyakonet, l’Alliance japonaise pour des droits parentaux équitables, ainsi que SOS Parents Japan). Outre plusieurs parlementaires, quelques parents (japonais et étrangers), ne pouvant rendre visite à leurs enfants car leurs droits élémentaires (ceux des enfants et des parents) sont bafoués au Japon, ont suivi la conférence avec intérêt. M. Abassi, magistrat de formation, et sous-directeur des droits des personnes au ministère des Affaires étrangères et européennes (MAEE) est également intervenu brièvement pendant la conférence.
Aldo Naouri a exercé le métier de pédiatre pendant quarante ans et s’est spécialisé dans la question des relations parents-enfants et au sein de la cellule familiale. Il a écrit de nombreux ouvrages, tous destinés à aider les parents d’un enfant dans leur aventure de parents. Parmi eux « L’Enfant bien-portant » en 1993, « Le Couple et l’enfant » en 1995 ou « Éduquer ses enfants » en 2008. Son dernier livre qui a connu un large succès avec plus de 300 000 exemplaires a provoqué de vives polémiques en prônant le retour à l’autorité dans l’éducation parentale.

Voici la première partie de la conférence en français avec traduction consécutive en japonais.


Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… » (1) de France-Japon.net on Vimeo.

Conférence du Dr Naouri au Japon : « L’intérêt pour l’enfant de garder le contact avec ses deux parents… (2) de France-Japon.net on Vimeo.

Les soins d’urgence pourront-ils être assurés en cas de séisme? Gros doute…

actu japonSource : Synthèse de l’actualité japonaise du 18 avril 2009 de actu.jp d’après le Yomiuri Shimbun.
Un homme de 65 ans décède après 7 refus d’hôpitaux

Un homme de 65 ans a été retrouvé inconscient dans sa voiture après avoir été victime d’un arrêt cardiaque, dans une rue de Hyuga, préfecture de Miyazaki. Les services de secours l’ont immédiatement pris en charge et conduit vers un centre hospitalier mais il est décédé après avoir été refusé par sept hôpitaux de la région. Le motif était toujours l’absence de lit et de médecin compétent en service.
Le patient a finalement été accepté dans un huitième centre mais il a été déclaré mort quelques instants après son arrivée. D’après les autorités, le décès serait la conséquence directe du temps mis à trouver un hôpital.

Commentaire de la rédaction de france-japon.net :

Si en temps normal il est déjà impossible de se faire admettre dans un service d’urgence, il nous paraît légitime de nous poser la question de la prise en charge des blessés lors d’un séisme important, avec un afflux important de sinistrés dans les services d’urgence.
« Les soins d’urgence de nos compatriotes pourront-ils être assurés « correctement » -au même titre, bien entendu que ceux des Japonais et de tous les autres ressortissants de pays étrangers-? »
C’est la question que nous comptons poser lors d’un prochain comité de sécurité à l’ambassade. Ça tombe bien, il y en aura bientôt un!

« Éduquer ses enfants, l’urgence aujourd’hui » conférence le lundi 20 avril à 13 heures

aldo-naouri«Éduquer ses enfants, L’urgence aujourd’hui»
Rencontre-débat avec le Docteur Aldo Naouri
Le lundi 20 avril à 13 heures, à l’Espace Images de l’Institut Franco-Japonais de Tokyo
Une conférence de l’Union des Français de l’Étranger (UFE Japon), ufe.jp, avec l’aimable concours de l’Institut franco-japonais de Tokyo www.institut.jp.
Nous avons la chance d’accueillir à Tokyo le Docteur Aldo Naouri. À l’initiative de notre élu AFE en résidence au Japon, il doit en effet présenter devant les députés et sénateurs japonais son travail sur « L’importance du contact de l’enfant avec deux parents, deux familles » dans le cadre des réflexions actuelles au Japon sur la réglementation en matière de droit de la famille.
Aldo Naouri a exercé le métier de pédiatre pendant quarante ans et s’est spécialisé dans la question des relations parents-enfants et au sein de la cellule familiale. Il a écrit de nombreux ouvrages, tous destinés à aider les parents d’un enfant dans leur aventure de parents. Parmi eux « L’Enfant bien-portant » en 1993, « Le Couple et l’enfant » en 1995 ou « Éduquer ses enfants » en 2008. Son dernier livre qui a connu un large succès avec plus de 300 000 exemplaires a provoqué de vives polémiques en prônant le retour à l’autorité dans l’éducation parentale.
L’Union des Français de l’Etranger (UFE Japon) vous propose de rencontrer le Docteur Aldo Naouri qui nous présentera son analyse sur le rôle de l’éducation et répondra à vos questions lors d’une rencontre-débat organisée à l’Institut franco-japonais de Tokyo le lundi 20 avril de 13 h à 14h30.
Nous pourrons notamment aborder avec lui la question de la double culture, de la diversité, de l’expatriation, etc. et comment nous pouvons optimiser cette richesse pour nos enfants.

Date : Lundi 20 avril 2009
Heure : de 13h00 à 14h30
Lieu : Espace Images de l’IFJT

Programme
13h00 à 13h45   Exposé du Dr. Naouri

– ce qu’est un enfant,
– ce que sont les parents,
– ce que sont les relations familiales
– et la nécessité de l’éducation
13h45 à 14h30   Discussion
Inscription à la table-ronde
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Faute d’enfants, le Japon vend ses écoles

Des écoles primaires de l’île d’Hokkaido seront proposées aux enchères sur le site Yahoo! Japan.
Une municipalité japonaise s’apprête à vendre aux enchères sur internet quatre écoles primaires devenues inutiles en raison de la baisse du nombre d’élèves.
La petite ville de Niikappu, située sur l’île nippone septentrionale de Hokkaido, prévoit de proposer le mois prochain au plus offrant ses quatre écoles désertées, via le site d’enchères de Yahoo! Japan, selon Hidenori Tsutsumi, un fonctionnaire municipal chargé de suivre l’affaire.

Article à lire sur le site de liberation.fr. Source AFP et Libération.

La Corée du Nord : un méchant si utile

Un article signé Jean-Marie Bouissou dans Ouest-France.
Extrait :
… La Corée du Sud, dont l’économie n’est pas au mieux, ne craint rien tant que l’effondrement brutal du Nord, qui la submergerait de millions de réfugiés. Le Japon redoute, sans le dire, l’unification à sa porte de quelque 70 millions de Coréens qui ont amplement prouvé leur dynamisme économique, leur fermeté dans les épreuves, mais aussi leur nationalisme parfois exacerbé. En outre, les gesticulations nord-coréennes offrent aux dirigeants de Tokyo l’alibi rêvé qui leur permet, depuis bientôt deux décennies, de faire monter en puissance les forces armées japonaises.

Lire l’article intégral sur le site d’Ouest-France.