De nombreux habitants d’Okinawa se plaignent de la délinquance, du bruit et de la pollution liés selon eux aux bases

Lu dans l’Express (ici) : De nombreux habitants d’Okinawa se plaignent de la délinquance, du bruit et de la pollution liés selon eux aux bases.

On les croit ! (ironie) Le Japon est un pays très bruyant, très pollué et peu de Japonais s’en plaignent. Et puis, les Japonais sont aussi des délinquants…
Pourtant, depuis quelques années, on a l’impression en lisant la presse qu’il n’y a de délinquance qu’américaine à Okinawa. Tout comme, toujours d’après les médias, on a parfois l’impression que la délinquance n’est le fait que des étrangers au Japon en général.
Bref, ces soi-disant arguments contre les bases américaines ne sont qu’un prétexte pour rejeter les Américains! Ça crève les yeux.
Ceci dit, ça fait un bail qu’ils sont là… Qui va les remplacer? Les Japonais eux-mêmes ou… les Chinois?
Je le disais déjà dans les années 80 : « Je partirai du Japon avec le dernier soldat américain. » Et même peut-être avant.

Dictionnaire de l’Union Européenne en japonais

Un dictionnaire de l’Union Européenne en japonais vient de paraître. Voici un extrait de sa description sur le site de l’éditeur Taishûkan à cette URL : http://thistle.est.co.jp/tsk/detail.asp?sku=10237&page=1

J’y ai ajouté quelques mots d’explications.

Nom de l’ouvrage 書名: EU情報事典 (éditions 大修館)
(いーゆーじょうほうじてん)  ISBN(10/13桁): 978-4-469-01280-4  著者名: 村上直久 編著(むらかみなおひさ)  定価: 3,780 円 (A5判・530頁)

主要目次: 第1部 EU基本用語辞典 Il s’agit d’une liste de termes importants en anglais, français et japonais.
第2部 EUを理解するキーワード
1 EUの歴史 histoire de l’Union Européenne
2 政治・外交 politique et diplomatie
3 金融・財政・経済・産業 finance, économie, industrie
4 社会・生活・労働・文化 société, vie quotidienne, travail, culture
5 世界で進む地域統合 l’unification régionale qui progresse dans le monde
第3部 資料編
1 EU条約[リスボン条約](部分訳)le traité de Lisbonne (avec traduction partielle)
2 EU運営条約(部分訳・旧EC条約)
3 主要判例
4 加盟国・関連諸国基礎資料
5 欧州統合Who’s Who

etc.

eu-joho-jiten-18

Safety Network Crisis : émissions spéciales de la NHK

Il y avait une émission très intéressante sur la NHK ce soir.
セーフティーネット・クライシス vol.3
しのびよる貧困 子どもを救えるか
http://www.nhk.or.jp/special/onair/091004.html
Les intervenants ont parlé des problèmes d’éducation des enfants en focalisant sur la paupérisation et ses conséquences sur les familles ayant des enfants à éduquer. On dirait que le vent a tourné à la NHK aussi…
D’après leurs chiffres, un enfant japonais sur sept est touché par la pauvreté. C’est un chiffre énorme pour une puissance économique comme le Japon! Avec pour conséquences, par ex., des enfants sous-alimentés, partant à l’école le ventre vide, beaucoup d’autres (ou les mêmes) n’allant pas chez le médecin alors qu’ils ont de la fièvre et même pas gardés -ni récupérés- par leurs parents car ceux-ci doivent aller à la kaisha (l’entreprise) pour ne pas se faire virer.
Vraiment très bonne émission, sans fard, sans langue de bois.
Surtout, les enfants étaient placés au centre des problèmes, pour le présent, pour l’avenir, ce qui, évidemment, est une excellente approche.

