un nouveau roman d'Amélie Nothomb en 2007

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myunoyume
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Message par myunoyume »

Amélie va sortir un nouveau roman le 22 Aout, racontant sa vie à Tokyo à 21 ans....
voici un extrait trouvé sur le site de "lire":
(ça s'annonce très bien....) j'aime tous les livres d'Amélie qui racontent son Japon...

Et concernant les commentaires sur Stupeur et tremblements, je bosse pour Yumimoto en France et bien qu'Amélie ait tendance à tout exagéré, je trouve ce bouquin une bonne intro à l'univers des Sogo Shosha...
Bon faut remettre son livre dans le contexte. Le Japon à cette époque était en pleine recession et y'avait pas beaucoup de travail à offrir, encore moins à une gaijin.... dame pipi ou tea lady...
Dans ma boite au siège de Londres, y'a toujours une tea lady et à Tokyo, y'a beaucoup d'office ladies...

Allez, place à l'extrait:

<EXTRAIT>

Amélie Nothomb se définit elle-même comme une «graphomane malade de l'écriture». Depuis 1992, elle publie un roman par an, d'Hygiène de l'assassin (Albin Michel, 1992) à Journal d'Hirondelle (Albin Michel, 2006). Entre fiction et autobiographie, elle acquiert une grande notoriété et remporte le Grand Prix du roman de l'Académie française pour Stupeur et tremblements en 1999 (Albin Michel). Dans Ni d'Eve ni d'Adam, elle revient sur la période où elle vivait à Tokyo.

Le moyen le plus efficace d'apprendre le japonais me parut d'enseigner le français. Au supermarché, je laissai une petite annonce: «Cours particuliers de français, prix intéressant».

Le téléphone sonna le soir même. Rendez-vous fut pris pour le lendemain, dans un café d'Omote-Sando. Je ne compris rien à son nom, lui non plus au mien. En raccrochant, je me rendis compte que je ne savais pas à quoi je le reconnaîtrais, lui non plus. Et comme je n'avais pas eu la présence d'esprit de lui demander son numéro, cela n'allait pas s'arranger. «Il me rappellera peut-être pour ce motif», pensai-je.

Il ne me rappela pas. La voix m'avait semblé jeune. Cela ne m'aiderait pas beaucoup. La jeunesse ne manquait pas à Tokyo, en 1989. A plus forte raison dans ce café d'Omote-Sando, le 26 janvier, vers quinze heures.

Je n'étais pas la seule étrangère, loin s'en fallait. Pourtant, il marcha vers moi sans hésiter.

- Vous êtes le professeur de français?

- Comment le savez-vous?

Il haussa les épaules. Très raide, il s'assit et se tut. Je compris que j'étais le professeur et que c'était à moi de m'occuper de lui. Je posai des questions et appris qu'il avait vingt ans, qu'il s'appelait Rinri et qu'il étudiait le français à l'université. Il apprit que j'avais vingt et un ans, que je m'appelais Amélie et que j'étudiais le japonais. Il ne comprit pas ma nationalité. J'avais l'habitude.

- A partir de maintenant, nous n'avons plus le droit de parler anglais, dis-je.

Je conversai en français afin de connaître son niveau: il se révéla consternant. Le plus grave était sa prononciation: si je n'avais pas su que Rinri me parlait français, j'aurais cru avoir affaire à un très mauvais débutant en chinois. Son vocabulaire languissait, sa syntaxe reproduisait mal celle de l'anglais qui semblait pourtant son absurde référence. Or il était en troisième année d'étude du français, à l'université. J'eus la confirmation de la défaite absolue de l'enseignement des langues au Japon. A un tel degré, cela ne pouvait même plus s'appeler de l'insularité.

Le jeune homme devait se rendre compte de la situation car il ne tarda pas à s'excuser, puis à se taire. Je ne pus accepter cet échec et tentai de le faire parler à nouveau. En vain. Il gardait sa bouche close comme pour cacher de vilaines dents. Nous étions dans une impasse.

Alors, je me mis à lui parler japonais. Je ne l'avais plus pratiqué depuis l'âge de cinq ans et les six jours que je venais de passer au pays du Soleil-Levant, après seize années d'absence, n'avaient pas suffi, loin s'en fallait, à réactiver mes souvenirs enfantins de cette langue. Je lui sortis donc un galimatias puéril qui n'avait ni queue ni tête. Il était question d'agent de police, de chien et de cerisiers en fleur.

Le garçon m'écouta avec ahurissement et finit par éclater de rire. Il me demanda si c'était un enfant de cinq ans qui m'avait enseigné le japonais.

- Oui, répondis-je. Cette enfant, c'est moi.

