Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb : le film

Stupeur et tremblements Monsieur Haneda était le supérieur de monsieur Omochi, qui était le supérieur de monsieur Saito, qui était le supérieur de mademoiselle Mori, qui était ma supérieure. Et moi, je n’étais la supérieure de personne […] Donc, dans la compagnie Yumimoto, j’étais aux ordres de tout le monde. L’adaptation, ou plutôt la très fidèle version cinématographique, du roman d’Amélie Nothomb « Stupeur et tremblements » est sortie le 13 mars sur les écrans français. Alain Corneau joue le jeu jusqu’au bout: les dialogues sont en japonais et, à l’exception de Sylvie Testud, les acteurs sont tous nippons! Les personnes allergiques aux V.O. sous-titrées, veuillez donc vous abstenir!… Sauf si vous savez vous contenter de la voix off, celle de Sylvie Testud lisant les passages les plus savoureux du livre.
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Les lexiques de Quebec-Japon.net

lexique-japonais-francais

La petite fenêtre [Lexiques] située dans la colonne de gauche (tout en haut) de ce site n’a pas changé en apparence. Mais en réalité, le lexique auquel elle vous permet d’accéder s’est récemment enrichi d’un très grand nombre d’entrées puisque désormais ce sont 38154 entrées en japonais et 27880 entrées en français qui sont disponibles. La recherche de vocabulaire peut s’effectuer aussi bien en japonais qu’en français. À vous de jouer ! Essayez de rechercher des mots de vocabulaire en japonais et en français.

Bon plan (adultes et enfants) : le musée de la marine à Odaiba

À court d’idées de sortie pour ces quelques jours de congé? Vous avez déjà repris le travail? Alors voici une idée de sortie pour le prochain week-end.
Le Musée de la Marine à Odaiba se trouve sur un site magnifique sur lequel on peut se rendre directement depuis Shinbashi par le train Yuri Kamome (station Fune no Kagaku Kan).
plan d'accès

À visiter avec les enfants! Tous les détails se trouvent sur le site www.funenokagakukan.or.jp (en anglais)
Variante :
S’y rendre à pied le long des quais aménagés en promenade à partir de la station Odaiba Kahin Kôen. C’est également un lieu de pique-nique agréable!
Voir aussi l’album de photos d’Odaiba ici.

Courtisanes du Japon, de Jean Cholley

Pénétrez, gràce à ce livre, dans le monde mystérieux du quartier des plaisirs d’Edo (l’actuel Tôkyô)! Textes traduits et présentés par Jean Cholley.
Pour nous initier aux us et coutumes de Yoshiwara, car c’est ainsi que se nomme ce célèbre quartier, Jean Cholley a essentiellement utilisé des senryû, courts poèmes satiriques d’environ dix-sept mesures, tirés de trois recueils dont la rédaction s’étend du XVIIIe au XIXe siècle. Mais ne croyez pas que ce livre se résume à une suite rébarbative de poèmes! Ceux-ci constituent, en réalité, une sorte de fil conducteur qui illustre chaque situation et nous guide sur le parcours long et semé d’embûches allant de la Digue du Japon jusque dans l’intimité des maisons des courtisanes. Les principes fondamentaux du fonctionnement du quartier comme les anecdotes s’y rapportant sont abordés sous l’angle de la « joyeuse étude » ainsi que le dit lui-mÍme l’auteur, ce qui distrait des « discours socio-historiques  » ou des « dénonciations à prétention morale » jusqu’alors proposés sur le sujet…
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Maintenance du forum le 4 janvier : terminée!

La mise à jour s’est correctement déroulée. Le forum est de nouveau disponible! Merci de votre patience. 🙂

Message : Le forum sera désactivé pendant une durée de 2h environ pour des opérations de maintenance le dimanche 4 janvier 2008, approximativement entre 8 heures et 12h (midi), heure japonaise.

Le goût de Tokyo, de Michaël Ferrier

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En une centaine de pages et en quelque trente textes d’auteurs divers, ce petit bouquin nous donne à savourer les multiples goûts qui composent cette ville tentaculaire.
Écrivains, journalistes, voyageurs, cinéastes, architectes et spécialistes du Japon sont ici réunis par Michaël Ferrier pour décrire par touches successives et indépendantes les unes des autres, la mégalopole japonaise : l’image même de son développement.
À la lecture de chaque nouveau texte, accompagné d’une petite introduction et parfois d’un commentaire, l’on s’aperçoit que l’exploration de Tôkyô semble n’avoir jamais pu se concevoir dans le calme et la quiétude, qu’elle entraîne le visiteur dans le rythme effréné de la croissance culturelle, technique ou encore commerciale de la ville. Espace de liberté infinie ou prison dorée, quelle que soit l’idée reçue que cette ville véhicule, on constate, en tout cas, que personne n’y est indifférent. D’ailleurs, comment pourrait-on rester de marbre lorsque l’on découvre, bien dissimulés derrière le bouillonnement sonore, visuel et spirituel, les revers que la société a infligés à la capitale d’une des plus grandes puissances mondiales.
(éditions https://www.mercuredefrance.fr)

Le japonais, troisième langue enseignée au Mirail Université

Les effectifs ont augmenté de 60% en 5 ans.
Tous les linguistes en conviennent : « le japonais, c’est pas facile, une écriture compliquée, une logique de langue qui n’a aucun rapport avec la nôtre… ». Pourtant, et malgré tous ces handicaps, les étudiants se pressent pour l’apprendre.
À tel point que désormais, avec ses 400 inscrits, le japonais est devenu la troisième langue enseignée à l’université du Mirail.
Article à lire sur https://www.ladepeche.fr/.