Bonjour à tous,
Je cherche des informations pour partir etudier le japonais au japon...
j'aimerais connaitre vos points de vue et connaitre des renseignement...
Et si il ya des français au japon qui ont icq ça serait avec plaisir de discuté avec eu..(pour cela donner vos numero icq par message privé)...
Et si vous connaissez des personnes, ou meme vous
qui accepterez de m'heberger (avec participation au frais,voir une collocation au japon) ....
Merci d'avance
etude au japon
Bonjour!
Étudier au japon, c'est bien sûr possible, mais étudier quoi
et à quel niveau (bac? Bac + n?).
Plus le niveau est élevé, moins le niveau de japonais est
important, puisque les papiers de recherche sont souvent
en Anglais.
Mais pour pouvoir répondre, il faudrait être un peu plus précis.
Et à tout hasard, chercher un peu sur internet ne peut pas faire
de mal.
Pascal
Étudier au japon, c'est bien sûr possible, mais étudier quoi
et à quel niveau (bac? Bac + n?).
Plus le niveau est élevé, moins le niveau de japonais est
important, puisque les papiers de recherche sont souvent
en Anglais.
Mais pour pouvoir répondre, il faudrait être un peu plus précis.
Et à tout hasard, chercher un peu sur internet ne peut pas faire
de mal.
Pascal
Bonsoir!
Si vous arrêtez le style SMS, on pourra faire un effort...
Les études de japonais coûtent cher au Japon, mais il
est possible d'étudier gratuitement ou presque en France.
Avec le bac on peut entrer à l'université, et si on n'a pas
les moyens, il y a des bourses suffisantes pour survivre.
À part ça, étudier le japonais au Japon, ce n'est
pas si cher que ça (1500 euros pour 3 mois à temps plein).
En travaillant à côté, c'est faisable si on ne part pas les
poches vides, le temps de s'installer (je l'ai fait).
Il y a des écoles moins chères, voire quasiment gratuites
(j'ai entendu dire), mais le rythme n'est pas le même, et
en plus, on ne peut pas obtenir un visa d'étudiant pour moins
de 20 heures par semaine.
D'autre part, à mon avis, il faudrait avoir un projet concret, un
but. Par exemple apprendre le japonais pour faire du commerce,
pour travailler au Japon dans l'industrie (programmeur?),
pour être traducteur, pour être interprète, travailler dans la
restauration, etc... Ça permet de savoir où on va et de calculer
ce que l'on va dépenser pour gagner quoi, après combien de
temps, etc...
Bon courage.
Pascal
Si vous arrêtez le style SMS, on pourra faire un effort...
Les études de japonais coûtent cher au Japon, mais il
est possible d'étudier gratuitement ou presque en France.
Avec le bac on peut entrer à l'université, et si on n'a pas
les moyens, il y a des bourses suffisantes pour survivre.
À part ça, étudier le japonais au Japon, ce n'est
pas si cher que ça (1500 euros pour 3 mois à temps plein).
En travaillant à côté, c'est faisable si on ne part pas les
poches vides, le temps de s'installer (je l'ai fait).
Il y a des écoles moins chères, voire quasiment gratuites
(j'ai entendu dire), mais le rythme n'est pas le même, et
en plus, on ne peut pas obtenir un visa d'étudiant pour moins
de 20 heures par semaine.
D'autre part, à mon avis, il faudrait avoir un projet concret, un
but. Par exemple apprendre le japonais pour faire du commerce,
pour travailler au Japon dans l'industrie (programmeur?),
pour être traducteur, pour être interprète, travailler dans la
restauration, etc... Ça permet de savoir où on va et de calculer
ce que l'on va dépenser pour gagner quoi, après combien de
temps, etc...
Bon courage.
Pascal
-
gorokosama
- bienvenu(e)
- Messages : 2
- Inscription : 19 févr. 2004, 09:00
Oui, d'accord avec vous, Pascal, mais on se découvre soi-même souvent en ayant des expériences (principe de base de la sémantique générale). Tel prof de français ou judoka est devenu homme d'affaires, et vice-versa... C'est en expérimentant quelque chose qu'il a compris que sa voie se trouvait là!
pascal a écrit :... à mon avis, il faudrait avoir un projet concret, un
but. Par exemple apprendre le japonais pour faire du commerce,
pour travailler au Japon dans l'industrie (programmeur?),
pour être traducteur, pour être interprète, travailler dans la
restauration, etc... Ça permet de savoir où on va et de calculer
ce que l'on va dépenser pour gagner quoi, après combien de
temps, etc...