Et je lui racontai mon parcours. Je le lui narrai lentement, en français; grâce à une émotion particulière, je sentis qu'il me comprenait.

Je l'avais décomplexé.

En un français pire que mauvais, il me dit qu'il connaissait la région où j'étais née et où j'avais vécu mes cinq premières années: le Kansaï.

Lui était originaire de Tokyo, où son père dirigeait une importante école de joaillerie. Il s'arrêta, épuisé, et but son café d'un trait.

Ses explications semblaient lui avoir coûté autant que s'il avait dû franchir un fleuve en crue par un gué dont les pierres auraient été écartées de cinq mètres les unes des autres. Je m'amusai à le regarder souffler après cet exploit.

Il faut reconnaître que le français est vicieux. Je n'aurais pas voulu être à la place de mon élève. Apprendre à parler ma langue devait être aussi difficile que d'apprendre à écrire la sienne.

Je lui demandai ce qu'il aimait dans la vie. Il réfléchit très longtemps. J'aurais voulu savoir si sa réflexion était de nature existentielle ou linguistique. Après de telles recherches, sa réponse me plongea dans la perplexité:

- Jouer.

Impossible de déterminer si l'obstacle avait été lexical ou philosophique. J'insistai:

- Jouer à quoi?

Il haussa les épaules.

- Jouer.

Son attitude relevait soit d'un détachement admirable, soit d'une paresse face à l'apprentissage de ma langue colossale.

Dans les deux cas, je trouvai que le garçon s'en était bien sorti et j'abondai dans son sens. Je déclarai qu'il avait raison, que la vie était un jeu: ceux qui croyaient que jouer se limitait à la futilité n'avaient rien compris, etc.

Il m'écoutait comme si je lui racontais des bizarreries. L'avantage des discussions avec les étrangers est que l'on peut toujours attribuer l'expression plus ou moins consternée de l'autre à la différence culturelle.

Rinri me demanda à son tour ce que j'aimais dans la vie. En détachant bien les syllabes, je répondis que j'aimais le bruit de la pluie, me promener dans la montagne, lire, écrire, écouter de la musique. Il me coupa pour dire:

- Jouer.

Pourquoi répétait-il son propos? Peut-être pour me consulter sur ce point. Je poursuivis:

- Oui, j'aime jouer, surtout aux cartes.

C'était lui qui semblait perdu, à présent. Sur la page vierge d'un carnet, je dessinai des cartes: as, deux, pique, carreau.

Il m'interrompit: oui, bien sûr, les cartes, il connaissait. Je me sentis extraordinairement stupide avec ma pédagogie à deux sous. Pour retomber sur mes pattes, je parlai de n'importe quoi: quels aliments mangeait-il? Péremptoire, il répondit:

- Ourrrrhhhh.

Je croyais connaître la cuisine japonaise, mais cela, je n'avais jamais entendu. Je lui demandai de m'expliquer. Sobrement, il répéta:

- Ourrrrhhhh.

Oui, certes, mais qu'était-ce?

Stupéfait, il me prit le carnet des mains et traça le contour d'un oe; uf. Je mis plusieurs secondes à recoller les morceaux dans ma tête et m'exclamai:

- Πuf!

Il ouvrit les yeux comme pour dire: Voilà!

- On prononce oe; uf, enchaînai-je, oe; uf.

- Ourrrrhhhh.

- Non, regardez ma bouche. Il faut l'ouvrir davantage: oe; uf.

Il ouvrit grand la bouche:

- Orrrrhhhh.

Je m'interrogeai: était-ce un progrès? Oui, car cela constituait un changement. Il évoluait, sinon dans le bon sens, du moins vers autre chose.

- C'est mieux, dis-je, pleine d'optimisme.

Il sourit sans conviction, content de ma politesse. J'étais le professeur qu'il lui fallait. Il me demanda le prix de la leçon.

- Vous donnez ce que vous voulez.

Cette réponse dissimulait mon ignorance absolue des tarifs en vigueur, même par approximation. Sans le savoir, j'avais dû parler comme une vraie Japonaise, car Rinri sortit de sa poche une jolie enveloppe en papier de riz dans laquelle, à l'avance, il avait glissé de l'argent.

Gênée, je refusai:

- Pas cette fois-ci. Ce n'était pas un cours digne de ce nom. A peine une présentation.

Le jeune homme posa l'enveloppe devant moi, alla payer nos cafés, revint pour me fixer rendez-vous le lundi suivant, n'eut pas un regard pour l'argent que je tentais de lui rendre, salua et partit.

