問 4
殳
A) やく
B) きゅうまた
C) るまた
D) ぬく
Prochain quiz dans 2 jours !
問 4
Prochain quiz dans 2 jours !
問 3
Prochain quiz dans 2 jours !
Choisissez le nom correct pour cette clé de kanji.
問 2
Prochain quiz dans 2 jours !
Vendredi, il y avait une petite soirée donnée en l’honneur des étudiants étrangers et à cette occasion un prof avait préparé des jeux variés. De mon côté, j’avais préparé un jeu sous forme de QCM (questionnaire à choix multiples) sur des clés de kanjis.
Au début, j’avais préparé un jeu sur des clés plus rares mais, après en avoir discuté avec le prof responsable de la formation de japonais, il a été décidé de choisir des clés un peu plus faciles.
Voici donc la première question. Il y en aura 7.
Ne regardez pas les listes de clés avant de répondre! 🙂
次に部首の正しい名前を選択してください。
問 1
Le manuel « kokugo binran » 国語便覧 (une version assez ancienne) présente à sa rubrique 漢字の部首 un tableau des 98 clés les plus importantes.
Ceci représente moins de la moitié de 214 clés, dont il faut bien reconnaître qu’un grand nombre n’est pas vraiment utile pour comprendre les kanjis de la vie quotidienne et même des médias.
Nous présentons deux versions du tableau, une petite et une en taille originale. Cliquez sur le lien pour afficher la grande image.
cliquez ici pour voir l’image en taille réelle.
Je viens de publier ce petit texte racontant un peu ma « relation avec la langue japonaise » sur mon site professionnel.
« Une soudaine immersion dans la langue japonaise et sa culture à partir de 1982, date de mon arrivée au Japon pour me perfectionner en arts martiaux, a provoqué un déclic en moi. Je me suis en effet découvert une véritable passion pour la langue japonaise que j’avais commencé à apprendre avec un ami japonais à Bordeaux avant mon départ pour le Japon.
Cette passion pour une langue -et même des langues, je l’ai probablement héritée de mon père, qui parlait et lisait couramment l’allemand et l’espagnol ainsi que de mon professeur d’italien, M. Radé, qui excellait dans l’art de mettre la langue et la civilisation en relation.
Pour me perfectionner, j’ai d’abord suivi des cours particuliers de japonais au Japon que j’ai voulu compléter et bonifier par un cursus à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales à partir de 1984. Ces études m’ont mené à l’obtention d’une maîtrise en 1989, après avoir passé en 1988 une licence de japonais avec option « interprétation et traduction ».
Il y avait à l’INALCO de l’époque trois cursus et, toujours emporté par ma passion, je m’étais inscrit à la presque totalité des UV pour les finaliser tous les trois. En fin d’études, il ne me manquait qu’une UV (”kanbun” et “relations internationales”) pour obtenir les diplômes dans chacun des deux autres cursus.
Ceci a constitué une base honorable pour continuer à approfondir mes connaissances sur le Japon, démarche qui n’a jamais cessé depuis.
En parallèle à cette formation intensive de japonais, en France et au Japon, j’ai pratiqué l’anglais, en autodidacte et pour le plaisir, et également avec des amis américains et anglais en “échange” chaque semaine. “Pour le fun”, j’ai obtenu 875 points au TOEIC en 2000, ce qui n’est pas extraordinaire en soi mais n’est pas non plus déshonorant pour un “amateur” de la langue anglaise.
J’ai effectué mes premières missions d’interprétariat dans les années 80.
Après une période de recherche intensive et de formation dans le domaine de la didactique du FLE (Français Langue Étrangère), assortie de quelques expériences de formateur de formateurs, je me suis de nouveau réinvesti dans le japonais.
Actuellement Maître de Conférences à l’université Seitoku depuis 1993, mes recherches portent notamment sur la place des radicaux de sinogrammes dans la langue japonaise et son enseignement.
Parfaitement intégré dans la société japonaise, j’ai des occasions quotidiennes de pratiquer la langue et d’affiner ma compréhension de la culture japonaise qui sont autant de facteurs me permettant d’effectuer au mieux les missions d’interprétariat qui me sont confiées. »
Une de mes amies me disait il y a quelques jours que sa fille travaille dans une grande entreprise japonaise du département de Kanagawa et que ses conditions de travail, ou plutôt de rémunération, étaient plutôt bonnes. Elle bénéficie en effet d’une prime annuelle de huit mois (oui, 8! mois) de salaire. Il s’agit de ce qu’on appelle au Japon le fameux « bonus ».
Son salaire annuel est donc calculé ainsi : salaire mensuel x 20 .
Pour un salaire de 350000 yens, elle touchera donc :
(350 000 x 12) + (350 000 x 8 ) = 7 000 000 yens
Bon, on ne sait pas quel est son salaire mensuel… mais ce système de calcul le fait considérablement augmenter en moyenne annuelle !
Et on ne sait pas non plus quelles sont ses conditions réelles de travail, notamment le nombre d’heures supplémentaires effectuées (mais non payées).
Faut-il préciser que les employés de cette entreprise ne se sentent pas du tout touchés par la crise?
Lu ce matin dans la revue de presse de Actu Japon cette nouvelle bien triste…
La flotte nippone de baleiniers, toujours à la recherche du membre d’équipage disparu il y a 2 jours dans les eaux de l’Antarctique Sud, a refusé l’aide de l’association australienne militant contre la pêche à la baleine, Sea Shepherd.
(Voir les commentaires, svp, au sujet de « Steve Irwin »; billet corrigé). Le responsable de l’association, aurait proposé son aide pour la recherche de Hajime Shirasaki mardi. Un porte-parole de la flotte japonaise a déclaré qu’il n’accepterait ni aide ni aucune coopération de la part de Sea Shepherd.
Chaque année, l’association australienne mène la vie dure à la flotte japonaise lors des campagnes de pêche à la baleine. (Asahi Shimbun)
Ainsi donc, ces Japonais (et seulement ceux-là, attention!), par leur refus, montrent quel est leur système de valeur: Ils placent leur fierté avant la main tendue par l’association australienne Sea Shepherd pour retrouver le corps du pauvre marin tombé à la mer.
Voici donc la suite de ce blog interrompu pendant quelques jours… Entre autres activités, j’étais en train de travailler sur un lexique de 13000 mots japonais et français. Je vous en reparlerai très prochainement…
Reprenons la liste des kanjis présentés dans la dernière vidéo.
古 枯 固 個 苦 姑 居 故
Ils sont présentés de nouveau à la fin de chacun des petits films dans une animation qui rappelle leur prononciation.
Le Mont Fuji est souvent visible depuis Tokyo en hiver comme sur cette photo prise à Fujimi Zaka, à Yanaka (Tokyo).