Pascal
Bonjour!
Oui, c'est vrai qu'en cours de route, on peut découvrir sa voie.
Mais il est TRES important d'avoir par avance un plan. Et c'est vrai
dans tous les domaines.
Exemple (fictif):
Je suis ingénieur dans une grande entreprise. J'ai une super idée
à développer, je voudrais faire un prototype.
1 ère approche:
- Bonjour patron, j'ai eu une super idée dans mon bain, j'aimerais
faire ce prototype.
- Pourquoi?
- Parce que c'est intéressant à développer, personne ne l'a jamais
fait, etc, etc
Conclusion: la réponse sera non!
2 ème approche:
- Bonjour patron, j'ai eu une super idée dans mon bain, j'aimerais
faire ce prototype.
- Pourquoi?
- Il y a au Japon 50 millions de téléphones portables, le prix d'achat
moyen est de x yens. D'après une enquête d'opinion, 20 % des
personnes interrogées accepteraient de payer 500 yens de plus pour
ce service, ce qui nous permet d'envisager un revenu total de 5
milliards de yens. Le développement durerait 1 an avec 10 personnes,
donc 100 millions de yens, et l'investissement nécessaire est de
200 millions de yens, etc, bénéfice net, etc... actionnaires ... etc...
Conclusion: la réponse sera oui.
Le boss en question sait qu'il y a peu de chances que son projet
aboutisse. Mais si on lui présente une "vision" des choses, un plan,
il acceptera, c'est certain.
Pour en revenir aux études de japonais, il est possible d'obtenir des
bourses par diverses associations, par le conseil général de votre
région, etc... Si vous dites "je veux apprendre le japonais parce que
ça m'intéresse", je ne suis pas sûr que ça passe. Tout dépend qui
vous avez en face de vous, il est vrai. Dans le cas du conseil
général, on peut obtenir environ 400 Euros par mois, suivant les
régions. Cet argent n'est pas "jeté par la fenêtre". Le conseil
régional considère qu'il y aura retour sur investissement par un
développement des relations avec le Japon. C'est du moins l'idée
de départ.
Pascal
PS: Pour twiggy, j'avais mal lu le premier message, désolé. Il était
bien précisé que c'était pour apprendre le japonais. Ceci n'ôte rien
à mes commentaires.
Oui, c'est vrai qu'en cours de route, on peut découvrir sa voie.
Mais il est TRES important d'avoir par avance un plan. Et c'est vrai
dans tous les domaines.
Exemple (fictif):
Je suis ingénieur dans une grande entreprise. J'ai une super idée
à développer, je voudrais faire un prototype.
1 ère approche:
- Bonjour patron, j'ai eu une super idée dans mon bain, j'aimerais
faire ce prototype.
- Pourquoi?
- Parce que c'est intéressant à développer, personne ne l'a jamais
fait, etc, etc
Conclusion: la réponse sera non!
2 ème approche:
- Bonjour patron, j'ai eu une super idée dans mon bain, j'aimerais
faire ce prototype.
- Pourquoi?
- Il y a au Japon 50 millions de téléphones portables, le prix d'achat
moyen est de x yens. D'après une enquête d'opinion, 20 % des
personnes interrogées accepteraient de payer 500 yens de plus pour
ce service, ce qui nous permet d'envisager un revenu total de 5
milliards de yens. Le développement durerait 1 an avec 10 personnes,
donc 100 millions de yens, et l'investissement nécessaire est de
200 millions de yens, etc, bénéfice net, etc... actionnaires ... etc...
Conclusion: la réponse sera oui.
Le boss en question sait qu'il y a peu de chances que son projet
aboutisse. Mais si on lui présente une "vision" des choses, un plan,
il acceptera, c'est certain.
Pour en revenir aux études de japonais, il est possible d'obtenir des
bourses par diverses associations, par le conseil général de votre
région, etc... Si vous dites "je veux apprendre le japonais parce que
ça m'intéresse", je ne suis pas sûr que ça passe. Tout dépend qui
vous avez en face de vous, il est vrai. Dans le cas du conseil
général, on peut obtenir environ 400 Euros par mois, suivant les
régions. Cet argent n'est pas "jeté par la fenêtre". Le conseil
régional considère qu'il y aura retour sur investissement par un
développement des relations avec le Japon. C'est du moins l'idée
de départ.