Extrait de la page du site présentant l’émission :
« 経済危機が深刻化する中、大量解雇の波は、非正規労働者ばかりか正社員にまで及んでいる。世帯主の失職の影響から、いま「子どもたちのセーフティーネット」が危機に瀕している。

OECDは、日本の「子どもの貧困」が際立って加速していると警告した。給食費や教材費が払えず小中学校への通学も難しくなったり、貧困から高校を中退せざるを得ない子どもが急増している。背景には、日本の社会保障制度が「正社員」を前提に設計されたまま、抜本的な見直しが行われていない点がある。子育て世代に当たる20代〜40代の、4割近くが低所得の非正規労働者であるにもかかわらず、子どもの医療費、教育費、住宅費、食費等の負担は、正社員家庭と同じく一律に求められ、貧困に拍車をかけているのだ。

子どもたちの「健全な育ち」を保証する「人生前半の社会保障」を築くには、どのようにセーフティーネットを張り替えていけば良いのか。番組では、日本の子どもたちの現状を検証し、さらにフィンランドなどの先進的な取り組みも紹介しながら、子どもたちのための社会保障・セーフティーネットのあり方について考えていく。 »
J’en remets une couche sur les Jeux Olympiques… Les sommes folles englouties par la municipalité de Tokyo pour la promotion de la ville, c’était vraiment pas la priorité de Tokyo. Si on ne fait pas grand choses pour les SDF, au moins qu’on s’occupe des enfants en difficulté.
Bon, ceci dit, que fera le Brésil?? Les enfants des favelas (bidonvilles brésiliens) auront-ils des billets d’entrée gratuits pour les JO ?

Tokyo n’a pas été choisi pour accueillir les Jeux Olympiques en 2016

Tokyo n’a pas été choisie comme ville d’accueil pour les Jeux Olympiques de 2016. C’est bien dommage et on entend dans les médias japonais beaucoup de gens se demander pourquoi.
Beaucoup de raisons sont invoquées mais personne ne dit que le gouverneur de Tokyo, Shintaro Ishihara, porte certainement une grande partie de cette responsabilité à cause son attitude pendant ces 10 dernières années et notamment de ses déclarations méprisantes à l’égard des Coréens, des femmes, de la langue française etc., des erreurs accumulées qui ont certainement contribué à porter un grand tort à l’image de Tokyo.
De plus, les énormes sommes englouties (15 milliards de yens) dans les activités de promotion de Tokyo pour recevoir les Jeux n’ont sans doute pas reçu l’assentiment d’un bon nombre de contribuables… Avec cet argent, on aurait pu faire un peu plus de social, par exemple, en s’occupant sérieusement du problème des SDF.
Dommage pour les Japonais et pour Tokyo mais après tout, ce sont les Tokyoïtes qui ont élu Ishihara…

Un Américain arrêté pour tentative d’enlèvement de ses enfants au Japon

De nombreux médias américains ont réalisé des reportages sur l’arrestation au Japon d’un père ayant tenté de ramener ses enfants aux États-Unis après qu’ils ont été enlevés par leur mère japonaise. Pour plus de détails et des liens vers d’autres articles et vidéos, voir le site de sos-parents-japan.org.

Le syndrome de Münchausen : maltraitance sur ordonnance

Je ne compte plus le nombre de parents qui m’écrivent pour me faire part de leurs problèmes suite à une séparation ou un divorce. Les associations sos-parents-japan.org et sos-papa, en collaboration étroite avec le réseau associatif Oyakonet (18 associations japonaises!) font un excellent travail de lobbying pour essayer de faire changer la loi sur l’autorité parentale au Japon.
En effet, la loi au Japon ne reconnaît l’exercice de cette autorité qu’à un seul parent, ce qui conduit fréquemment à des abus de la part du parent auquel elle a été attribuée, avec pour corollaire l’impossibilité pour l’autre parent de continuer à voir régulièrement son enfant.
Notez bien, j’écris « parent » mais il s’agit à 90% des pères qui sont privés de droit de visite à leur enfant suite à un divorce. Et ceci ne touche pas les étrangers mais la très grande majorité des divorcés japonais.
Il convient d’insister sur le fait que LES ENFANTS sont ainsi privés de leurs droits élémentaires de voir leurs 2 parents, et, dans le cas d’un parent étranger, sont également privés d’un pan entier de leur famille de « l’autre pays » ainsi que de sa langue et sa culture.