Toute honte bue, j'ouvris l'enveloppe et comptai six mille yens. Ce qui est fabuleux quand on est payé dans une monnaie faible, c'est que les montants sont toujours extraordinaires. Je repensai à «ourrrrhhhh» devenu «orrrrhhhh» et trouvai que je n'avais pas mérité six mille yens.

Je comparai mentalement la richesse du Japon avec celle de la Belgique et conclus que cette transaction était une goutte d'eau dans l'océan d'une telle disproportion. Avec mes six mille yens, au supermarché, je pouvais acheter six pommes jaunes. Adam devait bien cela à Eve. La conscience apaisée, j'allai arpenter Omote-Sando.


Ni d'Eve ni d'Adam
Amélie Nothomb
Albin Michel
252 pages.
Prix : 17,9 € / 117,42 FF.
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orlenduz
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Message par orlenduz »

Après lecture cet extrait du nouveau roman d'Amélie Nothomb, je propose que tous ceux ayant ou ayant eu une quelconaue expérience de travail au Japon, en particulier ceux qui ont donné des cours de français, se lancent dans la rédaction d'un ouvrage eux-aussi!
C'est juste histoire de grapiller un peu sur son fond de commerce. Ce genre de truc, n'importe qui ayant vécu au Japon peut l'écrire!
C'est bien connu, il y a plein de sons et façons de prononcer en français qui n'éxistent pas en japonais.
D'ailleurs j'ai une anecdote sur un cours particulier à Omotesando :lol: ...?Mais je le réserve pour un prochain roman :idea: (sans déconner c'est vrai, j'ai une anecdote qui vaut peut-être quelque chose).
C'était 1000 yens la pomme en 1989?
myunoyume
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Message par myunoyume »

orlenduz a écrit :Après lecture cet extrait du nouveau roman d'Amélie Nothomb, je propose que tous ceux ayant ou ayant eu une quelconaue expérience de travail au Japon, en particulier ceux qui ont donné des cours de français, se lancent dans la rédaction d'un ouvrage eux-aussi!
C'est juste histoire de grapiller un peu sur son fond de commerce. Ce genre de truc, n'importe qui ayant vécu au Japon peut l'écrire!
C'est bien connu, il y a plein de sons et façons de prononcer en français qui n'éxistent pas en japonais.
D'ailleurs j'ai une anecdote sur un cours particulier à Omotesando :lol: ...?Mais je le réserve pour un prochain roman :idea: (sans déconner c'est vrai, j'ai une anecdote qui vaut peut-être quelque chose).
C'était 1000 yens la pomme en 1989?
Alors, à quand le Roman des anecdotes des membres du Forum ?
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bcg
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Message par bcg »

Je recommande en particulier l'excellent blog http://mariem.blogsome.com/ qui parlait beaucoup de ses expériences à Nova, et ça valait le jus!
Mais en jetant un oeil sur son nouveau blog je ne vois plus trace des anciens articles...
orlenduz a écrit :... Ce genre de truc, n'importe qui ayant vécu au Japon peut l'écrire!
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orlenduz
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Message par orlenduz »

bcg a écrit :Je recommande en particulier l'excellent blog http://mariem.blogsome.com/ qui parlait beaucoup de ses expériences à Nova valait le jus!
Mais en jetant un oeil sur son nouveau blog je ne vois plus trace des anciens articles...
Oui c'est dommage qu'elle n'en parle plus mais c'est peut-être aussi pas très réglo pour elle d'en parler sur son blog. Après tout c'est un peu rendre publiques des infos qui ne devraient pas l'être.
Myuyonume: Ce forum est lu par pas mal de français au Japon alors ses participants ne veulent peut-être pas trop y dévoiler leurs vies ou expériences diverses.
Mais comme le dit Bcg, va faire un tour sur les blogs, où les gens se lâchent un peu plus. Quoiqu'un blog ne reflète jamais vrament la réalité. Les blogs sont généralement orientés dans un sens plus que dans un autre. Par exemple il y en a qui ne parlent que des trucs "bizzarres". C'est intéressant mais si on se fie à ça à 100%, on croit facilement que le Japon est un pays de cinglés excentriques etc.
Il y en a qui parlent de leur vie simplement, ce qui est déjà plus authentique, mais on fait toujours plus ou moins consciemment une sélection dans ce qu'on raconte.
Et ça peut aller d'une extrême à l'autre. De ceux qui font tellement attention à dire du bien du Japon que leur blog est une expo d'un petit paradis sur terre; à ceux qui s'ingénuent à réveler l'envers du décor, et le Japon peut alors devenir un pays de fourbes et de désillusions...
Ceci dit je suis partisan que les gens racontent ce qu'ils veulent sur leur blog, au lecteur de remettre en question ce qu'il lit.