Pascal
PS: Pour twiggy, j'avais mal lu le premier message, désolé. Il était
bien précisé que c'était pour apprendre le japonais. Ceci n'ôte rien
à mes commentaires.
-
gorokosama
- bienvenu(e)
- Messages : 2
- Inscription : 19 févr. 2004, 09:00
Certes, certes... mais ce que je voulais dire, c'est qu'on vient parfois chercher quelque chose (avec un plan ou sans...
) et qu'on peut se retrouver avec autre chose, sans avoir forcément perdu au change, bien au contraire.
Son plan, on peut aussi le trouver au Japon. Les expériences, les différences culturelles, autant de facteurs qui peuvent aider à mûrir... Toujours la sémantique générale...
) et qu'on peut se retrouver avec autre chose, sans avoir forcément perdu au change, bien au contraire.Son plan, on peut aussi le trouver au Japon. Les expériences, les différences culturelles, autant de facteurs qui peuvent aider à mûrir... Toujours la sémantique générale...
Bonjour!
Oui, je ne nie pas le fait qu'on peut trouver sur place.
Prenons un exemple: la pêche:
1ère méthode: je pars les mains dans les poches, je trouverai
bien un bâton, du fil, un morceau de ferraille pour me faire un
hameçon, et en grattant la terre, je suis presque sûr d'y trouver
des vers.
2ème méthode: est-ce une idée saugrenue que d'emporter
une canne à pêche, quelques lignes de rechange, et même un
seau ?
Les opportunités en cours de route existent: je peux aussi trouver
des champignons en allant à la pêche. Et si j'en trouve vraiment
beaucoup, je peux abandonner la pêche pour les champignons.
Je ne conteste pas la possibilité de trouver des choses sur place, je
dis simplement qu'il est préférable d'avoir un projet.
Dans le cas présent: apprendre le japonais.
Si je pars avec le projet de devenir traducteur dans 3 ans, par exemple,
ce sera une grande motivation pour travailler le japonais au maximum
de mes possibilités. On divise les 3 ans en étapes, pa exemple, et
on fait le bilan de chaque étape pour pouvoir s'adapter si ça ne va pas.
Si je pars sans projet précis, je risque d'abandonner après trois mois
parce que c'est difficile. Et je n'aurai mieme pas échoué puisque je
n'avais pas de projet. J'aurai simplement perdu du temps, de
l'argent, et sûrement de l'estime en moi-même.
Et pour finir avec une contrepéterie non sans rapport avec le sujet:
Une bonne guerre ne sert à rien si on n'a pas un bon plan.
Pascal
Oui, je ne nie pas le fait qu'on peut trouver sur place.
Prenons un exemple: la pêche:
1ère méthode: je pars les mains dans les poches, je trouverai
bien un bâton, du fil, un morceau de ferraille pour me faire un
hameçon, et en grattant la terre, je suis presque sûr d'y trouver
des vers.
2ème méthode: est-ce une idée saugrenue que d'emporter
une canne à pêche, quelques lignes de rechange, et même un
seau ?
Les opportunités en cours de route existent: je peux aussi trouver
des champignons en allant à la pêche. Et si j'en trouve vraiment
beaucoup, je peux abandonner la pêche pour les champignons.
Je ne conteste pas la possibilité de trouver des choses sur place, je
dis simplement qu'il est préférable d'avoir un projet.
Dans le cas présent: apprendre le japonais.
Si je pars avec le projet de devenir traducteur dans 3 ans, par exemple,
ce sera une grande motivation pour travailler le japonais au maximum
de mes possibilités. On divise les 3 ans en étapes, pa exemple, et
on fait le bilan de chaque étape pour pouvoir s'adapter si ça ne va pas.
Si je pars sans projet précis, je risque d'abandonner après trois mois
parce que c'est difficile. Et je n'aurai mieme pas échoué puisque je
n'avais pas de projet. J'aurai simplement perdu du temps, de
l'argent, et sûrement de l'estime en moi-même.
Et pour finir avec une contrepéterie non sans rapport avec le sujet:
Une bonne guerre ne sert à rien si on n'a pas un bon plan.
Pascal
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