Oui, cela paraît inconvevable pour un Français mais c’est ainsi que ça se passe au Japon en 2009!

Un des aspects de ce problème me semble être ce que l’on appelle « Le syndrome de Münchausen ». Il a été décrit par les médias (y compris les médias japonais, il y a déjà quelques années) mais la compréhension de son mécanisme n’est sans doute pas entrée dans les esprits. Il touche en effet à des tabous, notamment celui de l’amour maternel, qui le rendent difficile à déceler, y compris pour le corps médical.
Wikipédia présente un article très incomplet, et donc décevant, sur le sujet mais en revanche doctissimo.fr  présente plusieurs pages permettant de bien appréhender le problème.

Extrait de l’article de Mathieu Ozanam :
(article complet ICI)

Une maladie insoupçonnable

Si l’on estime que le phénomène est marginal, son ampleur réelle demeure très difficile à évaluer. Plusieurs raisons peuvent l’expliquer, et au premier chef le désarroi des médecins face à une maladie qui échappe à tous les traitements. La plupart des mères évoluent en effet dans le milieu médical ou paramédical. Les signes qui permettraient de repérer la simulation ne sont pas perçus : le fait que l’enfant se rétablisse en l’absence de ses parents ; la multiplicité de cas de maladies rares dans une même fratrie… Et quand bien même des soupçons pourraient naître, les médecins impuissants n’osent pas briser le tabou de l’Amour maternel. Impossible d’accabler cette mère éplorée qui semble si dévouée à son enfant et si coopérante avec l’équipe médicale. Il faut ajouter que la législation française interdit de pratiquer une vidéo-surveillance à l’insu des personnes filmées. Les mères doivent par conséquent être prises en flagrant délit « d’empoisonnement ».

Coupable ou victime ?

Pour autant les psychiatres voient dans la mère plus une victime qu’une coupable. Son amour est fusionnel, son enfant est considéré comme étant le prolongement d’elle-même. Ces femmes ne cherchent pas à maltraiter leur enfant, mais à attirer l’attention de l’équipe médicale pour forcer l’admiration de leur entourage par leur abnégation. Incapable de tisser des liens par ailleurs, la pseudo-maladie leur permet de développer une sociabilité qui leur fait défaut. Cette position est valorisante à plus d’un titre, puisque la mère se sent supérieure aux médecins. « Non seulement elles maîtrisent la pathologie et le pronostic de l’affection, mais en plus elles peuvent « guérir » leur enfant du jour au lendemain » explique le Dr Andrei Szoke, attaché du service de psychiatrie de l’hôpital Albert Chenevier (Créteil).

Des malades qui refusent de se soigner

Les personnes atteintes du syndrome de Münchausen refusent dans la plupart des cas le diagnostic et ne se reconnaissent pas comme étant malades. « Elles savent que ce qu’elles font n’est moralement pas acceptable, mais comme dans la kleptomanie ou la pyromanie, elles vivent un état tensionnel qui ne s’apaise qu’une fois l’acte accompli ». Internet offre un nouveau moyen d’expression à ces malades qui participent à des forums sur des sites médicaux ou associatifs. « En général ils se font repérer par leur assiduité, les multiples complications qu’ils décrivent laissant peu d’espoir sur leur pronostic vital dans la vraie vie » précise Andrei Szoke. Quant aux enfants, on a constaté que nombre d’entre eux développaient à leur tour un syndrome de Münchausen une fois adulte, et parfois même dès l’adolescence.

Les petites annonces de Tokyo

Vu ces petites annonces récemment… Les « sayonara sales » semblent en nette augmentation cette année… la crise est passée par là et un grand nombre d’expatriés retourne en France.
1. La date de notre depart approche…
Nous vous proposons une opération « soldes sur les sayonara sales »

Notre conseil : Attendez encore un peu, ça sera bientôt gratuit !!

