Dans le quartier de Tora San, à Shibamata.

« C’est dur d’être un homme » (男はつらいよ, Otoko wa tsurai yo) est une série de cinquante films japonais. Elle relate les mésaventures tragi-comiques de Torajirō Kuruma (車寅次郎, Kuruma Torajirō), dit Tora-san (寅さん), un homme sensible n’ayant pas de chance en amour, devant faire face à diverses crises économiques, problème familiaux et autres malheurs. (Source : wikipedia)

La tortue de mon quartier : Kameari 亀有

La tortue de mon quartier, Kameari (亀有 Il y a une/des tortue/s).
Cette zone s’appelait autrefois « Kamenashi »(亀梨). On dit que ce nom a été donné parce que c’est une terre qui a la forme de la carapace d’une tortue.
Ce nom de lieu est dit malchanceux en raison de « nashi » qui peut aussi signifier « aucun », et a été changé pour le nom actuel au début de la période Edo (vers 1644).

La Grue de Langues O’ (INALCO)

La grue de Langues O’ et ses symboles :

  • la grue, symbole d’immortalité dans la Chine ancienne ;
  • le serpent, symbole du temps dans la civilisation africaine ;
  • le croissant de lune fait référence à la civilisation arabe ;
  • la palme tenue dans le bec de la grue est symbole de victoire dans la civilisation gréco-romaine.

L’aventure continue sur les réseaux sociaux !

Vous pouvez consulter sur ce blog les 215 articles que j’y ai publiés sur des domaines variés. Ce blog continuera à être mis à jour de temps en temps.

Certaines de mes publications se font sur ces sites et réseaux sociaux: https://www.facebook.com/christian.bouthier
https://www.linkedin.com/in/christianbouthier/
https://twitter.com/france_japon/
http://www.christian.bouthier.org/

Et toujours, le site principal : http://france-japon.net/ (plus de 1000 articles)

Le forum : http://france-japon.net/forumjapon/ (plus de 45000 messages). Pour voir les questions fréquemment posées sur le Japon, visitez le wiki : http://france-japon.net/wiki/

Voici les blogs qui ne sont plus mis à jour mais contiennent plusieurs centaines d’articles toujours d’actualité, surtout sur la langue japonaise :
Le site sur les kanji : http://www.france-japon.net/un-kanji-par-jour/
Le site sur les clés de kanji : http://www.france-japon.net/cles-de-kanji/
Et bien sûr ce blog : http://www.france-japon.net/blog2/

Enfin, je signale le nouveau site OFFICIEL des anciens étudiants de Langues O !
https://alumni.inalco.fr/

Archives de france-japon.net des années 2000 à 2001

J’ai retrouvé les archives de france-japon.net pour les années 2000 à 2001.
C’était l’époque où le site était encore en « html ». Il n’y avait quasiment aucune communication sur le web venant des associations françaises, franco-japonaises et des organisations gouvernementales, comme, par exemple, de l’ambassade de France au Japon.

http://www.france-japon.net/archives/1an2000.html

Ce n’est qu’en 2001 que le premier portail-blog en « php » a été créé. Puis, en 2004, le forum a été renouvelé pour prendre la forme qu’il a aujourd’hui :

http://france-japon.net/forumjapon/

Le Musée national de Tokyo

J’habite à deux pas du Musée national de Tokyo. Aujourd’hui, j’ai pris une carte d’abonnement qui me donne un accès illimité à ce Musée pendant un an. J’ai aussi accès aux Musées de Kyôto, de Kyûshû et de Nara !
Ça m’a coûté seulement 2000 yens, soit environ 15 euros !

Lien vers la page wikipedia du Musée :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Musée_national_de_Tokyo

1984, de George Orwell, le novlangue et la langue japonaise

Redécouvert récemment avec grand plaisir le Novlangue dans Wikipédia.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Novlangue
J’avais lu 1984 en anglais justement cette même année.
« Quel rapport avec le Japon? » me direz-vous. La réponse se trouve dans l’article de Wikipédia cité ci-dessous.

Petit rappel pour commencer…
Langue officielle d’Oceania, le novlangue fut créé pour satisfaire les besoins idéologiques de l’Ingsoc (pour English Socialism) : il doit favoriser la parole officielle et empêcher l’expression de pensées hétérodoxes ou critiques. En 1984, l’usage du novlangue n’était pas encore très répandu et il n’était alors maîtrisé à l’oral et à l’écrit que par des spécialistes ; mais il est destiné à remplacer totalement le Oldspeak (ou anglais standard), un objectif fixé pour les années 2050. Son usage se répand constamment ; les membres du parti tendent de plus en plus à utiliser le vocabulaire et la grammaire novlangues.
(…)
Principes
L’idée fondamentale du novlangue est de supprimer toutes les nuances d’une langue afin de ne conserver que des dichotomies qui renforcent l’influence de l’État. Un rythme élevé de syllabes est aussi visé, avec l’espoir que la vitesse des mots empêche la réflexion.
De plus, si la langue possède le mot « bon », il est inutile qu’elle ait aussi le mot « mauvais ». On crée le concept « mauvais » en ajoutant un préfixe marquant la négation (cela donnera « inbon »). La grammaire est aussi très simplifiée ; ainsi le pluriel est toujours marqué par un s (on dit « des chevals » et « des genous ») ; les verbes se conjuguent tous de la même manière.
Un verbe doit toujours dériver du nom correspondant quand il existe. Dans la version anglaise, to cut (couper) est ainsi remplacé par to knife (sachant que knife signifie couteau).

Les caractéristiques du novlangue existent dans des langues agglutinantes comme le japonais, le turc ou l’espéranto. Sa critique du remplacement de tous les termes équivalents « mauvais, répugnant, dégoûtant, exécrable, infect… » par un simple « inbon » manque de souplesse pour un anglophone, mais le procédé est utilisé dans les langues agglutinantes en communication quotidienne, et parfois en poésie. Le novlangue surprend surtout un anglophone s’adressant à d’autres anglophones disposant eux aussi d’un vocabulaire de 30 000 mots et plus. Orwell connaissait l’espéranto via son long séjour chez sa tante Ellen Kate Limouzin, femme d’Eugène Lanti, l’un des fondateurs et principaux moteurs du mouvement espérantiste ouvrier. Le novlangue caricature les langues anglaises simplifiées, en particulier l’anglais basic.

Un hôpital top de chez top !

Voilà, c’est fini! Je suis sorti aujourd’hui. J’ai passé un excellent séjour à l’hôpital. Le personnel était très « aux petits soins » – c’est le cas de le dire, mais aussi aux grands!
La communication était de niveau maximal, extrêmement bien faite et rassurante. Tout le personnel, du chirurgien à l’aide-soignante, en passant par les anesthésistes et les infirmières était très jeune, extrêmement poli, très professionnel. J’allais oublier le personnel administratif et les « techniciens de surface ». Tous très pros aussi.
J’en suis encore baba. Je n’en reviens pas qu’on ait pu atteindre un tel niveau. Ça n’a pas dû se faire du jour au lendemain…
Le nom de l’hôpital : 日本医科大学付属病院 Nihon ika daigaku fuzoku byôin.

Il se trouve près de la station Sendagi, sur la ligne Chiyoda, à Tokyo.
Vous le trouverez facilement sur le web. Il ne paie pas de mine de l’extérieur -ni de l’intérieur- mais vraiment je n’hésite pas, comme le fait parfois mon ami Cable pour les films, j’attribue 5 étoiles pour l’ensemble.