A part ça et pour en revenir à Amélie Nothomb, il faudrait bien sur avoir lu le roman avant d'emettre des critiques sur un court extrait. Mais j'aimerais quand même savoir si elle a rencontré des gens au Japon autrement qu'en servant du thé à des salary men , qu'en se noyant sur une plage, qu'en donnant un cours particulier à Omotesando etc.
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Message par ELTdG »

myunoyume a écrit :je bosse pour Yumimoto en France
Pour ceux qui prennent tout à la lettre, je suppute qu'avec une permutation et une substitution, on retrouve le nom de l'entreprise.

Ceci dit, les blogs regorgent, en effet, de ce genre d'aventures relatées avec plus ou moins de talent. Écrivain, c'est comme prof de français, improvisateur rime souvent avec imposteur (car improvisation rime avec imposition). :P Heureusement que les blogs sont là pour que l'on puisse prendre sa vessie pour une lanterne halogène 8)

À ce propos, un lien tiré d'un blog :
Lien
On peut être d'accord ou pas, je cherche seulement à illustrer.
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Message par myunoyume »

ELTdG a écrit :
myunoyume a écrit :je bosse pour Yumimoto en FrancePour ceux qui prennent tout à la lettre, je suppute qu'avec une permutation et une substitution, on retrouve le nom de l'entreprise.
Pour info:
en ce qui concerne le choix d'Amelie Nothomb pour le nom de l'entreprise, elle a confirmé maintes fois qu'elle avait fait son stage chez le concurrent de cette boite dont le nom est très proche de Yumimoto...
On joue avec les lettres en effet... elle me l'a confirmé de vive voix au salon du livre... bref, comprenez n'importe quelle Sogo Shosha...
elles se ressemblent toutes... avec plus ou moins de "modernité"...
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orlenduz
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Message par orlenduz »

ELTdG a écrit :
À ce propos, un lien tiré d'un blog :
Lien
On peut être d'accord ou pas, je cherche seulement à illustrer.
Prendre à la lettre quoi?
On a bien compris que ce n'était qu'un roman et qu'un roman ne se revendique pas comme le pur et véritable reflet de la réalité vraie!
Donc justement on est en droit de critiquer le style, la forme et les ressors sur lesquels ce genre de bouquin gagne du succès.
Après tout elle peut bien écrire ce qu'elle veut et dans en ce qui concerne ce dernier extrait, je suis persuadé qu'elle n'a pas eu à chercher bien loin dans son imagination.

A part ça lien est intéressant!
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Fujijanet
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Message par Fujijanet »

Je trouve ca stupide de juger un ecrivain sur le sujet qu'il choisit.
"gnagnagna tout le monde aurait pu ecrire ca..."
Ben faites le!!!!

Elle a du talent dans la narration, ses livres se lisent sans effort, d'une traite, pour moi un livre facile a lire, qui me fait rire ou autre, c7est pas le soucis, c'est juste que ELLE l'a ecrit et elle SAIT ecrire.
Entre raconter la meme chose sur un blog et en ecrire un roman...
Et puis elle a pas fait sa notoriete la dessus que je sache.
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Message par orlenduz »

Fujijanet a écrit :Je trouve ca stupide de juger un ecrivain sur le sujet qu'il choisit.
"gnagnagna tout le monde aurait pu ecrire ca..."
Ben faites le!!!!

Elle a du talent dans la narration, ses livres se lisent sans effort, d'une traite, pour moi un livre facile a lire, qui me fait rire ou autre, c7est pas le soucis, c'est juste que ELLE l'a ecrit et elle SAIT ecrire.
Entre raconter la meme chose sur un blog et en ecrire un roman...
Et puis elle a pas fait sa notoriete la dessus que je sache.
Oui tu as raison :lol:
Pour la deuxième partie du message, pas d'accord! Mais ça c'est juste une question de gout!
"c'est juste que ELLE l'a écrit...blablabla..."; c'est juste le "bouquin référence "avec la médiatisation qui va avec qui sont gonflants.
Ceci dit c'est pas grave (Il y a des sujets plus inquiétants en ce moment...)
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bcg
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Message par bcg »

Pourquoi se polariser là-dessus?
Toutes les médiatisations sont gonflantes!!
Vous regardez encore la télé? ;)
orlenduz a écrit :... c'est juste le "bouquin référence "avec la médiatisation qui va avec qui sont gonflants...
myunoyume
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Message par myunoyume »

Ca y'est il est sorti ! et je l'ai finit en "deux temps trois mouvements " (comme beaucoup des Romans d'A Nothomb)...

encore une fois, sa façon de raconter les choses est fascinante... chercher le vrai du faux, un régal...

Quelle histoire !
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