2. Un masseur-kinésithérapeute diplômé d’Etat Français propose ses services.
Question : A-t-il bien le droit d’exercer au Japon? J’ai un gros doute. Le Japon n’est pas l’Europe quand même… Mais peut-être ai-je tort de me faire du souci. Il a dû se renseigner.

3. J’ai accouché de deux bébés prématurés…
Félicitations, Madame !
… Avez vous des noms d’hôpitaux ou de médecins (de préférence parlant français ou anglais pour la transmission des dossiers médicaux…) qui traitent ces cas?
Commentaire : Je lui souhaite sincèrement de trouver. Il y a de très bons hôpitaux à Tokyo. Mais trouver des praticiens spécialisés en néo-natalité qui parlent français, ça va être plus dur.
Donc, si vous avez des infos pour cette dame, abonnez-vous aux petites annonces de Tokyo pour les lui faire passer!

Passeport biométrique : les pièces qu’on pourrait ne pas fournir pour l’obtenir

Oh purée! Ce serait si simple si nos braves fonctionnaires pouvaient tout faire à partir des données en leur possession sur leur magnifique ordinateur.
Voici ce qu’on nous demande pour obtenir un passeport biométrique. Notez bien que ce n’est pas une critique de l’administration de l’ambassade de France à Tokyo. C’est une remarque générale en vue de l’amélioration du service grâce à l’informatique.

Pièces justificatives à fournir :
– copie intégrale (ou extrait avec filiation) de votre acte de naissance (à réclamer à votre mairie de naissance ou, si vous êtes né à l’étranger, au Service Central de l’état civil à Nantes) ;
L’ambassade a les coordonnées de la mairie de mon lieu de naissance. Ça devrait pouvoir être automatisé. Bon, c’est sûrement pour protéger nos données personnelles (pour qu’on les donne nous-mêmes bien qu’elles soient déjà « données »).
– preuve de nationalité française ;
La preuve, elle est dans l’acte de naissance, hein? Rassurez-moi… Et expliquez-moi si j’ai raté un épisode…
– justificatif de domicile (carte d’inscription consulaire, etc.) ;
Ça, ils (l’ambassade) l’ont aussi. Je suis inscrit au service consulaire et mes données sont à jour.
– ancien passeport, ou déclaration de perte ou de vol établie par un commissariat japonais ;
Bon, je l’ai. Facile!
– si le demandeur est mineur : • le livret de famille • la copie intégrale du jugement de divorce attribuant l’autorité parentale (le cas échéant)
Tiens, tiens… au Japon, justement l’autorité parentale n’est attribuée qu’à un seul des parents (la mère, dans 99,99% des cas). Impossible donc pour le parent privé de son enfant de demander un passeport?? Faut croire que oui. Même en cas d’enlèvement parental par le parent japonais?

On nous écrit aussi :
« Pour gagner du temps (sic!) au moment de la formulation de la demande de passeport, assurez-vous au préalable que votre dossier d’inscription au Registre des Français établis hors de France soit bien à jour et contienne l’ensemble des informations suivantes pour chacun des membres français de votre famille : état civil, taille, couleur des yeux, adresse de votre domicile, coordonnées téléphoniques et de messagerie électronique. »
M… faut que JE vérifie… ?? Faut que j’y aille?? C’est quoi « au préalable »? Je vais me renseigner… Dommage, ça va leur faire perdre un peu de temps.

Bon, faut pas se plaindre, on est des grands privilégiés, nous les Français du Japon, car certains Africains, les Ivoiriens -pour ne citer que cet exemple- sont carrément obligés d’aller dans un autre pays (la Chine) pour faire leur demande.
passeport_biometrique.jpg

Toutes ces infos sont sur le site de l’Ambassade de France au Japon.

Passeport biométrique

A partir du 24 juin 2009, le passeport biométrique sera le seul modèle délivré à tout demandeur de passeport. Les passeports du type précédent peuvent être utilisés jusqu’à leur fin de validité.

La mise en place du passeport biométrique s’accompagne de recueil de données qui nécessite un temps d’instruction plus important. Pour cette raison, il vous est demandé de prendre rendez-vous par téléphone ou par messagerie électronique selon les modalités suivantes :

Par téléphone :

du lundi au jeudi de 14h à 18h

Eric HIESTAND : (03)5798 – 6088 Hoang-Mai LE : (03) 5798- 6087

Par messagerie électronique :

eric.hiestand@diplomatie.gouv.fr, hoang-mai.le@diplomatie.gouv.fr

Double comparution : La nécessité de prendre des empreintes digitales au moment de la formulation de la demande et au moment du retrait du passeport, à des fins sécuritaires, implique la double comparution de l’usager. Dès lors, aucune demande ne pourra être traitée par courrier ou par procuration et aucune dérogation ne peut être envisagée.

NB : La présence des enfants de moins de six ans n’est pas nécessaire au moment du dépôt de la demande, si les parents fournissent une photographie aux normes exigées. En revanche, leur présence sera indispensable lors de la remise du passeport.

Important : Pour gagner du temps au moment de la formulation de la demande de passeport, assurez-vous au préalable que votre dossier d’inscription au Registre des Français établis hors de France soit bien à jour et contienne l’ensemble des informations suivantes pour chacun des membres français de votre famille : état civil, taille, couleur des yeux, adresse de votre domicile, coordonnées téléphoniques et de messagerie électronique.

Pièces justificatives à fournir :

– copie intégrale (ou extrait avec filiation) de votre acte de naissance (à réclamer à votre mairie de naissance ou, si vous êtes né à l’étranger, au Service Central de l’état civil à Nantes) ;
– preuve de nationalité française ;
– justificatif de domicile (carte d’inscription consulaire, etc.) ;
– ancien passeport, ou déclaration de perte ou de vol établie par un commissariat japonais ;
– si le demandeur est mineur : • le livret de famille • la copie intégrale du jugement de divorce attribuant l’autorité parentale (le cas échéant)

Droits de chancellerie

Passeport pour majeur :
– l’équivalent en yens de 89 € avec prise de photographie numérique au guichet ; 88 € si la photographie d’identité (conforme aux normes exigées) est fournie par le demandeur ;

Passeport pour mineur jusqu’à 15 ans :
– l’équivalent en yens de 20 € avec prise de photographie numérique au guichet ; 19 € si la photographie d’identité (conforme aux normes exigées) est fournie par le demandeur ;
– Passeport pour au-delà de 15 ans :
– l’équivalent en yens de 45 € avec prise de photographie numérique au guichet ; 44 € si la photographie d’identité (conforme aux normes exigées) est fournie par le demandeur ;
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Passeport biométrique
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Passeport biométrique

En cas de renouvellement : En sus des pièces ci-dessus, présenter également l’ancien passeport.

En cas de pages épuisées : Il faut procéder au renouvellement du passeport. Ce renouvellement sera effectué à titre gratuit jusqu’à la date d’expiration de l’ancien passeport. Le rajout de pages est impossible.

En cas de perte ou de vol : Veuillez présenter le procès verbal de la déclaration de perte ou vol établi par l’autorité de police locale, ainsi que la photocopie du passeport si vous en disposez.

NB : les pièces ci-dessus doivent être présentées en original et celles qui restent en la possession du demandeur (pièce d’identité, justificatif de domicile, justificatif de nationalité française) doivent être accompagnées d’une photocopie.

Les demandes d’acte de naissance peuvent être effectuées par Internet : http://service-public.fr/ ou https://www.actes-etat-civil.fr, ou le site de votre mairie de naissance en cas de naissance en France ; http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/les-francais- etranger_1296/vos-droits-demarches_1395/etat-civil_1399/ demarches-relatives-aux-actes-etat-civil_13108/delivrance- un-acte-etat-civil_28609.html, en cas de naissance à l’étranger.